Les historiens du futur ne retiendront peut-être pas la période de 40 années qui nous séparent de l'élection de Mitterrand le 10 mai 1981, comme nécessairement significative. En effet, à moins d'événements majeurs, toujours imprévisibles, le calendrier constitutionnel nous renvoie en 2022, et rien ne permet de considérer qu'a priori cette échéance soit programmée pour se révéler celle du redressement français.
magouille et compagnie - Page 649
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Quarante ans de déclin
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Après le fiasco Cluzel en PACA, Macron envoie Dupond-Moretti qui veut « se taper le RN » !
En Macronie, les week-ends se ressemblent et dès que le vendredi arrive, Président, Premier ministre et ministres se démènent dans leur résidence secondaire, qui est au passage notre résidence principale : la France. Mais là, à moins de deux mois des régionales, ça bosse vraiment dur à tous les étages. Un bruit infernal. Recomposition, poutre qui bouge, retrait de liste, parachutage surprise de poids lourds, et tous ces travaux avec des jurons de mâle décomplexé. Pas le gentil gazouillis de Gabriel Attal.
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[vidéo] I-Média – Zemmour, d’Ornellas, Trump… Censure générale !
Entre le Conseil d’État qui confirme la dissolution des Identitaires, la suppression d’une émission de TV Libertés par Dailymotion ou les multiples actes de censure qui visent les voix dissidentes, la liberté d’expression est en danger !
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Il ne faut pas plaisanter avec cette menace de Putsch, par Michel Michel.
C’est vrai que si l’extrême droite prenait le pouvoir, la démocratie serait gravement en danger, avec des conséquences terribles pour nos libertés fondamentales et les valeurs humanistes que nous portons.
Sous ce régime, on pourrait subir des restrictions de notre liberté de circulation, voire un couvre-feu, on serait contraints de fournir aux forces de l’ordre des attestations, des sortes d’Ausweiss pour se déplacer. Des règlementations absurdes seraient imposées aux commerces par des petits chefs tatillons.
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Cédric Delapierre : « Le spectacle pitoyable de LR depuis dimanche matin me confirme dans mon choix »
Conseiller régional et secrétaire général du groupe UEDC (LR-UDI) en région Occitanie, Cédric Delapierre explique son ralliement à la liste RN-Droite populaire de Jean-Paul Garraud. « La droite de conviction, elle est auprès de Jean-Paul Garraud. »
Vous étiez le secrétaire général du groupe UEDC, LR UDI au conseil régional d’Occitanie, le groupe d’opposition à Carole Delga représentant Les Républicains et l’UDI. Dans une tribune dans Valeurs actuelles, vous avez fait le choix d’officialiser votre ralliement à la lutte menée par Jean-Paul Garraud, ex-membre des Républicains et actuel tête de liste du Rassemblement national. Pourquoi quitter le bateau des Républicains ?
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Elections régionales : LR poursuit son rapprochement avec LREM
À Bordeaux, l’ex-maire Nicolas Florian bloque les candidatures LR face pour soutenir des candidats Macron-compatibles, pour le plus grand regret des militants.
En Ile-de-France, Valérie Pécresse n’a pas retenu Caroline Carmantrand sur la liste que conduira Philippe Juvin dans les Hauts-de-Seine. Présidente de la commission de la Famille à la région, elle a pu soutenir, financer et accompagner un certain nombre d’associations comme :
- Tombée du nid, qui offre des solutions concrètes aux parents d’enfants handicapés ;
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APRÈS LA PALINODIE MARSEILLAISE, L’UNION DES DROITES !
En 2010, j’avais considéré que l’alliance de l’UMP et du FN était inéluctable si la droite française voulait gagner les élections à venir, garder le pouvoir en 2012 et bâtir enfin la politique que beaucoup de Français attendaient, car nécessaire à l’intérêt supérieur de notre pays. Je m’étais à l’époque appuyé sur l’exemple italien. Il me paraissait contraire au bon sens que la droite française persiste à perdre les élections, notamment régionales, en refusant un accord avec “l’extrême-droite”, encore minoritaire, alors que la droite italienne l’emportait en rassemblant jusqu’aux héritiers de Mussolini. On pouvait penser que la répulsion pour une dictature qui a conduit à la compromission avec le nazisme et à la guerre serait plus forte que celle que pouvait susciter en France un mouvement qui avait abandonné les outrances provocatrices de son fondateur, et dont la composition était diverse.
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Dissolution de Génération Identitaire – Le Conseil d’État, une officine socialiste, liberticide et immigrationniste, par Jean-Yves Le Gallou
Les dirigeants de Génération Identitaire ont déposé un recours auprès du Conseil d’État visant à obtenir l’annulation du décret de dissolution de leur mouvement. Le Conseil d’État se prononcera sur le fond d’ici six mois à un an. Génération identitaire avait aussi déposé un référé-suspension pour pouvoir continuer son activité militante en attendant la décision sur le fond du Conseil d’État. Ce référé-suspension a été rejeté le lundi 3 mai 2021 par la section du contentieux du Conseil d’État, dont le président est Christophe Chantepy.
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Cette extrême gauche qui marche contre l’extrême droite ? Les Français, eux, ne marchent plus dans la combine !
Ce qui est bien, avec l’extrême gauche française, c’est que jamais elle ne nous surprend. Prévisible, si prévisible, que ses initiatives finissent immanquablement par ressembler à un sketch des Inconnus, tel celui dédié à la pétition en faveur d’Abel Chemoul, insurpassable moment télévisuel du siècle dernier.
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Trump passe à l’attaque contre Facebook, il lance sa plateforme sociale
Facebook a confirmé l’exclusion de Donald Trump, mais l’ancien président américain lance la contre-attaque en lançant sa propre plateforme.
Le comité de surveillance sociale de Mark Zuckerberg, un groupe de vingt experts ‘indépendants’ (journalistes, militants et avocats bien-pensants) créé par lui en 2018, a décidé de confirmer l’exclusion de Trump qui avait été décidée « pour un temps indéfini » il y a quatre mois, après l’assaut du Capitole. Une décision que les membres républicains de la Commission Justice ont qualifiée de « pathétique ».