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magouille et compagnie - Page 811

  • Sur Sud Radio, Stéphane Ravier - "Je ne sais pas si Monsieur Véran n'est pas aussi dangereux que le virus !".

    Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches du Rhône et président du groupe RN au conseil municipal de Marseille, est l'invité politique du lundi 12 octobre 2020, pour parler insécurité à Champigny-sur-Marne et à Marseille, et gestion de la crise sanitaire du Covid-19.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/10/12/sur-sud-radio-stephane-ravier-je-ne-sais-pas-si-monsieur-ver-6269311.html

  • Les cinglés sont de sortie

    Les cinglés sont de sortie

    Elisabeth Moreno (Ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances, ouf !) annonce sur France Inter qu’elle va lancer un guide pour l’accueil des « enfants transsexuels »dans les écoles.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-cingles-sont-de-sortie/

  • En vert et contre tout. Violences urbaines, migrants, masques...

  • La très coûteuse « libération » de l’islamofolle Sophie Pétronin : une objective trahison de nos soldats

    La très coûteuse « libération » de l’islamofolle Sophie Pétronin : une objective trahison de nos soldats

    De Bernard Antony :

    Mais pourquoi donc l’avoir ramenée chez nous ? Et à quel prix !

    Car, à l’évidence, la franco-suisse Sophie Pétronin, rebaptisée « Mariam » dans l’entendement musulman du prénom, n’en éprouvait pas un grand besoin. Il eut été moins onéreux pour l’État d’offrir à ses enfants le voyage Paris-Bamako pour qu’ils puissent vérifier que leur mamie allait fort bien.

    Tellement frétillante et diserte que, manifestement, Emmanuel Macron que l’on avait déplacé pour l’accueillir ce vendredi à Villacoublay, en était gêné. On avait, certes, déjà vu des otages libérés se garder par prudence de toute parole hostile à l’égard de leurs ravisseurs. Mais dans le cas de Mariam, rien que des propos de complaisance, et même plus encore de reconnaissance, pour lui avoir donné l’occasion d’une « retraite spirituelle » débouchant sur sa conversion à l’islam.

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  • L'écologisme de marché, l'industrialisme à visage humain (2012)

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    Au lendemain d'une élection présidentielle sous faux drapeaux - Nicolas Sarkozy pouvait aussi peu se réclamer du conservatisme que François Hollande du socialisme -, nos grands partis productivistes dépeignent les Verts en hippies bucoliques. Dans L'enfer vert. Un projet pavé de bonnes intentions. Ce que nous réservent les écolo-technocrates à partir du cas de Lille-Métropole, le groupe anti-industriel grenoblois Pièces et Main d'Œuvre démontre au contraire comment les écologistes dessinent les contours d'un néocapitalisme à teneur industrielle garantie. Voyage chez les Diafoirus d'Europe-Écologie-Les Verts.

    « La France ne doit pas rater la nouvelle révolution industrielle écologique », annonce solennellement le programme officiel des Verts. Ceux-ci prônent « une économie plus robuste, plus riche en emplois, comportant de nouvelles activités industrielles [...], une urbanisation maîtrisée, une situation énergétique équilibrée ». De savoureuses formules incantatoires qui rappellent les avertissements catastrophistes rendus obligatoires au bas des paquets de cigarettes. Annoncer l'Armageddon tout en continuant de foncer tête baissée dans l'industrialisme, ainsi parle la Pythie verte lorsqu'elle nous assène doctement qu’ « il faut engager notre pays sur la voie d'un mix énergétique 100 % renouvelable ». Démanteler, fût-ce graduellement, notre parc vieillissant de centrales nucléaires, dont les déchets radioactifs polluent, pour des centaines d'années, nos sols et nappes phréatiques, non sans multiplier le nombre de cancers de la thyroïde, tombe bel et bien sous le sens.

