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L’annonce de l’interpellation d’Alain Soral et de sa mise en garde à vue devrait scandaliser tout le camp national.
Qu’importe, en ces circonstances, les reproches qui peuvent lui être faits concernant certains de ses propos, ses méthodes ou son mode de vie. C’est l’acte de persécution politique mené par la république maçonnique qui doit retenir notre attention.
Alain Soral est persécuté pour des idées et pour des mots. Il faut le souligner au moment où, par ailleurs, la république se paye le luxe de se désigner comme ministre de l’Intérieur un homme accusé de viol.
Voici quelque temps qu’une certaine droite française cherche quelques poux à la désormais célèbre « augmentation de la CSG ». Ironie de l’Histoire, les ex-partisans de Nicolas Sarkozy, ancrés au vaisseau amiral englouti des Républicains, s’acharnent sur un semblant d’opposition. En vérité, cette opposition sur la CSG est bien la seule qu’ils assument de porter, ayant fièrement renoncé à défendre la France, trop embourbés dans leur marotte européenne. Le bobo de droite aussi a ses valeurs, et finalement si peu éloignées d’Emmanuel Macron qu’il se fourvoie dans une bagatelle. Mais écoutons-le s’égosiller sur des pouièmes d’euro de CSG que perdent, désormais, les retraités.
« Dans un article du Monde, paru le 21 juillet 2020, Samuel Laurent se vante d’avoir épinglé un groupe de parole, Team Patriote, qui utilise la messagerie Telegram pour échanger plus librement que sur Twitter. Il écrit : « Le Monde a pu, durant plusieurs semaines, suivre en temps réel les discussions de ce petit groupe emblématique des procédés de « radicalisation » permis par les réseaux sociaux ». Quel beau coup de filet ! Emmanuel Macron et Jean Castex doivent se réjouir de voir le quotidien subventionné apporter de l’eau à leur moulin, au moment même où ils veulent sanctionner « la haine sur internet » et interdire le pseudonymat. Samuel Laurent se livre à une sociologie à la noix de coco de ce petit monde : des Français de la périphérie pour lesquels l’immigration, l’islam, le survivalisme, les armes à feu seraient une obsession et qui appelleraient à la « guerre raciale ». Autant dire, des Gilets jaunes de la première heure que Samuel Laurent se félicite d’avoir traqués.
Il est diplômé de l’École de journalisme de Grenoble, une école sous la houlette de Science Po Grenoble, qui prône « l’engagement social et citoyen ». On peut lire sur le site de cette école, très ancrée à gauche : « l’EjdG bénéficie de son implantation dans une métropole innovante socialement, politiquement et économiquement ». À mourir de rire lorsque l’on voit le destin tragique de cette ville, devenue l’une des plus meurtrières de France !
Alors que le futur Calife Erdogan menace de rouvrir les digues à un nouveau déferlement migratoire vers l'Europe, les arrivées massives ont repris en Italie et s'accroissent de jour en jour. Profitant d'une moindre vigilance italienne, due à la crise sanitaire et à l'éviction de Matteo Salvini du ministère de l'Intérieur l'automne dernier, 11 000 clandestins essentiellement venus de Libye et de Tunisie ont ainsi traversé la Méditerranée et débarqué à Lampedusa la semaine dernière. Le flux se poursuit et s'amplifie au rythme minimum de 300 illégaux par jour.
Il n'est pas encore trop tard pour endiguer, puis inverser cet envahissement.
Chacun de nous est face a ses responsabilités. Personne de notre camp n'a le droit de céder au découragement et de baisser les bras. Les solutions sont politiques. Politiques toujours. Politiques seulement. Le reste relève du rêve et de l'illusion. Nous n'avons plus le temps pour la métapolitique, les réflexions stratosphériques, les stratégies sur 10 ans... Plus le temps non plus des querelles ni des polémiques. Il y a urgence !
Quand on laisse les femmes enceintes se consacrer à leur grossesse, on réduit les risques.
