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La politique économique d’Emmanuel Macron montre ses limites, tandis qu’une fracture sociale menace de couper en deux la société française.
La rentrée sociale promet de ne pas être de tout repos pour Emmanuel Macron et le gouvernement. Une première décision fait déjà polémique, celle de revaloriser nettement au-dessous de l'inflation les pensions de retraite et les allocations familiales. De toute évidence, les familles - et donc le redressement d'une natalité en baisse - ne font pas partie des objectifs prioritaires d'Emmanuel Macron.
Une information à relever à cause de son importance symbolique et des conséquences qu’elle pourrait avoir. Le maître d’école qui avait été sanctionné par son administration pour propagande religieuse à été complètement blanchi par la justice. Le fait religieux n’est donc pas exclu de l’enseignement.
Deux agents à moto de la compagnie de sécurisation et d’intervention de la Seine-Saint-Denis ont été agressés alors qu’ils procédaient à un contrôle routier, le dimanche 3 janvier, en fin de journée.
L’agression s’est déroulée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) : « Deux policiers ont été violemment pris à partie par un groupe de personnes et ont été conduits en milieu hospitalier », relate Le Parisien, confirmant une information annoncée sur le site Actu17.
Des centaines de fêtards se sont rassemblés pendant près de deux jours près de Lieuron, en Ille-et-Vilaine, lors d’une rave-party clandestine commencée jeudi soir pour fêter la nouvelle année. Au plus fort de l’événement, 2.500 personnes étaient présentes sur le site, dans deux hangars désaffectés, au mépris de toutes les règles sanitaires. Selon le ministère de l’Intérieur, les gendarmes ont procédé à plus de 1.225 verbalisations pour « non-respect du couvre-feu, du port du masque ou participation illicite à un rassemblement », et 420 pour « infractions diverses dont 225 en lien avec les stupéfiants ».
La priorité, pour la France des libertés, est de fuir la prison de la Santé où elle est recluse depuis neuf mois. L’esprit ne souffle plus sur un monde claquemuré et tremblant : il est soumis à la jactance de dirigeants autosatisfaits mais inefficaces, hormis pour semer l’angoisse.
Or une société compressée ne peut qu’exploser. L’Exécutif doit se préparer à affronter la colère d’une partie des citoyens, s’il ne se décide pas à relâcher son emprise. L’assentiment de l’opinion aux confinements et aux couvre-feux reste précaire. Trop d’Etat amène au rejet de l’Etat.
Au programme de cette édition, retour sur l’opération vaccin en France. Une semaine après l’injection de Mauricette, seules quelques centaines de personnes ont été vaccinées dans le pays. De nombreux médecins montent au créneau… Du côté de l’Elysée, c‘est le flottement.
Egalement dans cette édition : il est la bête noire du gouvernement, l’avocat de Didier Raoult, spécialiste des questions de Santé, Fabrice di Vizio, se lance dans de nouvelles batailles. Il nous expliquera en exclusivité les motifs de sa colère.
Retour également sur les violences qui ont émaillé la nuit de la Saint Sylvestre. Alors que tous les regards médiatiques étaient tournés vers les fêtes clandestines, les violences dans les cités ont été largement passées sous silence.
Et puis nous partirons aux Etats-Unis où les cruciales élections sénatoriales sont dans les starting blocks. De ces résultats, découlera la politique du président préféré des Médias, Joe Biden. Des médias qui continuent leurs opérations de dénigrement contre Donald Trump.
H.L. Mencken pensait avec cynisme que le but de la politique est de maintenir un peuple dans l’inquiétude, afin d’asseoir la légitimité du pouvoir sur le besoin de sécurité. Le moyen machiavélique d’entretenir l’angoisse si salutaire pour le gouvernement est de menacer sans cesse le peuple d’ennemis monstrueux et imaginaires. Dans son roman, 1984, Orwell avait imaginé une dictature implacable qui s’appuyait entre autres sur l’existence d’une guerre avec des puissances rivales et sur la haine suscitée par un traître, un ennemi public. Il n’était pas difficile de reconnaître l’URSS dans ce pays imaginaire, ni Trotsky dans la menace intérieure. Il faut nuancer ces intuitions assez justes sur le rapport entre la politique et la peur.
Nous, qui sommes révolutionnaires de ce faux ordre établi, ne pouvons qu'approuver la décision des Alsaciens de reconquérir leur IDENTITÉ, rayée d'un trait de plume (aussi ridicule qu'injustifiable) par ce pauvre semble-Président Hollande, nullissime entre les nullissimes.
Maurras disait "Les libertés ne s'octroient pas, elles se prennent !"