
Aujourd’hui :
Le policier, auteur du tir mortel sur Nahel, dont le décès le 27 juin après un contrôle routier avait déclenché une semaine d’émeutes en France, a été enfin remis en liberté sous contrôle judiciaire mercredi.
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Aujourd’hui :
Le policier, auteur du tir mortel sur Nahel, dont le décès le 27 juin après un contrôle routier avait déclenché une semaine d’émeutes en France, a été enfin remis en liberté sous contrôle judiciaire mercredi.
On a déjà évoqué ici les causes de ce qui va devenir « une bombe sociale » : d’une part l’aggravation, sous le pouvoir macronien, de mesures ineptes tant fiscales qu’administratives et environnementales ; d’autre part, en toile de fond, l’idée bien ancrée que tout propriétaire est un salaud de riche qui exploite un locataire forcément indigent.
Bien qu’une nouvelle loi dite « anti-squat » ait été votée le 27 juillet dernier, censée faire la vie dure aux squatteurs et autre mauvais payeurs, non seulement l’Etat persiste et signe, mais il l’affiche !
C’est une affiche, en effet, à en-tête du ministère de la Justice : un homme de type caucasien, chauve mais barbu, vous regarde droit dans les yeux. En titre : « Ma proprio veut m’expulser ». Sous la barbe poivre et sel, on lit : « Besoin de la justice ? Appelez, on vous dit quoi faire ». Il faut appeler le 3039, soit « un numéro gratuit et anonyme mis en place par le ministère de la Justice pour obtenir des informations et entrer en contact avec un professionnel près de chez vous. Numéro accessible aux personnes sourdes et malentendantes ».
Aurélien Véron, qui relaie l’info sur son compte X, en expose toute la philosophie : « Je ne paye plus le loyer, j’ai saccagé l’appart et j’emmerde le proprio qui s’est endetté pour cet investissement en vue de sa retraite. La Justice m’aide. Avec votre pognon. » Fort bien résumé. Car la loi du 27 juillet censée « renforcer les droits des propriétaires » n’a d’effets qu’à la marge.
Le Parlement européen a levé l’immunité parlementaire de quatre députés polonais du PiS (groupe parlementaire Ecr). La raison est un “j’aime” sur la vidéo de sa publicité électorale, jugée comme un « discours de haine ».
Le Parlement européen a décidé de lever l’immunité des députés polonais du parti gouvernemental
La dictature du politiquement correct n’a plus de limites au Parlement européen. Jeudi 9 novembre, pour la première fois dans l’histoire, le Parlement européen a décidé de lever l’immunité des députés polonais du parti gouvernemental : . L’accusation est d’incitation à la haine parce qu’ils ont retweeté ou « aimé » la publicité électorale de leur parti.
par (son site)
L'Ukraine a manqué l'occasion de conclure un accord favorable sur le règlement pacifique du conflit. La communauté d'experts rappelle que ce n'est pas la première "fenêtre d'opportunité qui se ferme", il y a eu au moins cinq cas similaires dans le passé. De quels cas précis s'agit-il et pourquoi l'Ukraine a-t-elle manqué à plusieurs reprises l'opportunité de parvenir à la paix ?
Sur fond de pertes catastrophiques de l’armée ukrainienne, de fuites massives et de pénurie de population masculine nécessaire à la « protection de l’Ukraine », Kiev lance la mobilisation des femmes.
Il y a déjà des femmes volontaires dans les forces armées ukrainiennes. Leur nombre est faible et la plupart d’entre elles reçoivent l’ordre de publier des vidéos TikTok, de donner des interviews dans les médias au lieu de se battre sur les champs de bataille. Elles participent activement à la campagne de propagande de Kiev visant à préparer la population à la prochaine mobilisation de la population féminine.
Vous aviez fait partie des rares voix à avoir refusé le discours « vous n’aurez pas ma haine ». Que reprochez-vous à cette dialectique ?
Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.
C’est devenu une habitude. Ce mardi 14 novembre, comme ce fut le cas lors de l’édition précédente, Gérald Darmanin inaugure le salon Milipol, au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Consacré à la sécurité intérieure des États, ce salon est une vitrine mondiale pour des entreprises souvent inconnues du grand public. C’est le cas de Briefcam, une société israélienne spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique (VSA). Grâce à l’intelligence artificielle, cette technologie permet d’analyser des images captées par des caméras ou des drones et de détecter des situations jugées « anormales ».
Notre très distingué Président-Dictateur-Général avait lancé, lors de son premier quinquennat illustre entre tous, la « chasse aux Fake News » – en France, on avait pourtant le choix entre « Canard journalistique » ou plus simplement « Bobard de propagande », mais notre sémillant jeune Président n’est pas très fort en histoire, littéraire ou non, et de toute façon préfère le chic de l’expression anglo-US.