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  • Le feuilleton Zemmour

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    Par Olivier Perceval

    Il y a ceux qui ont peur de la Covid, et puis il a ceux qui ont peur de Zemmour. Ces derniers traquent le chroniqueur sur les rares plateaux télé où il a encore accès, dans l’espoir de s’indigner à peu de frais et organiser le tollé (A mort ! Relâche Barabbas ! Crucifie-le ! Crucifie-le !) Et le CSA de s’émouvoir et l’administration judiciaire de se mobiliser. On nous a déjà fait le coup avec Valeurs actuelles et madame Obono.  Notre très digne garde des sceaux, quant à lui, oubliant qu’il n’exerce plus la fonction d’avocat des meurtriers les plus abjectes, n’a même pas l’attitude de Pilate, mais crie à mort avec les grands prêtres. Non, Zemmour n’est pas Jésus, il n’est même pas chrétien, là s’arrête la comparaison, de plus il a le verbe haut et le ton passionné et l’accusation dont il est pour la N ème fois la victime n’a pas changé : Il est raciste un point c’est tout. L’équation est simple, si on est pour mettre un frein à l’immigration, cela veut dire qu’on est raciste, franchouillard, petit blanc et donc juste autorisé à la fermer et prendre des coups sans les rendre. Et cela ne va que dans un sens bien sûr, les propos racistes tenus par ceux qui interdisent l’accès aux blancs non musulmans dans les réunions indigénistes et « décolonialistes » ne peuvent en aucun cas être critiqués, puisque là , il s’agit d’ éternelles victimes, donc non coupables.

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  • Sur Sud Radio, fallait-il relâcher des djihadistes pour libérer Sophie Pétronin ?

    Philippe David avec Philippe Bilger, Pablo Pillaud-Vivien et Caroline Pilastre.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Pourquoi la dette de plus de 2 300 milliards ne se règlera que par l’esclavagisme et le sang du peuple

    Par Valérie Bugault, Docteur en droit, ancienne avocate fiscaliste, analyste de géopolitique juridique et économique

    Le sang est la face sociale et politique de la dette. Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, dans cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées.

    Autrement dit, l’endettement conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, elle est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2 315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, nous allons voir que l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.

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  • Contre le nouvel ordre sanitaire

    BHL-Virus-195x300.jpegDans l’ensemble, notre famille de pensée a bien réagi au « confinement » du printemps 2020, qui était une quarantaine n’osant pas dire son nom (voir Éléments, n° 184, encadré de la page 37). Dans le même numéro, Hervé Juvin se demande si tout principe poussé à son extrême ne finit pas par s’inverser. Cela expliquerait comment, après un demi-siècle entonnant l’hymne à la grande déesse Mobilité, on est passé du jour au lendemain à l’arrêt de la quasi-totalité de la planète.

    Toujours dans la même livraison, ainsi que dans la suivante (Éléments, N° 185), je recommande la lecture des articles de Slobodan Despot, tout comme dans Synthèse nationale (n°54 cliquez ici), je conseille de lire les contributions de Pieter Kerstens, Bernard Plouvier et Charles-Henri d’Elloy. De tous ces très bons textes se dégage l’idée que les mesures de sécurité prônées par les conseillers scientifiques et relayées par les dirigeants politiques sont disproportionnées par rapport au risque sanitaire réel.

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  • Le Nuremberg des crimes contre l’humanité du Covid-19 s’ouvrira bientôt – 2ème partie

    Le Dr. Reiner Fuellmich est un avocat spécialiste de la protection des consommateurs en Allemagne et en Californie et l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Covid. 
    Avec ses confrères, il s’est mis en réseau avec des avocats internationaux représentant au moins 60 pays, en vue de plaider dans la plus grande affaire de responsabilité délictuelle de toute l’histoire : le scandale de la fraude du Covid et le crime contre l’humanité qu’elle représente, au sens des tribunaux de Nuremberg.
    Dans une vidéo mise en ligne  sur sa chaîne YouTube ainsi que dans une interview audio accordée au site lanceur d’alertes “The Whistheblower”, il s’est présenté et a indiqué les trois grandes questions qui devront être plaidées d’urgence devant la Justice. Ceci faisait l’objet d’un premier article dont celui-ci représente la suite.
    L’établissement des faits entamé dans la 1ère partie se poursuit ici sur deux pages encore, et il est suivi de leur analyse. 
    En mars 2020, le Bundestag allemand annonçait une ”situation épidémique d’importance nationale”, l’équivalent allemand d’une pandémie. L’annonce fut suivie du confinement et de la suspension sine die de tous les droits constitutionnels fondamentaux des citoyens,. Tout ceci fut décidé sur la base de l’avis d’une seule et unique personne, en violation du principe universellement accepté de “audiatur et altera pars”, qui consiste à entendre la partie adverse. 

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