Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs : d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
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Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs : d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
Alors que le Covid-19 met en lumière l’amateurisme, la dilettante et l’inefficacité de la Start-up nation dans la gestion d’une crise d’ampleur mondiale, les plaintes s’accumulent contre l’exécutif. La solution envisagée par Macron et ses acolytes pour ne pas avoir à rendre de compte fait pâlir de jalousie tous les dirigeants autoritaires du monde, l’auto-amnistie !
Trouvé sur VA : « Nombre de familles de victimes du virus, de collectifs de soignants ont déposé plainte sur le fondement d’infractions telles que la mise en danger d’autrui, les blessures involontaires ou encore l’homicide involontaire.
C’est dans ce contexte que les futurs textes législatifs et réglementaires vont être adoptés. Or, certaines mesures décidées par le gouvernement, dont l’ouverture des écoles, vont être mises en œuvre par les maires, qui pourraient donc engager leur responsabilité, y compris pénale, en cas de défaillances.
La France s’est illustrée en étant le premier pays au monde à demander ouvertement aux géants de la technologie de la Silicon Valley de lever la protection des données personnelles des utilisateurs de leurs services pendant la “pandémie du Covid-19”, afin d’introduire une “solution européenne souveraine en matière de santé” qui permette de suivre à la trace les mouvements de ses citoyens.
Le gouvernement français entend dévoiler une application de traçage des contacts d’ici le 11 mai, date à laquelle le pays a prévu d’assouplir les mesures nationales de verrouillage introduites en mars dernier.
Epidémie de coronavirus oblige, le traditionnel hommage rendu chaque 1er mai par le RN à sainte Jeanne d’Arc a pris cette année une forme un peu particulière. Loin évidemment de rassembler les foules habituelles, cloîtrées chez elles en raison des restrictions liées au confinement, il n’en aura pas moins été l’occasion pour Marine Le Pen de dénoncer avec beaucoup de justesse la « faillite idéologique » du système à tous les niveaux et d’appeler à un renouveau de notre pays basé sur la souveraineté, l’indépendance et l’unité.
Jeudy pris en flagrant délit de désinformation
Tôt dans la matinée, la présidente du RN, masquée et accompagnée de son vice-président Jordan Bardella, s’était quand même rendue devant la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris, pour déposer aux pieds de la sainte une gerbe de fleurs, comme elle le fait chaque année. N’en déplaise au grand désinformateur de Paris Match Bruno Jeudy qui, jamais avare de « fake news », n’a pas hésité à qualifier ce déplacement de « cinéma » en affirmant que « Marine Le Pen, qui ne célébrait plus guère ces dernières années Jeanne d’Arc pour se distancier du FN de son père, la redécouvre en 2020 pour mieux se mettre en scène en masque » ! Une affirmation particulièrement stupide, parce que chacun aura pu vérifier sur Internet qu’elle était mensongère, mais à laquelle Marine Le Pen s’est contentée de répondre : « Vous voyez pourquoi vous avez un problème sérieux de crédit auprès des Français »…
Franck Buleux
L’heure est à la préparation du déconfinement, pas au déconfinement lui-même mais à sa préparation. Le pouvoir avance masqué, sans réelle ligne politique.
Si les masques sont en nombre insuffisant, ils sont facultatifs, s’ils sont en nombre suffisant, ils deviennent obligatoires. Tant que les tests seront en nombre insuffisant par rapport au nombre de nos concitoyens, ceux-ci seront facultatifs. C’est la politique de Gribouille mise en place par le président de la République et le premier ministre, assisté du ministre Olivier Véran et du scientifique Jérôme Salomon, l’homme du décompte morbide. La gouvernance n’est donc plus l’art de prévoir, comme l’indiquait Émile de Girardin en 1852, mais de l’empirisme pur et simple. Pour cela, il n’est nul besoin d’élus, il suffit de gestionnaires de stocks, une bonne formation de manager commercial et vous voilà promu ministre de la Santé. Rien de péjoratif ici, bien au contraire, un bon gestionnaire de stocks saura commander (et à qui surtout… et dans quels délais !) lorsque les stocks vont baisser. Un rapport d’équilibre entre les acquis et les besoins, se fondant sur un éventuel déficit sera mis en place.
C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits
Le nouveau coronavirus est réel.
La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.
Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
C’est ça.
