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magouille et compagnie - Page 979

  • La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La crise du coronavirus et sa gestion par le pouvoir politique donnent lieu à des commentaires souvent intéressants et pouvant être développés à l’infini. D’autant plus que, mondiale, elle autorise aussi des comparaisons instructives.

    Cependant, l’objectif de ce texte n’est pas d’étudier cette gestion de la crise en France au regard d’une situation inédite de privations de libertés considérées comme fondamentales ; ni de pointer les incohérences d’une action qui suffiraient à remplir plusieurs tomes épais, même en tenant compte d’une compréhensible progression dans découverte des caractéristiques du virus, juste au regard de ce qu’est le bon sens ; ni même de juger de la pertinence intrinsèque des actions décidées ; ni encore de prévoir des perspectives judiciaires promises par certains.

    Le but est l’analyse de ce qui sous-tend en France l’action politique depuis le début de la crise sanitaire, révélant par là-même des spécificités de l’exercice du pouvoir macronien. Révélant d’ailleurs aussi de quelques traits de la société française qui seront vus en conclusion.

    Premier aspect : l’usage du mot « guerre ». Les fameux « nous sommes en guerre » dans l’adresse aux Français de M.Macron le 16 mars 2020.

    Cet usage est une contrefaçon, bien sûr. Car il ne s’agit que d’une crise sanitaire. Nous employons le terme contrefaçon, car il peut recouvrir tout à la fois une erreur d’analyse (inconvenante venant de gens si subtils et intelligents, comme le dirait Gilles Le Gendre) et un besoin de mise en scène (beaucoup plus probable). Cela permet mieux à l’exhibitionniste qui nous gouverne de plastronner.

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  • Faudrait savoir : transports publics ou voitures particulières ?

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    Pieter KERSTENS

    Les automobilistes, nouveaux serfs du 21ème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto est un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

    Que ce soit à Bruxelles, à Madrid ou à Paris, les jours de « SMOG », il est interdit de dépasser les 50 km/h en ville ou les 90 km/h sur autoroute !

    De plus, les politicards ont même établi une circulation alternée, en fonction de l’immatriculation (plaques avec numéros pairs ou impairs) lors de « pics de pollution » et inventé une vignette payante « Air Pur » à coller sur votre pare-brise.

    Des dizaines de milliers de contraventions donnent lieu à d’innombrables protestations.

    Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les Zones de Sécurité Prioritaires à forte densité d’immigrés.    Discrimination ?

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  • Génération Identitaire lance l’alerte, Castaner contraint de sermonner les imams, par Clément Martin

    Alors que la France n’en finit plus de compter ses morts, des musulmans profitent du confinement pour multiplier les provocations et occuper l’espace public. Les jeunes identitaires ne pouvaient pas les laisser faire sans réagir.

    Des appels à la prière islamique envahissent l’Europe

    Le 25 mars, jour de la fête de l’Annonciation, les évêques de France ont fait sonner les cloches des églises pour « demander à la Vierge Marie de remplir nos cœurs de foi, d’espérance et de charité » et plus généralement « pour manifester notre fraternité et notre espoir commun ». Au nom d’une prétendue solidarité interreligieuse et d’une forme d’égalitarisme, des islamistes en ont profité pour faire retentir l’appel à la prière musulmane (« l’adhan ») dans plusieurs villes de France.

    A Lyon, l’appel lancé depuis le minaret de la Grande mosquée a suscité l’indignation de nombreux internautes. Rappelons que lors de sa construction, les responsables du lieu de culte avaient affirmé que le minaret ne devait « pas diffuser d’appel à la prière » (L’Express, 22/09/1994)…

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  • La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    Tandis qu’Eric Zemmour a été pris à partie dans la rue, le gouvernement annonce la création d’une plateforme labellisant les informations sur le Covid-19. Dans Valeurs Actuelles, le Père Danziec analyse :

    […] La domination de la gauche sur la vie intellectuelle française, on l’observe, ne fonctionne plus. Faute de renouvellement, son logiciel apparaît plus que jamais périmé. Le réel, qui finit toujours par parler, a repris le dessus. Ils nous avaient promis un monde sans barrière, un univers sans classe, du plaisir sans limite. Le résultat fait peine à voir. Les pays sont confinés chez eux. La crise économique s’annonce sans précédent. Et, comme l’a montré le mouvement des Gilets Jaunes, la société crève de l’injonction à jouir sans entraves. Les pavés n’ont pas découvert une plage mais conduit à une impasse. Dans ce contexte de faillite de la gauche, le dialogue devient menaçant pour qui veut conserver sa place ou délétère pour qui refuse de se remettre en cause.  Le progressisme l’a bien compris, à trop jouer avec le dialogue il pourrait finir par s’y brûler. Pour éviter la confrontation, il lui reste deux grands moyens : la haine ou le discrédit.

