Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1122

  • Pays légal et contrôle de l’opinion, par Philippe Germain.

    Le noyau dur du pays légal se com­pose de deux élites :

    • Le cœur du Sys­tème : l’élite financière.
    • L’ossature du Régime : l’élite politique.

    Pour élec­to­ra­le­ment conser­ver le pou­voir, l’élite poli­tique contrôle le pays réel au tra­vers d’un effi­cace appa­reil de qua­drillage. Ses « clien­tèles » assurent la liai­son avec le pays réel.

    A l’ombre des dépu­tés, séna­teurs, ministre, secré­taires d’État, vit tout un petit peuple de clients, conseillers géné­raux et muni­ci­paux, d’obligés de toutes sortes, sans les­quels le pays légal serait sans prise sur le pays réel. Là ruis­sellent siné­cures et places dans les conseils d’administration : « , dira Maur­ras, voter, c’est man­ger. Voter, s’est s’assurer le vivre et le cou­vert. C’est don­ner au par­ti, à la petite orga­ni­sa­tion mili­tante, le moyen de durer sur les feuilles d’émargement ». Là, dans les cha­pelles laté­rales de la grande église répu­bli­caine, réside l’estomac du pays légal. Ce n’est pas une classe, encore moins une élite, mais un vaste réseau de petites clientèles.

    Lire la suite

  • Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens

    Algérie rapport Stora

    Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.

    Lire la suite

  • Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens

    Algérie rapport Stora

    Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.

    Lire la suite

  • Paris : 200 migrants occupent une école

    alerte-info-845x475.png

    Dimanche 24 janvier, dans l’après-midi, environ 200  ont pénétré dans une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri « du froid et de l’épidémie », relate France Info.

    Une action soutenue par « le collectif réquisition »

    Lire la suite

  • Présidentielle 2022 : Le Pen en tête devant Emmanuel Macron, Hidalgo larguée, selon un sondage

    Selon un sondage dévoilé par L’Opinion et le cabinet CommStrat, dimanche 24 janvier, le président Emmanuel Macron est crédité de 23 à 24 % des intentions de vote pour l’élection présidentielle de 2022, un score équivalent au premier tour de 2017. Le chef de l’Etat est toutefois devancé par la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen.

    Lire la suite

  • Du souvenir de Louis XVI à la proposition monarchique.

    6a00e54f0f7ad688340263e98ad3fd200b.jpg

    Lorsque j’étais élève au lycée Chateaubriand de Rennes à la fin des années 1970, il y avait un professeur d’histoire que nombre de lycéens soupçonnaient d’être royaliste et la rumeur courrait que, tous les 21 janvier, il portait une cravate noire en souvenir de la mort brutale et républicaine du roi Louis XVI. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n’ai jamais cherché à en avoir confirmation, même si j’étais ravi qu’un des maîtres du lycée puisse avoir les mêmes sentiments politiques que moi, devenu royaliste à l’orée de mes classes de Terminale. Et, en 1981, lors de mon « premier » 21 janvier, si je n’arborais pas de crêpe noir ni de cravate de la même couleur de deuil, je me rendais à la messe pour le repos de l’âme du souverain déchu et décapité, messe qui se tenait dans la chapelle de l’Hôtel-Dieu, et j’étais accompagné de l’ami Olivier, celui-là même qui m’avait invité à ce qui fut ma première réunion royaliste en 1978 (avant même que je sois convaincu de la nécessité monarchique) au lycée Jean-Macé, organisée par le « Cercle Charles Maurras » (1). A la cérémonie de ce 21 janvier 1981, l’assistance pieuse était fort réduite (une quinzaine de personnes), groupée principalement autour de Yolande de Prunelé, figure bretonne de la Nouvelle Action Royaliste, et quelques uns des militants « nafistes » présents portaient un badge avec la fleur de lys stylisée, de couleur rouge, qui était celle, alors, de la revue Lys Rouge.

    Lire la suite

  • Et le retour dans leur pays ?

    konk-immigration-tu-dis-famille-massacree-partie-375x195-230x180.jpg

    Ils viennent en France malgré l’épidémie et les hivers plus rigoureux qu’en Afrique… et réclament leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie»… Il existe pourtant une solution durable et économique : le retour dans leur pays.

    Environ 300 immigrés clandestins occupaient dimanche après-midi une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie». Avec l’aide des associations pro-immigration Utopia56, Droit au logement (DAL) et coordination des sans-papiers (CSP) 75.

    https://www.lesalonbeige.fr/et-le-retour-dans-leur-pays/

  • Emmanuelle Ménard, la seule à avoir compris la menace séparatiste

    emmanuelle-menard.png

    Le nouveau projet de loi contre le séparatisme, ou pour les principes républicains (c’est un peu comme on veut, il paraît), n’en finit pas de diviser. Ce samedi 23 janvier, c’est la députée  qui a, selon plusieurs sources bien informées et selon la formule consacrée, provoqué un tollé. Qu’a-t-elle proposé, pour cela ? Rien de moins que de modifier l’article premier de la loi de 1905 en le remplaçant par les mots suivants : « L’État français, fort de son héritage chrétien, assure la liberté de culte et la liberté de conscience. »

    Lire la suite

  • La France court-elle vers la faillite ?

     

    Agnès Verdier-Molinié est la directrice de la fondation iFRAP et une fiscaliste renommée. 

    Elle vient de sortir un essai, La France peut-elle tenir encore longtemps ?, dont elle a exposé les thèses dans Le Figaro.

    Nous empruntons 1 milliard par jour, 700.000 euros par minute, 334 milliards en 2021. La  officielle va bondir, en 2022, à 2.800 milliards d’euros, 120 % du PIB, mais en réalité, en rajoutant les retraites des fonctionnaires, les emprunts garantis par l’État qui risquent de n’être jamais remboursés, la dette cachée atteint la somme faramineuse de 7.000 milliards, soit 300 % du PIB . Si nous consacrions la totalité du budget à rembourser notre dette, nous n’en serions débarrassés qu’au bout de 21 ans ! Effarant.

    Lire la suite