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magouille et compagnie - Page 933

  • Les frontières, les masques, les tests… ça ne sert à rien ! Et nos gouvernants, à quoi servent-ils ?

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    « Ça ne sert à rien ! » C’est devenu un refrain. Dans tous les médias. Les mots sont les mêmes, le ton aussi : pédagogique et légèrement supérieur. Ils sont les sachants, vous autres les ignorants. Mais s’ils savaient, et que vous ignoriez, pourquoi n’ont-ils rien anticipé et mettent-ils leur terrible retard à l’allumage sur le compte de l’inconséquence des Français ?

    Les frontières, ça ne sert à rien, très chère. D’ailleurs, c’est impossible à rétablir. C’est même pour cela que tous les pays ont fini par les fermer – avec une efficacité proportionnelle à la rapidité de la mise en œuvre. Si le confinement à l’échelle d’une maison est efficace, pourquoi celui à l’échelle d’un pays ne le serait-il pas ?

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  • Manipulation immigrée pour émouvoir l’opinion publique

    Voici encore des images significatives des méthodes des immigrés massés à la frontière grecque pour émouvoir l’opinion publique.

    On y voit des immigrés s’emparer d’un enfant et le fracasser contre le bouclier d’un policier grec.

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  • [MIGRANTS] Fidèle à elle-même, l'UE abandonne la Grèce à son sort

  • Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

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    Paul Vermeulen

    Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpi- taux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

    « Tous » ? Pas sûr, à voir ce qui remonte déjà des ban- lieues et de certains quartiers. Qui pense que le confine- ment va être respecté dans ces endroits ? Mercredi 18 mars en soirée, une fois n’est pas coutume, les médias officiels montraient des images de quartiers pari- siens dont les populations ne respectent rien. Ce sont les mêmes que d’habitude : les territoires perdus de la République, où la sécession évoquée par François Hollande puis par l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour de sa démission, est déjà effective.

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  • Le député Laetitia Avia, censeur d’internet, veut forcer son attachée parlementaire à enfreindre le confinement

    Laetitia Avia est ce député africain chargé d’organiser la censure complète d’internet pour le compte du Régime. Elle s’était auparavant fait connaître par un comportement frisant le cannibalisme.

    « Restez chez vous et recourez au télé-travail ». La consigne du gouvernement est plutôt claire.

    « Or, selon des informations de Libération mercredi, une élue ne donnerait pas vraiment l’exemple. Il s’agit de Laetitia Avia, députée LREM de Paris. Cette dernière insisterait pour que son attachée parlementaire, pourtant confinée dans sa maison secondaire dans le Gard, revienne dans la capitale.

    «Cette collègue est en vacances depuis le 7 mars dans le Gard et sa députée veut depuis lundi soir (soit après l’allocution d’Emmanuel Macron, ndlr) qu’elle rentre à Paris. Ce qu’elle a clairement refusé pour faire prévaloir sa santé. Cela n’a aucun sens», a déploré Laurence de Saint-Sernin, la secrétaire générale du syndicat Solidaires de l’Assemblée nationale, alertée mardi. Détail notable : l’attachée parlementaire est atteinte d’une maladie auto-immune, ce qui l’expose davantage au risque de contamination du coronavirus. Pour la secrétaire générale du syndicat Solidaires, Laetitia Avia «met en danger sa collaboratrice, prend le risque de propager l’épidémie et ignore les règles liées au confinement de la population». Selon Libération, la députée LREM aurait même proposé de demander au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de mettre des moyens en œuvre pour assurer le retour de son assistante. […] » (source Le Figaro)

    http://www.contre-info.com/le-depute-laetitia-avia-censeur-dinternet-veut-forcer-son-attachee-parlementaire-a-enfreindre-le-confinement#more-61560

  • Quel confinement dans les « quartiers » ?

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    Le propre des crises comme celle que nous tentons de traverser est de révéler des vérités qu’on aimerait bien tenir cachées. Des vérités qui montrent combien notre « vernis civilisationnel » est peu épais, prêt à craquer à la moindre contrainte dans notre temps où l’égoïsme est roi.

    Vérité des États et des peuples aussi, pour autant que cette mondialisation qui nous saute « viralement » à la gorge laisse encore s’exprimer un peu les mentalités profondes qui nous façonnent.

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  • Covid-19 : soupçons sur un mensonge d’Etat, par Ivan Rioufol

    Agnès Buzyn a menti. Envahie par le remords, elle le reconnait à ma consoeur Ariane Chemin, dans Le Monde daté de ce mercredi. Alors qu’elle était encore ministre de la Santé, elle avoue qu’elle n’aurait pas dû dire, le 24 janvier, parlant du coronavirus apparu en Chine : “Le risque d’importation de cas depuis Wuhan (…) est maintenant pratiquement nul (…) Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible“. Disant cela, Agnès Buzyn savait qu’elle trompait l’opinion. Aujourd’hui, elle explique en effet :

    Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine. Le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumonies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections (municipales) ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein.

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  • HAUTE TRAHISON !

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    Michel Onfray cliquez ici

    Buzyn, sa vie, son œuvre
    En publiant un article (le 17 mars 2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir !
    Or, les Français ne sont pas débiles : ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.
    Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière : "Je me demande ce que je vais faire de ma vie."  Ensuite, le plat de résistance : "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste : "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ?" Pauvre petite fille riche...
    Détaillons...

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  • Sur Sud Radio, André Bercoff : "Certains devront rendre des comptes" (État de l'hôpital public).

  • Ils sont ignobles [Addendum]

    Ils sont ignobles [Addendum]

    Le sénateur Laurence Rossignol a déposé un amendement au Projet de loi Urgence covid-19, profitant de la crise sanitaire pour tenter de faire passer de nouvelles transgressions éthiques, sans aucun scrupule :

    Par dérogation aux articles L. 2212-1 et L. 2212-7 du code de la santé publique, jusqu’au 31 juillet 2020, l’interruption de grossesse peut être pratiquée jusqu’à la fin de la quatorzième semaine de grossesse.

    Elle explique :

    Déjà, des services d’orthogénie constatent que les restrictions de circulation à l’intérieur et à l’extérieur du territoire français combinés aux bouleversements de l’activité hospitalière fragilisent les conditions d’accès à l’IVG et renforcent les inégalités territoriales.

    Le CNGOF a adressé le 17 mars à ses membres des recommandations pour assurer la continuité tout en limitant leur durée et leur complexité de la prise en charge et pour accueillir « les patientes possible COVID-19 ».

    À la demande de plusieurs professionnels de santé, par anticipation des risques d’impossibilité d’assurer les IVG dans les délais légaux, cet amendement vise à permettre au Gouvernement d’allonger de deux semaines les délais légaux et de supprimer l’exigence d’une deuxième consultation pour les mineures.

    Addendum 20/03 : son amendement a été rejeté.

    https://www.lesalonbeige.fr/ils-sont-ignobles/