En un mot, c’est tout.
Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.
«Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».
La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé un étranger qui fait l’objet d’une décision d’éloignement, dans l’attente de son renvoi forcé. Ce lieu est le plus souvent un centre de rétention administrative (CRA), gardé par la police.
Ces centres, dont l’existence et le fonctionnement sont indispensables au traitement des déboutés du droit d’asile et à la lutte contre l’immigration illégale, constituent des structures lourdes et onéreuses. Ils offrent un confort indécent à des délinquants lorsque l’on pense au sort des SDF français. Leur gestion est partagée avec des associations immigrationnistes qui sont loin de respecter le principe de neutralité qui leur est prescrit.
On ne peut également pas dire que l’administration des CRA et l’éloignement des personnes retenues par le ministère de l’Intérieur constitue un modèle d’efficacité et de sérénité.
Enfin, la pandémie du Covid-19 conduit les pouvoirs publics à vider les CRA des retenus qui sont ainsi largués dans la nature et contribuent au désordre public actuel.
Même si le Conseil d’État a refusé de les fermer à titre temporaire, leur fermeture définitive demeure à terme un objectif des associations gauchistes et immigrationnistes afin de détruire un instrument de la lutte contre l’invasion clandestine.
Éloignement et centres de rétention administrative (CRA)
La loi permet au ministère de l’Intérieur de prendre des mesures d’éloignement forcé des étrangers illégaux ou déboutés du droit d’asile hors du territoire français. Leur application est généralement précédée d’un placement en CRA.
Un CRA n’est pas un établissement pénitentiaire. La rétention ne doit durer que le temps d’organiser matériellement cette reconduite à la frontière.
Devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre a pensé que le refrain bien connu ferait illusion. Mais les Français ne peuvent être «en même temps» libérés et contrôlés, juge la philosophe Julia de Funès.
Par-delà la difficulté de l’exercice, la justesse du ton et le bien-fondé probable des mesures prises, le discours d’Édouard Philippe devant l’Assemblée nationale fut l’incarnation de la pirouette terminologique qu’est le «en même temps». Le «en même temps» de la complexité ne prenait-il pas soudain quelques airs de duplicité?
Nous serons déconfinés mais en même temps plus contrôlés. Nous passerons de l’enfermement à l’examen, de l’isolement à la surveillance: massification des tests, identification des cas-contacts, mises en place de brigades, plan de mise à l’abri, quadrillage géographique départemental, kilométrage limité. On troque une restriction de liberté physique contre une restriction de liberté psychologique.
Les prestations sociales ont toujours attiré les fraudeurs et ce n’est pas Charles Prats qui dira le contraire. Dans une interview accordée au Figaro, l’ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude affirme que de nombreux allocataires de la CAF frauderaient aux prestations sociales. Et Charles Prats va encore plus loin. En effet, il avoue qu’un grand nombre de ces fraudes seraient opérées par des étrangers. Selon des documents qu’il a transmis à la commission d’enquête parlementaire en cours sur le sujet, 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations sociales. Problème…. selon les chiffres de l’Insee et des organismes sociaux, il ne devrait en exister qu’un maximum de 9,9 millions. Ainsi, chaque mois, ce sont près de 2,5 millions de fraudeurs fantômes qui passent à la caisse et touchent des aides sociales.
C’est donc un véritable pavé dans la mare que jette Charles Prats. L’ancien magistrat dit avoir transmis les données à l’Assemblée nationale début mars, mais il déplore, depuis, le silence du ministère des Affaires sociales.
Il faut dire que le montant de cette fraude peut donner le tournis… 30 milliards d’euros par an. Et la facture totale pourrait être encore plus vertigineuse. Ces 30 milliards ne concernant que la fraude potentielle à l’immatriculation sociale, il faut potentiellement rajouter les autres types de fraudes sociales.
Pour mettre fin à ces pratiques, Charles Prats préconise de recertifier tous les numéros de Sécurité sociale en intégrant les empreintes digitales de chacun. Cependant, la lutte contre la fraude aux prestations sociales tétanise les responsables politiques et haute administration qui ne veulent pas être accusés de faire la chasse aux pauvres et aux étrangers.
Thibault Bastide
https://www.tvlibertes.com/actus/la-caf-victime-de-fraudeurs-fantomes-thibault-bastide