Avec leur délirante politique du numerus clausus (limitant le nombre d’étudiants en médecine) appliquée pendant des décennies jusqu’à très récemment, les politiciens de gauche et de « droite » ont mis la France dans une situation terrible, dont nous goûtons actuellement le résultat avec le cas d’une épidémie, en la privant volontairement de médecins et brisant la vocation de centaine de milliers de jeunes
Mais c’est aussi la désertification médicale de nombreuses régions. Et la justification pour faire venir toujours plus d’immigrés (en dégradant le niveau médical).
L’occasion pour nous de diffuser cet article paru dans l’excellente revue L’Héritage (n°12, en 2017) :
« Le scandale du « grand remplacement » des médecins
Depuis 1971, l’État fixe le nombre les Français admissibles aux études de médecine (numerus clausus) : ils sont donc soumis à un concours, et seule une petite partie est acceptée. Ce qu’on demande pourtant à un médecin, c’est d’avoir un niveau de connaissance et de compétence donné (cas d’un examen) et non pas d’être meilleur que les autres (concours).
Au début des années 1970, le numerus clausus tournait aux alentours de 8 500, avant de baisser jusqu’à 3 500 pour la décennie 90. Il se trouve ces dernières années entre 7 500 et 8 000.
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