"Je sors de la séance des questions d'actualité au Gouvernement. Le Premier Ministre et le Ministre de la Santé ont été incapables de répondre avec cohérence aux questions des parlementaires... Le bricolage gouvernemental atteint des sommets !"
magouille et compagnie - Page 945
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Le bricolage gouvernemental atteint des sommets !, par Nicolas Dupont-Aignan.
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La démocratie contre le peuple
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“L’islamophobie”, cette nouvelle fatwa qui encourage à nous massacrer
Le professeur de lycée (photo) a été décapité pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves, lors dans d’un débat sur la liberté d’expression. Si le professeur d’histoire avait permis aux élèves gênés de quitter la pièce, son débat sur la liberté d’expression a provoqué la colère des plusieurs parents d’élèves de familles musulmanes.
Après des jours de crispations entre l’établissement et la famille, une note précisait lundi que la tension semblait être retombée mais insistait sur le profil d’un homme – qui n’avait pas d’enfant scolarisé dans l’établissement – particulièrement énervé. Le professeur se savait menacé de mort sur les réseaux sociaux. Accusé d’islamophobie par des parents en colère, il a été assassiné comme si une fatwa avait réclamé son exécution. Victime de pressions de la part de certains parents d’élèves, il était en effet devenu une cible. La responsabilité morale et juridique de ces parents musulmans doit être engagée. Le terrorisme n’est que la partie émergée de l’iceberg.
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Mesures « anti-Covid » annoncées par Macron : les Français payent l’incurie du gouvernement, par Franck Deletraz
Instauration à partir de samedi, et pour au moins un mois, d’un couvre-feu entre 21 heures et 6 heures en Ile-de-France et dans ces huit autres métropoles du pays que sont Lille, Grenoble, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Etienne et Toulouse ; autorisation de se rendre dans la famille pour la Toussaint mais à condition de « porter le masque » et de « respecter les distances » ; limitation des réunions privées ou au restaurant à « six personnes maximum »…
Comme l’on pouvait s’y attendre, c’est un nouveau et sérieux tour de vis que le président Macron a annoncé mercredi soir, au nom de la lutte anti-Covid, lors de son interview télévisée par les journalistes de TF1 et de France 2. Des mesures liberticides et d’autant plus injustes qu’elles font payer aujourd’hui aux Français l’incurie d’un gouvernement qui, depuis mars dernier et le confinement, n’a quasiment rien prévu en vue de la seconde vague épidémique annoncée.
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Gestion sanitaire du covid : l’incurie macronienne. Où sont passés les 12000 lits annoncés ?
Incurie : manque d’application, négligence extrême (Larousse)
Ce compte Twitter déjà signalé aux lecteurs du Salon beige a ressorti un extrait du point de situation du Premier ministre tenu le 27 août 2020 et concernant le covid-19.
Nous voulons illustrer, en cette période d’annonce d’un couvre-feu, les propos tenus par M.Véran, ministre de la Santé, et concernant les capacités hospitalières en réanimation (à environ 50 minutes du début de la séquence).
Premier extrait, première illustration :
« Si une pression sanitaire trop forte devait se faire sentir, nous avons en tout cas anticipé, sécurisé nos capacités de réponse ».
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J’accuse les lâches et les hypocrites
Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.
Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !
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Une dérive qui nous éloigne d’un État démocratique
Le long entretien entre l’hôte de l’Élysée et deux journalistes complaisants, voire admiratifs, était une opération de communication. Un chef d’État n’a pas à rentrer dans des détails ou des commentaires visant à faire croire à une empathie pour « les jeunes » ou à l’intérêt qu’il porte aux gestes quotidiens. Si l’heure est grave, il doit en exposer les enjeux aux Français et tracer une route : quinze minutes suffisaient pour annoncer et justifier le couvre-feu, la demi-heure supplémentaire était du délayage. Cette présidentialisation outrancière du régime a une cause : la fragilité psychologique de M. Macron, sans doute mécontent des sondages plus favorables que les siens de son ex-Premier ministre. Le choix du nouveau, terne à souhait, et son cantonnement dans un rôle ingrat et des tâches subalternes doivent le rassurer et satisfaire son ego après une émission en pleine lumière médiatique.
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CONFLANS : DES ACTES ET NON DES DISCOURS !
Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».
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Benghazi "Vous allez voir des documents explosifs faire surface"
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Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale
De Jacques Bompard :
Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.
Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.
Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».