Dès le 9 février, il n'était pas exagéré de le remarquer : Poutine avait bel et bien humilié Macron. Aucune marque protocolaire due à un chef d'État ne lui avait été concédée. Le président de la république française était traité comme un bouffon.(1)⇓
Un mois plus tard, ce 8 mars et alors que les négociations en vue d'un cessez-le-feu, évidemment désirable pour les malheureuses populations ukrainiennes comme pour leurs courageux défenseurs, on pouvait découvrir les véritables acteurs : le chancelier allemand Scholz et le premier ministre israélien Bennett. Et bientôt Erdogan. Pas Macron.