
15/04/2022
La piste criminelle est désormais officiellement privilégiée dans le cadre de l’enquête sur l’incendie et l’explosion qui ont fait huit morts, dont deux jeunes enfants, le 14 février dernier à Saint-Laurent-de-la-Salanque.
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15/04/2022
La piste criminelle est désormais officiellement privilégiée dans le cadre de l’enquête sur l’incendie et l’explosion qui ont fait huit morts, dont deux jeunes enfants, le 14 février dernier à Saint-Laurent-de-la-Salanque.
BI – Natalité, filiation, droits de l’enfant, éducation, solidarité, justice, dignité, fin de vie, éthique… le bilan et le programme d’Emmanuel Macron sont particulièrement inquiétants pour les familles. Premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, irremplaçable pour accueillir, aimer et éduquer les enfants, la famille mérite d’être soutenue par une politique ambitieuse au contraire de la politique désastreuse menée depuis 2017, marquée par la déconstruction anthropologique et les régressions éthiques, ainsi que par l’exclusion d’un nombre croissant de familles des bénéfices de la politique familiale.
Les responsables préparent une interdiction progressive des importations de produits pétroliers russes, mais la mesure ne sera lancée qu’après le second tour des élections françaises au plus tôt.
Les responsables européens élaborent des plans pour un embargo sur les produits pétroliers russes, la mesure la plus contestée à ce jour pour punir la Russie pour son invasion de l’Ukraine et une décision longtemps résistée en raison de ses coûts élevés pour l’Allemagne et de son potentiel de perturber la politique dans la région et augmenter les prix de l’énergie.
Déclarations politiques outrées, articles bâtis à coups d’énormités, improbables appels à la mobilisation : jour après jour, l’entre-deux-tours prend des airs de 2002. Il s’agit de rediaboliser fissa la candidate de la droite nationale… qui reste sereine face à des attaques qui n’ont qu’un effet relatif sur l’électorat.
Comme c’était prévisible – et désormais habituel – l’accession de Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle a immédiatement provoqué la mobilisation pavlovienne de toutes les composantes du système à tuer la France, terrorisées à la perspective d’une possible remise en cause de leurs prébendes et de leurs sinécures.
Les antisystème ont remporté, sans surprise, le premier tour de la présidentielle. Marine Le Pen (23,15 %), Jean-Luc Mélenchon (21,95 %), Éric Zemmour (7,07 %), Nicolas Dupont-Aignan (2,06 %) rassemblent près de 55 % des suffrages. Outre cet électorat de rupture, les abstentionnistes représentent 26,31 %. En décembre, un sondage avait fait apparaître que les trois quarts des Français étaient prêts à un vote protestataire.
Une jeune femme dont la tâche était le contrôle du bon fonctionnement des élections vous explique comment, depuis 2017, la fraude électorale a été rendue possible à grande échelle.
Des sportifs signent une tribune pour Emmanuel Macron et contre « l’extrême droite »
Mardi 12 avril, une cinquantaine de sportifs français ont publié une tribune sur France info-Le Parisien qui appelle à voter Emmanuel Macron pour faire barrage au Rassemblement national « un parti qui mettrait en danger les valeurs républicaines » et qui incarne « la stigmatisation de l’autre, le repli sur soi, le nationalisme ».
Texte de la Tribune :
Je déclare ouverts les Jeux de Paris célébrant la 33e Olympiade de l’ère moderne. « C’est par ces mots qu’il reviendra au prochain chef de l’État d’ouvrir officiellement les Jeux olympiques de Paris 2024.
C’est bien connu : il y a ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent. On sait, désormais, à quelle profession appartient Valérie Pécresse, qui a écrasé de son score Anne Hidalgo dans la catégorie des moins de 5 % à l’élection présidentielle. Pendant que la présidente de la région Île-de-France s’échinait à faire campagne au nom des « valeurs de la droite et du centre », qu’elle tentait de ranimer la flamme de l’ancien volcan (« Il est temps d’avoir une gaulliste à l’Élysée », clamait-elle en février, en nous apprenant, du coup, qu’elle était gaulliste), le virtuose de la droite Kärcher™ des années 2000 était enfermé dans sa tour d’ivoire médiatique. La statue du commandeur resta de marbre face au naufrage qui se pointait à l’horizon pour celle qui avait été son ministre et, tout comme lui, issue de cette belle et grande « famille politique » des LR, comme ils disent.
C’est vers 21 h 15 que le mouvement a commencé. Une centaine de personnes, issues de l’ultra-gauche, se sont réunies place de la Croix-Rousse pour protester contre la sélection d’Emmanuel Macron et Marine Le Pen en vue du second tour de l’élection présidentielle. Des tirs de mortier ont été constatés. Le groupe a ensuite pris la direction du centre par les pentes, dégradant, au passage, du mobilier urbain.
A peine les deux protagonistes du second tour connus, alors même que le dépouillement des votes n’était pas terminé, le premier réflexe de la quasi-totalité des candidats éliminés a été, dans un bel ensemble, d’appeler à « faire barrage à l’extrême droite » en votant pour Emmanuel Macron le 24 avril. S’il fallait encore une preuve de l’affolement apeuré qui s’empare du système des copains et des coquins à la perspective de l’élection d’un président patriote, celle-ci suffirait amplement.