France et politique française - Page 1200
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LE MYTHE DE LA "TENAILLE IDENTITAIRE"
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Le contrôle du pass sanitaire à l’hôpital devrait coûter 60 millions d’euros par mois, selon une estimation de la Fédération hospitalière de France (FHF)
Le contrôle du pass sanitaire à l’hôpital en France, où le document sera obligatoire à partir du mois d’août, devrait coûter 60 millions d’euros par mois, selon une estimation de la Fédération hospitalière de France (FHF) présentée au ministère de la Santé, mardi 20 juillet. Le document rendu obligatoire à partir de début août dans les établissements de santé implique notamment le recours à du personnel de sécurité chargé d’effectuer les contrôles.
« Que ce soit du personnel interne ou externe, le coût de cette mesure est évalué à 60 millions d’euros par mois », assure la FHF, qui regroupe plus de 1 000 hôpitaux et environ 3 800 établissements médico-sociaux.
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MACRON VOULAIT REDONNER DU SENS AU COMMANDEMENT DE NOS ARMÉES ? DE QUEL DROIT ?
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Elysée est décidément sans limite. Le voilà qui ose affirmer sans mesurer le grotesque de la formule qu’il voulait “redonner du sens au commandement des Armées”, en nommant Lecointre après avoir humilié le Général de Villiers et l’avoir conduit à quitter son poste de Chef d’Etat-Major des Armées. Lors de la présentation de son livre “L’équilibre est un courage”, celui-ci avait dit, quant à lui, “dans l’armée, on sait pourquoi on peut aller jusqu’au sacrifice suprême”.
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Me Di Vizio : " Oui j'ai été victime de menaces de mort"
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La stratégie de la peur... un entretien avec le sociologue Michel Maffesoli
Entretien réalisé le 20 juin dernier.
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Pass sanitaire, la fracture des générations, par Maxime Tandonnet
Voici un sondage intéressant IFOP-JDD. Contrairement aux analyses dithyrambiques des médias radio-télé et de la classe politique (presque unanime), la France profonde ne suit pas le pouvoir macronien dans ses dérives post libertés et post démocratiques. Le président perd 2 points de confiance (38%) ce qui est sans précédent dans les situations de panique (qui généralement profitent à la popularité des dirigeants).
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La République des copains et des coquins
Ce gouvernement veut licencier les soignants honnêtes qui ne sont pas vaccinés… mais veut garder un ministre de la Justice mis en examen.
Dans un communiqué publié par Matignon, le Premier ministre Jean Castex “renouvelle toute sa confiance” en son ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, et lui demande de poursuivre sa tâche. L’ancien avocat pénaliste a été mis en examen vendredi, pour de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités.
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Manifestations : la grande trouille de la radicalisation
On le voit tous les jours : le gouvernement par la peur, ça marche. Et comme si celle du Covid ne suffisait pas, voici que Le Parisien – organe suspecté par les mauvais esprits de ligne directe avec l’Élysée – nous en agite une autre : tremblez, carcasses, le mouvement des anti-vaccins « pourrait se radicaliser » !
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Une société de suspicion généralisée
La chronique de Philippe Randa
Quel auteur de roman policier, à l’imagination particulièrement asséchée, aurait-il pu songer à une telle motivation de crime : un différent sur une facture de téléphone ! On imagine la tête de son éditeur, voire de ses éventuels lecteurs : au fou ! Et pourtant… Pourtant, c’est le aussi sanglant que minable fait-divers survenu au Centre commercial de Claye-Souilly (Seine-et-Marne) en cette mi-juillet. Un client mécontent de son échange avec deux jeunes employés quitte la boutique de téléphonie pour aller chez lui se munir d’un couteau et revenir « planter » ses deux interlocuteurs, tuant l’un des deux, tout juste bachelier, et envoyant aux urgences son collègue, plus « chanceux »…
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Éric Zemmour, Michel Onfray : convergence des luttes ?
OPINION. Qu’elle se concrétise ou non, l’hypothétique candidature d’Éric Zemmour suscite les passions. Si ce dernier accepte certaines concessions avec Michel Onfray, c’est aussi une occasion inespérée pour faire émerger une nouvelle voie souverainiste à la présidentielle de 2022.