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Selon Le Dauphiné Libéré, la victime s’appelle Lilian Dejean. Âgé de 49 ans, il était coordinateur des services chargés de la propreté municipale. Sur Facebook, la CGT a salué la mémoire d’un « camarade ».
« Toutes nos pensées vont aux proches de Lilian, ses collègues de travail et camarades de luttes », peut-on lire sur un message publié en début d’après-midi. L’homme était père de deux enfants. (…)
Mélenchon, jamais à un boniment près, à la tête de ses quelques dizaines de milliers de militants dans les rues de France, explique qu’avec la nomination de Barnier, on vole aux Français leurs élections. Il est dur de la comprenette ce monsieur, comme ses prédécesseurs, Mao, Staline, Polpot, Castro, grands génocidaires de leurs propres peuples, devant l’éternel, pour leur bien et au nom de l’imposition d’une doctrine inhumaine à laquelle vous devez forcément adhérer, faute de mériter la mort, que le bourreau du Politbureau s’auto-légitime, puisqu’il est le petit père du peuple. Ces gens de gauche, toujours au nom du bien, voulaient imposer Lucie Castets, la fossoyeuse des finances de la ville de Paris, au prétexte également que les Français l’auraient voulue… ah bon ? Le petit Manès Nadel, syndicaliste lycéen, 16 ans, qui n’a jamais voté, qui sait déjà tout sur tout avant d’avoir commencé à travailler, qui bénéficie évidemment d’une audience surdimensionnée dans les médias au regard de ses 3500 militants sur une population de 2,43 millions de lycéens, explique lui-aussi : »Nous avons voté l’exact contraire de ce que représente Michel Barnier, qui a été nommé contre la volonté populaire. »
On a suivi de près les 150 manifestations des imposteurs de la gauche, dans toute la France, et notamment à Paris. Ils continuent leur cinoche de l’élection volée, et pour un peu Mélenchon se prendrait pour Allende, et comparerait Macron à Pinochet, sachant qu’ils ont fait élire 150 députés macronistes contre le RN.
Résultat : le bide du siècle, seulement 26 000 personnes à Paris, et des rassemblements squelettiques dans toute la France. Le méga-flop de compétition et un discours raté de Rachid…
Mercredi un cambrioleur récidiviste était appelé à comparaître devant le tribunal. Il ne s’est pas présenté à l’audience. Il a été condamné pour la 14e fois à de la prison ferme.
Les vitraux historiques de Notre-Dame ont pour partie, échappé du terrible incendie de 2019, mais le président de la République a tout de même décrété, de manière quasiment unilatérale, dès décembre 2023, la volonté du prince, de les faire remplacer par des versions modernes. Et pourquoi donc, lui seul le sait ? Tout de même, ce président habitué du caprice personnel et surtout chantre de l’effacement systématique d’une culture française qui « n’existe pas », a rencontré l’opposition unanime de la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture.
Un employé municipal a été grièvement blessé par balle à Grenoble (Isère) ce dimanche 8 septembre matin, après avoir voulu empêcher l’auteur d’un accident de la circulation de s’enfuir, a indiqué le procureur Eric Vaillant. La victime a reçu deux balles dans le thorax et son pronostic vital est engagé, a indiqué le procureur. Le tireur est toujours recherché.
Louis de Torcy évoquait, ici-même, la semaine dernière, la question de l'accord franco-algérien de 1968. Un sujet de taille qui n'a pas fini de révéler toutes ses facettes. Et c’est la parole d’un homme de terrain, celle de Xavier Driencourt, celui qui, durant sept longues années, a occupé le poste prestigieux d’ambassadeur de France en Algérie, qui mérite d'être entendue. Du reste, on écoutera ou réécoutera avec intérêt l'entretien que ce grand serviteur de l'Etat avait donné à BV, il y a bientôt deux ans.
La nomination de Michel Barnier avec le nihil obstat du RN a permis au premier parti de France de revenir habilement dans le jeu politique.
Tout le contraire de la gauche folle
L'épisode sera porté au crédit du parti de Marine Le Pen car le RN, contrairement à la gauche, a joué le jeu de la responsabilité institutionnelle. La gauche a voulu s'imposer, tenter le coup de force, comme elle l'a fait au bureau de l'Assemblée. Le NFP outrancier de Mélenchon et Faure a permis de faire émerger, dans une Assemblée qui ne reflète pourtant pas la réalité électorale, ce nouveau front républicain promis à un bel avenir : anti-LFI. Il se dessine dans le sondage disant le regret des électeurs du centre et de la droite d'avoir voté à gauche. Barnier est le premier bébé de ce nouveau front. Le soulagement du pays à la nomination de Barnier est celui d'avoir évité le pire. Et c'est le RN qu'il faut remercier. C'était le sens des déclarations des élus RN, comme Laurent Jacobelli.
Deux mois sans Premier ministre ourlés de consultations sans fin, trois sondages témoignant de l’inquiétude de la société française, des oppositions grognant de plus en plus : la cinquième République, qui passa pour un modèle de stabilité, paraît désormais, même aux yeux de l’étranger, un régime en crise. Quant aux émeutes anglaises, réprimées avec une sévérité sans commune mesure avec les faits, elles témoignent de l’incapacité des élites politiques à écouter et comprendre la colère du peuple. Et le vote massif de la Thuringe, qui propulse l’AFD, le parti nationaliste, en tête, est un coup de tonnerre dans le paysage politique allemand : il montre la même incompréhension des élites allemandes, ou la même volonté de ne pas entendre ce que signifie l’élection. On assiste à travers toute l’Europe à une révolte têtue des peuples, révolte volontairement incomprise que les institutions et les élus se sont dans l’ensemble donné pour mission de juguler.
François Asselin est le président de la Confédération des Petites et Moyennes entreprises, organisation patronale qui représente les patrons de PME. Samedi 30 août, la CPME a décidé d’envoyer une lettre ouverte au futur Premier ministre, l’appelant “à prendre à bras-le-corps les questions cruciales pour le pays.”