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  • Après-11 mai : Olivier Véran manie la carotte et le bâton, avec une préférence pour le bâton !

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    C’est, paraît-il, le propre des néophytes de faire preuve d’un zèle particulier. C’est, sans doute, le cas d’Olivier Véran, depuis qu’il a accédé par accident au poste de ministre de la Santé. Il prend son rôle au sérieux et n’hésite pas, à l’instar du Premier ministre ou du Président, à faire la leçon. Ainsi, après le Conseil des ministres de samedi, il a présenté les mesures qui vont encadrer le . À partir du 11 mai, si, toutefois, les Français ne se relâchent pas ! Pour en rajouter une couche, il a accordé un entretien au Parisien-Aujourd’hui en France de ce dimanche.

    Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes. Un projet de loi va être examiné illico presto par le Parlement pour prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 24 juillet, en « conforter le cadre juridique » et l’« élargir » pour « intégrer les enjeux du déconfinement ». Olivier Véran déclare qu’il ne s’agit pas d’« un pur, simple retour en arrière ». Sinon, « il y aurait fort à parier que tous ces efforts réalisés de manière admirable par les Français auraient été vains ». Nous voilà donc prévenus !

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  • EDOUARD PHILIPPE TON DECONFINEMENT EST NULLISSIME !

  • La colère monte

    La colère monte

    La colère gronde contre cette infantilisation permanente, contre la gestion catastrophique de la crise par l’Etat jacobin, contre le caporalisme de ces ministres sans légitimité. Quelques tweets parmi des dizaines d’autres:

    Voir les tweets

    Ou encore cette pétition contre les slogans abêtissants sur les chaînes télévisées.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-colere-monte-3/

  • Aides publiques à l’Afrique : n’en jetez plus !

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    Au troisième mois de pandémie du Covid-19 en , les populations africaines sont dans une situation économique en limite critique ; la gouvernance, dans des pratiques plus que jamais critiquables ; l’aide internationale, dans une posture de plus en plus critiquée.

    On avait déjà affirmé ici qu’en Afrique, la mauvaise gouvernance fait désormais plus de morts que les guerres, avec des pistes concrètes pour en sortir. Dès l’arrivée du Covid-19, on avait pressenti que la gouvernance publique, clé des problèmes et des solutions, serait à l’épreuve, rendant nécessaires les contrôles indépendants de l’usage de l’argent public.

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  • Sur le gaz de schiste

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    Le 22 décembre 2017, la cour administrative d'appel de Versailles confirmait l'annulation du permis de rechercher des hydrocarbures dont le gaz de schiste dans le Sud-Est de la France. Si Total peut encore contester cette décision devant le Conseil d'État, c'est une belle victoire pour les opposants qu manifestaient en nombre à Barjac (Gard) en février 2016.

    Les méfaits du gaz de schiste ont été popularisés par le documentaire américain de Josh Fox, Gasland, en 2010, malgré un contre-documentaire, TruthLand, sorti trois ans plus tard.

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  • « Désinfox » ou la démocratie libérale en question

    safe_image.png?w=300&h=157Nous apprenons l’existence d’un dispositif officiel dont l’objectif est d’identifier et valider  les informations de presse considérées comme authentiques et ainsi d’opérer un tri, dans la presse écrite ou radio professionnelle –  entre les « bonnes » et les « fausses » informations – qui ne sont pas dignes d’y figurer. Un tel raisonnement correspond à une logique de censure. Il incombe à la puissance publique, érigée en garante de la vérité, de valider les bonnes informations et dès lors, en creux, d’invalider les autres qui ne correspondent pas à sa conception du vrai ou du bien, de la vérité,  ce qui revient à une forme de bannissement aux yeux du public. Certains journaux, certains articles,  disent le vrai, les autres non: dès lors inutile de les lire. Or, en démocratie libérale, il n’appartient pas à l’Etat d’opérer un tri dans l’information. Nous avions déjà un naufrage du régime dans le culte de la personnalité, la neutralisation du parlement, la déresponsabilisation des gouvernements devenus quasi inamovibles quels que soient les désastres, une banalisation de la suspension des libertés individuelles (confinement obligatoire de deux mois), l’acceptation de principe de pratiques qui n’ont rien de libéral, comme le traçage. Aujourd’hui, la réintroduction d’un contrôle officiel sur l’information. Et tout cela dans l’indifférence généralisée. Une interrogation profonde: ont-ils conscience de ce qu’ils sont en train de faire? Ou juste dans l’incapacité intellectuelle d’en avoir conscience? Nous nous disions, attention, la démocratie libérale est d’autant plus précieuse qu’elle est fragile. Mais nous n’y croyons pas vraiment, nous la pensions, au fond, immortelle. La preuve est faite que non.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/