Dictature ? Totalitarisme ? Les opposants à l’obligation vaccinale déguisée en interdictions, discriminations et sanctions soumises à la possession d’un passeport sanitaire ont souvent affaibli leur position par l’emploi de termes excessifs aux yeux de la majorité des médias et, donc, de l’opinion publique. Toutefois, la mobilisation contre les mesures jugées liberticides semble s’amplifier et se durcir. La raison ne s’en trouve pas dans l’irresponsabilité et l’ignorance des réfractaires mais bien dans la dérive d’un pouvoir qui n’est peut-être ni une dictature ni, encore moins, un totalitarisme, mais qui connaît une dérive de la démocratie vers de tels régimes.
magouille et compagnie - Page 808
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Alors, dictature ou totalitarisme ?
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Le véritable 1789 c'est maintenant !
Eric MontanaLa guerre d’élimination a donc commencé. Les humains devenus inutiles ne seront pas éliminés dans des camps de concentration mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation et à l’énergie.
Je retrouve dans mes archives un texte rédigé en 2004 qui m’avait été envoyé et que j’ai conservé. J’ai perdu la référence mais je vous en retranscris quelques passages :
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UN TOTALITARISME PARADOXAL ?
Dictature ? Totalitarisme ? Les opposants à l’obligation vaccinale déguisée en interdictions, discriminations et sanctions soumises à la possession d’un passeport sanitaire ont souvent affaibli leur position par l’emploi de termes excessifs aux yeux de la majorité des médias et donc de l’opinion publique. Toutefois la mobilisation contre les mesures jugées liberticides semble s’amplifier et se durcir. La raison ne s’en trouve pas dans l’irresponsabilité et l’ignorance des réfractaires, mais bien dans la dérive d’un pouvoir qui n’est peut-être ni une dictature, ni encore moins un totalitarisme, mais qui connaît une dérive de la démocratie vers de tels régimes.
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Régis de Castelnau : « Nous avons une minorité, extrêmement minoritaire, qui est en train d’imposer un carcan liberticide à ce pays »
Régis de Castelnau revient sur le débat à l’Assemblée nationale de jeudi soir sur le passe sanitaire. Pour lui, « il y a une bascule autoritaire et liberticide inquiétante, mais ce n’est pas une dictature ». Pour autant, il dénonce le carcan imposé aux Français.
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Pass sanitaire : tout est sous contrôle
Depuis mercredi, les Français doivent montrer patte blanche et épaule vaccinée pour aller au cinéma, au musée ou dans des établissements sportifs. En attendant les cafés, transports et restaurants le 1er août… Parallèlement, le texte de loi instaurant ce nouveau système de contrôle, que le gouvernement veut faire adopter à marche forcée pour couper l’herbe sous le pied de la contestation populaire qui ne cesse de croître, est débattu à l’Assemblée nationale.
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Assemblée nationale : où étaient les 350 députés absents ?
Le projet de loi sanitaire « passe sanitaire/vaccin obligatoire » a été adopté en première lecture par 117 voix pour, 86 contre, soit environ 35 % des députés. C’est cohérent avec la désaffection dont ont témoigné les Français lors des dernières élections, sauf que là, il s’agit de personnes élues pour représenter toute la nation et payées pour ça. Lorsqu’un texte est aussi critique en matière de liberté, d’égalité et de fraternité, le citoyen lambda s’attendrait à un effort exceptionnel de ses élus, par exemple rester massivement dans l’Hémicycle jusqu’à 5 h 00 du matin pour voter. Encore raté.
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Exclu BV : passe sanitaire, les consignes de Gérald Darmanin aux policiers
Dans un télégramme adressé aux préfets, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a éclairci les consignes des forces de l’ordre concernant l’application du contrôle du passe sanitaire. Note que nous avons pu nous procurer.
Le ministre rappelle en préambule les trois priorités de la mise en place de ce passe : inciter très fortement à la vaccination, adapter les règles et les outils pour ne plus appliquer de contraintes aux personnes vaccinées et anticiper l’évolution de l’épidémie.
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Éloge mesuré de la dictature sanitaire
En Europe, nous avons toujours été une terre de discussions, parfois vives, sur divers sujets. La vérité n’est atteignable que si le débat est libre et si toutes les opinions s’expriment. (Polemia)
Eric Delcroix
Le pays bruit de mille échos, dans les médias, dans les réseaux sociaux et jusque dans la rue, contre la « dictature sanitaire ». Certes, nous avons l’impression d’être sous une telle dictature, mal vécue après dix-huit mois de restrictions, de confinements ou couvre-feu. Mal vécue d’abord parce que maladroite, maladresse symbolisée par le maintien à la Direction de la Santé d’un bureaucrate qui nous avait dit que le masque « ne servait à rien », avant d’en justifier l’obligation, même au milieu de nulle part.
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Zoom avec Alain de Benoist : Survivre à la désinformation
Dans son dernier ouvrage Survivre à la désinformation, Alain de Benoist décrypte l’actualité nationale et internationale en répondant aux questions du journaliste Nicolas Gauthier.
Le philosophe analyse les événements de notre de temps : la mascarade démocratique, le risque de guerre civile, la politique sanitaire, l’état de l’UE, la crise du capitalisme, la guerre commerciale sino-américaine ou encore l’émergence du modèle illibéral. Si pour Daniel Lindenberg « la pensée réactionnaire a largement gagné la bataille des idées », que doivent encore remporter les réacs pour accéder au pouvoir ?
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Vaccination exigée et pass sanitaire discriminant – Les députés divisés, par Francis Bergeron
L’extension du pass sanitaire devait être débattue à partir de mardi. Officiellement il s’agit de contrer au plus vite le variant Delta, en forte progression. Mais il faut aussi sans doute prendre de vitesse les opposants à la dictature sanitaire qui, après la mobilisation réussie de samedi, donnent partout de la voix.