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Un incendie aux abords des voies à hauteur de Courtalain dans l’Eure-et-Loir a engendré l’interruption des circulations sur la ligne à grande vitesse Atlantique, provoquant des retards.
La SNCF s’est dit victime d’« une attaque massive pour paralyser le réseau » des TGV, les perturbations devraient « durer au moins tout le week-end », selon l’entreprise.
L’aveuglement de notre classe politique et des observateurs, dans l’immense majorité, en devient absurde. Le déni est partout visible mais personne n’ose en parler. L’interdit a été décrété pour ne pas froisser les bonnes consciences ni heurter les habitués du système. Le mot d’ordre est : Silence. Comme s’il suffisait de soustraire un fait à la réalité pour qu’il n’existe pas. On se complaît dans l’adoration d’une organisation qui est arrivée au bout. Nous avons d’abord un président largement détesté par la majorité des Français, qui refuse un verdict des urnes pourtant clair et façonne une réalité qui ne siège que dans son esprit et dans laquelle il reste le maître de tout. Il n’est plus un simple président qui passe, mais s’incarne comme le pouvoir de droit divin qui ne peut que durer et imposer sa vision des choses. Lui qui voudrait qu’on retrace l’histoire de la Révolution n’a même pas conscience qu’à cette époque, il y a longtemps qu’il aurait subi le sort de Danton ou Robespierre, ses écarts et trahisons l’auraient propulsé vers une fin tragique. Il n’a plus de limites puisqu’il les a fait disparaître, avec l’assentiment d’abord d’un parlement tétanisé, stupide ou complice, et d’un Conseil Constitutionnel qui s’est transformé en chambre de validation des caprices du prince.
Le Président a beau être performant, sembler compétent et diriger le pays en conducteur des travaux… il lui manque l’affection, l’humilité et l’amour ! Il gère des citoyens, alors que le roi a charge d’âmes. Eh oui, les gens de France sont comptés en âmes et non en électeurs !
Dans un pays qui détient le record des prélèvements et impôts de toutes sortes, il ne faut pas croire qu’augmenter les impôts encore et encore sera une solution viable.
Nous sommes arrivés en gros au bout de l’exercice. Nous pourrons bien faire quelques impôts de plus, bien populaire comme un ISF qui touchera le voisin, méchant et vilain riche qui pourra expier son péché de richesses en achetant une indulgence vendue par l’Etat et appelée ISF, mais cela ne pourra rien changer aux finances de l’Etat à moins de provoquer son effondrement plus rapide si les impôts allaient trop haut.
Les Jeux olympiques, une manne pour l’économie française. C’est ce que les promoteurs de cette belle compétition sportive quadriennale promettaient. Certes, pour le bâtiment français ou les grands groupes comme Bouygues, Carrefour ou Decathlon, les retombées sont sûrement positives. À défaut de l’être pour les finances publiques. On espère, aussi, que les soubresauts politiques et les interrogations sur la sécurité, malgré un dispositif français que l'on espère à la hauteur, ne viendront pas obérer le chiffre d’affaires attendu de l’hôtellerie-restauration déjà en demi-teinte.
Christian Baeckeroot, ancien officier, expert-comptable, qui fut conseiller municipal de Tourcoing, conseiller régional du Nord de 1992 à 2010 et député FN de 1986 à 1988, se livre ici à une facétieuse mais profonde comparaison entre Marine Le Pen et Donald Trump. Polémia
Une petite musique apparaît dans la « médiasphère ». Après un écho sur la Toile, c’est dans une interview d’une demi-heure avec Nicolas Conquer (ancien porte-parole de Trump en France et récent candidat LR-RN aux législatives) consacrée à l’attentat contre Donald Trump qu’un autre site termine sa présentation par la question : Donald Trump, Marine Le Pen, même combat ?
Après avoir vu l’état du royalisme entre la mort du comte de Chambord (1883) et celle du comte de Paris Philippe VII (1894), nous pouvons nous intéresser à l’état de la presse royaliste durant cette même période.
Le royalisme conserve une audience importante, ne serait-ce que dans la presse et au Parlement. Certes, le comte de Paris réduit considérablement les subsides accordés aux nombreux journaux royalistes, préférant réserver son aide aux plus fidèles. Beaucoup de feuilles, en effet, sont simplement « conservatrices » et se présentent en organes de « défense sociale » ou de « défense religieuse », certaines cultivent l’équivoque « monarchiste » mais préfèrent le bonapartiste « Appel au Peuple ».
Selon Le Monde, l’ancien maire du 9e arrondissement de Lyon a été mis en examen ce mercredi pour corruption passive et trafic d’influence passif en bande organisée par un élu public dans l’affaire des ingérences et rémunérations étrangères présumées.
Champagne à l’Élysée ! Au temps de l’ORTF, le poids de l’État sur l’information était un peu voyant. Macron fait beaucoup plus fin. BFM TV ? Chez l’ami Rodolphe Saadé (lire l’article publié ce 23 juillet). C8, la chaîne d’Hanouna ? Ouste ! Fermée. L’Arcom a rendu publique la décision la plus attendue de l’année : la plupart des chaînes pourront continuer à exploiter tranquillement leur fréquence, notamment TMC et sa star très à gauche Yann Barthès, en dépit de quelques dérapages. Mais deux équipes éditoriales, celles de NRJ 12 et de C8, se rendront dans quelques semaines à l’Arcom, quai de Grenelle à Paris, la tête couverte de cendre tels les pénitents d’autrefois, pour rendre les clés.