Il y a de ces informations qui passent, à tort, relativement inaperçues, polluées par l’actualité qui se concentre sur l’obsessionnel Covid-19, les frasques de la famille Traoré ou, bientôt, les excentricités d’Alice Coffin. Ces nouvelles sont probablement jugées sans intérêt d’un point de vue polémique (quoique), mais devraient pourtant s’afficher en une des journaux. Car bien involontairement, il semblerait que le confinement, si peu convaincant en matière de prévention contre le Covid-19, ait eu un effet des plus inattendus sur les naissances prématurées.
Deux Afghans ont été condamnés à de la prison avec sursis après avoir été reconnus coupables d’agression sexuelle en réunion et de séquestration sur une jeune femme à Pontivy en mai dernier. Un laxisme judiciaire déroutant alors que des faits similaires se multiplient en Bretagne.
Agression sexuelle en réunion et séquestration à Pontivy
Une nouvelle affaire sordide de violences sexuelles sur fond d’immigration extra-européenne secoue de nouveau la Bretagne. Revenons-en tout d’abord aux faits qui se sont déroulés le 30 mai dernier. Ce soir-là, une femme « un peu alcoolisée » se rend dans un bureau de tabac de Pontivy pour y acheter des cigarettes. Sur le retour, tandis que son chemin la fait passer devant un groupe de cinq personnes, elle se fait alpaguer. Bien que ne prêtant pas attention aux invectives, l’un des hommes en question la suit avant qu’elle ne se mette à courir, puis finisse par tomber dans un buisson, projetée par l’agresseur. C’est alors que le cauchemar va commencer…
Dès l’annonce de l’accord à Bruxelles concernant le plan de relance européen, après quatre jours d’âpres négociations, Macron, le gouvernement, et les médias de concert ont plongé dans une véritable euphorie : une salve de satisfecits, cocoricos, congratulations et oufs de soulagement s’est déversée sur l’ensemble de la presse et de la classe politique.
Pays du nord frugaux, pays du sud cigales, tout le monde a trouvé son bonheur, l’Europe est sauvée. Macron s’est empressé de venir sur TF1 rendre compte de ce qu’il nous présente comme un succès sans précédent, historique. Sauf qu’au delà de l’avancée certaine de l’Europe sur la voie de l’intégration, pour nous Français ce plan d’aide est une véritable Bérézina, l’abandon complet de nos intérêts nationaux au profit de ceux des autres.
Pour la première fois, l’Europe va emprunter des fonds, 750 milliards, les répartir entre pays en fonction des sommes négociées, et rembourser ces sommes de façon commune. Cela est nouveau.
Si en France (et pas que !), beaucoup se désespèrent du nombre d’églises désaffectées, faute souvent tout autant de fidèles que de curés disponibles, voire vendues parfois pour être transformées en lieux d’activités bien étrangères à la moindre spiritualité, il est beaucoup moins courant qu’une basilique, convertie en mosquée, puis, 5 siècles plus tard, en musée comme « offrande à l’humanité », redevienne lieu de prières musulman.
Le monde catholique s’est ému du sort de l’ex-basilique de Sainte-Sophie – et Françoise Monestier s’en est même à juste titre indignée dans les colonnes de Présent –, mais également l’Église orthodoxe russe : « Nous constatons que l’inquiétude des millions de Chrétiens n’a pas été entendue, a regretté son porte-parole Vladimir Legoïda (selon l’agence Interfax) (…) La paix et la concorde entre les religions sont des questions extrêmement fragiles et complexes et qui ne peuvent supporter des décisions irréfléchies et purement politiques. »
Quand les politiciens nous disent qu'il n'est pas question d'envisager quelque chose, c'est précisément que la perspective s'en profile.
Ainsi, un projet de loi sera sans doute adopté cette semaine, de façon discrète sinon presque clandestine, en cette veille de vacances. Le texte venait en discussion en seconde lecture ce 27 juillet à l'Assemblée nationale. Il usurpe le terme de bioéthique et il a pour défenseur actuel Olivier Véran. Cette petite fouine était, hier encore, tapie dans l'ombre d'Agnès Buzyn. Au moment précis où une dizaine parlementaires siégeaient dans l'hémicycle en séance plénière, le technocrate Castex avait convié les députés de la majorité à un pot de fin de session. Un témoignage de plus, pensera-t-on, de l'indécent et sans doute inconscient mépris du régime actuel pour la séparation constitutionnelle des pouvoirs.