Ça y est, c’est fait. Le parti Fidesz du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a claqué la porte du groupe du Parti populaire européen (PPE) du Parlement européen, une conjonction de députés prétendument de droite mais, en vérité, adeptes des théories droit-de-l’hommistes et immigrationnistes qui gangrènent notre continent. Une réforme des statuts approuvée à une très large majorité de collabos et devant permettre l’exclusion d’une délégation complète a été le déclencheur du départ des douze élus hongrois.
magouille et compagnie - Page 937
-
Viktor Orban décide de quitter la fausse droite au Parlement européen.
-
Le vain ambitieux amphibie de Beauvau

Didier Lecerf
« L’ennui avec les hommes politiques, c’est qu’on croit faire leur caricature alors qu’on fait leur portrait »
Sennep
Si j’étais caricaturiste, forçant le trait et exagérant les défauts, je donnerais sans doute à l’actuel occupant de l’hôtel de Beauvau, Gérald Darmanin, l’aspect d’un amphibien. Tout, chez lui, me paraît, en effet, conduire à ce choix. Ainsi, à l’image de n’importe quel représentant de cette espèce de tétrapodes à sang froid, les yeux grands ouverts et les lèvres minces, depuis une vingtaine d’années, il nage avec aisance dans les eaux stagnantes du marigot politique ; à l’image de la grenouille de la fable, il « s’étend, s’enfle et se travaille » pour gagner en stature ; et avec constance, méthode mais aussi, semble-t-il, ruse (ses « amis » ne le surnomment-ils pas « Darmalin » ?), il œuvre à sa métamorphose en « homme d’Etat » ou, du moins, à l’apparence de celle-ci.
-
GPA: LES FEMMES TOUJOURS PERDANTES ?
-
Et si les complotistes avaient raison ?

Arnaud Raffard de Brienne
Article publié dans le n°56 (hiver 2020 2021) de la revue Synthèse nationale cliquez ici
À en croire les médias du Système, grands par leur audience bien qu’en déclin continu malgré une perfusion financière permanente, la multiplication du nombre des « complotistes », adeptes de foisonnantes « théories du complot », toutes plus folles les unes que les autres, constituerait la principale épidémie actuelle, plus grave sans doute, laissent-ils à croire, que celle de la Covid-19. Semble relever de cette catégorie toute personne une peu trop encline à remettre en cause la version officielle et médiatiquement agréée des évènements, actions et décisions des tenants du pouvoir et de leurs relais.
-
Olivier Veran s’enorgueillit de “rendre leur liberté” aux personnes âgées

Il ne fait pas bon vivre dans un EHPAD aujourd’hui.
Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les derniers propos hallucinants d’Olivier Veran, l’actuel ministre de la santé qui a une étrange façon de s’occuper de la santé des anciens. Reconverti en kapo des maisons de retraites devenues des camps de la mort pour personnes âgées, il manie la schlag et le bâton, la seringue et l’injection, après avoir imposé le mortel Rivotril et l’absence de soins adéquats pour ne pas engorger des hôpitaux dont il a œuvré à la dégradation par des coupes sombres dans le budget et les fermetures de lit.
-
ITALIE : LA DÉMOCRATIE PIÉTINÉE AU NOM DE L'EUROPE ?
-
L’UNEF réclame en écriture inclusive des protections périodiques… dans les toilettes des hommes.

Image d'illustration © Jaap Arriens/Sipa USA/SIPA
Comme le rapporte le Canard enchaîné, le syndicat étudiant de gauche a souhaité mettre à disposition des protections périodiques pour les hommes transgenres.
Les détracteurs de l’écriture inclusive, à commencer par l’Académie française, vont encore enrager. Comme le rapporte le Canard enchaîné dans son édition du 3 mars, l’UNEF réclame en effet en écriture inclusive des protections périodiques… dans les toilettes des hommes. « Ces protections périodiques doivent également être accessibles dans les toilettes des hommes et les toilettes neutres car les hommes transgenres ou encore les personnes non binaires ont aussi leur règles », a indiqué le syndicat étudiant de gauche dans son communiqué. Comme le précise le Canard, l’UNEF n’est toutefois pas en mesure de quantifier le nombre d’étudiants qui pourraient profiter de cette disposition.
-
62% des Français estiment que les politiques sont traités « moins sévèrement » que les simples citoyens, selon un sondage

Après la condamnation lundi de l’ancien président Nicolas Sarkozy à trois ans d’emprisonnement dont un an ferme dans l’affaire des « écoutes », un sondage Ifop pour le JDD révèle que 62% des Français estiment que les personnalités politiques sont traités « moins sévèrement » que les simples citoyens. Seuls 12% des sondés considèrent que les personnalités politiques sont traitées « plus sévèrement » que les simples citoyens, et 26% « ni plus, ni moins sévèrement ».
-
Marseille : Medjadi Jahid déjà connu des services de police, interpellé armé d’un couteau en tentant de pénétrer dans une école juive et une épicerie kacher. (MàJ : Il a été interné)

Selon nos informations, Jahid, 60 ans, n’a pas été jugé compatible avec une mesure de garde à vue et a été hospitalisé d’office.
La procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens, nous précise que l’individu, arrêté ce matin armé d’un couteau aux abords d’une boulangerie casher, sur le boulevard Barry (13e), était “en rupture de traitement”. Pour l’heure donc, les questionnements autour des réelles intentions de cet homme, dont le comportement suspect aurait déjà été repéré hier dans le quartier, restent sans réponse. Pour autant, les enquêteurs de la sûreté départementale poursuivent leurs investigations.
-
Sorti de son devoir de réserve, l’officier de gendarmerie est blâmé pour avoir dit la vérité

Il faut vraiment que l’heure soit grave pour qu’un capitaine sorte de son devoir de réserve, quitte à assumer les sanctions disciplinaires. Cela en dit long sur l’urgence de la situation. « La violence qui gangrène aujourd’hui notre société, comme en témoignent les récentes affaires d’affrontements entre bandes rivales dans les quartiers dits sensibles, mais aussi dans les zones rurales ou périurbaines, n’arrive pas à être prise en compte de manière judiciaire », explique Hervé Moreau, l’ancien commandant en second de la compagnie de gendarmerie départementale de Beaune au Figaro.
