Les Français auront-ils du chauffage cet hiver ou devront-ils tous céder à l’injonction de Bruno Le Maire, le ministre de l’économie, d’acheter des cols roulés ? Alors que la guerre en Ukraine a permis à Ursula von der Leyen de décréter des sanctions qui portent préjudice à nos pays européens, la disparition de notre souveraineté énergétique était programmée de longue date et entamée depuis longtemps à force de politique de sape de l’industrie. L’abandon de la maintenance des centrales nucléaires ajouté à l’obsession pour les éoliennes sans discernement, en passant par des approvisionnements étrangers incohérents, voilà désormais la France renvoyée à l’heure des délestages, des rationnements et des pénuries.
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Le Samedi Politique avec Loïk Le Floch-Prigent - Nord Stream, nucléaire : le sabotage énergétique (video)
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Marion Maréchal : « Il faut réformer notre système syndical qui n’est pas suffisamment représentatif. La CGT est aujourd’hui ultra-minoritaire et vit davantage d’argent public que de ses cotisations » (Vidéo)
Marion Maréchal, vice-présidente exécutive de Reconquête : "On a typiquement avec la CGT un mouvement syndical qui est nuisible inversément proportionnel à la légitimité qu'il a (...) Il faut réformer notre système syndical qui n’est pas suffisamment représentatif. La CGT est aujourd’hui ultra-minoritaire et vit davantage d’argent public que de ses cotisations".
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Ukraine, énergie et industrie… Où sont les intérêts de la France ?
Vers une crise énergétique et industrielle
En mettant en œuvre tous ces « paquets » de sanctions, la France défend-elle ses intérêts ? L’Europe y défend-elle sa civilisation ? La question mérite d’être posée. Oublie-t-on que les sanctions sont à double tranchant ? Et que couper les Européens d’une énergie facile d’accès et peu chère – le gaz russe – c’est les priver eux et leurs industries de ce qui fait la sève de l’économie ?
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« Aucune solidarité avec la CGT ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Aucune solidarité avec la CGT.
Simple.
Direct.
Franc.
Sans ambiguïté.
Ce n’est pas une question politique.
Ce n’est pas une question économique.
Ce n’est pas une question sociale.
C’est infiniment plus grave que cela.
Existentiel même.
J’ai toujours dit que vous me trouverez du côté de ceux qui souffrent le plus.
Ce n’est pas le cas des ouvriers « nantis » des raffineries ou des cheminots qui sont également bien lotis, et nettement mieux que les aides-soignants ou nos infirmières.
Je suppose que vous me voyez venir.
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Ukraine : arrêtez le massacre ! par François Martin
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Procès de SOS Méditerranée : la réponse aux mensonges
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À Nantes, le père d’un étudiant lynché par une bande de jeunes tance la maire Johanna Rolland : “Je vis dans une ville où il est moins risqué de frapper des gens au hasard dans la rue que d’oublier de payer le parcmètre”
Le père de famille, dont le fils a été violemment agressé à 150 mètres de son domicile, a adressé une lettre au vitriol à Johanna Rolland.
Froide colère. Cyril Pineau, un père de famille installé à Nantes, a pris la plume lundi 10 octobre pour s’adresser à Johanna Rolland, maire socialiste de la ville. Quelques jours auparavant, son fils a été la cible d’une très violente agression qu’il a tenu à raconter, reprochant à l’édile nantais de ne pas lutter contre l’insécurité grandissante dans sa ville. « Ce samedi 8 octobre 2022, mon fils de 19 ans (…) a décidé de nous rendre visite dans notre appartement du centre-ville nantais », raconte le père de famille.
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[Tribune] Macron et la transition démographique : confusion et trahison
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Macron commence à prendre en boomerang la France qui roule au diesel
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La Russie confirme la désignation du groupe Meta, qui possède Facebook et Instagram, comme extrémiste
Les autorités russes ont ajouté Meta, société mère de Facebook et Instagram, à une liste d'organisations terroristes et extrémistes, rapporte la BBC, citant l'agence Interfax.
Pour rappel, les deux plateformes avaient été interdites en Russie en mars pour "russophobie". Meta avait alors notamment déclaré qu'elle autoriserait les messages tels que "mort aux envahisseurs russes", mais pas les menaces crédibles à l'encontre des civils.