
Il s'agit donc au mieux d'approximations qui, la plupart du temps, s'écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D'où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C'est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.
Des modèles trompeurs à ne pas suivre !
Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.







