Le vrai vaccin sera celui qui chassera le Covid des esprits. Depuis un an, date du premier confinement (17 mars 2020), les Français ne cessent de se contaminer par le virus de la peur.
Celui-ci, parce qu’il asphyxie le pays, est bien plus mortel que tous les variants. Or l’angoisse est quotidiennement alimentée par les discours anxiogènes de l’Etat et de ses experts scientifiques et médicaux. « Le moment est venu », a dit ce mercredi, sur RTL, Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance-Publique-Hôpitaux de Paris, plaidant pour un retour rapide au confinement en Ile-de-France, au moins le week-end. Cela fait douze mois que des garde-chiourmes en blouse blanche monopolisent la parole.
France et politique française - Page 1198
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Le vrai vaccin sera celui qui chassera le Covid des esprits
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Ce que personne ne dit dans les débats sur le revenu universel, par Clément Martin (Les Identitaires)
Le revenu universel consiste à verser à tous les membres d’une communauté nationale une allocation mensuelle.
Voici quelques uns de ses principes :
* d’un montant égal pour tous
* sans contrôle des ressources ou des besoins
* sur une base individuelle
* de façon inconditionnelle et sans exigence de contrepartie.Étonnamment, il est défendu pour des raisons différentes par la gauche… et la droite.
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Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes
Aujourd’hui connoté péjorativement, le mot corporatisme est employé pour désigner le fait de défendre les intérêts, les droits, d’une entreprise, d’un groupe. Mais qu’en est il réellement ? Cet ouvrage nous montre à quel point ce sens est réducteur. C’est en effet faire l’impasse sur ce qu’ont réellement été les corporations, le rôle qu’elles ont joué au sein de la société et le développement de la pensée corporatiste, véritable troisième voie entre marxisme et capitalisme. Autant d’éléments que Guillaume Travers s’attache à expliquer dans cet ouvrage.
Qu’ont été les corporations médiévales ? Le mouvement ouvrier a‑t-il récupéré des éléments de la pensée corporatiste ? Quelles leçons tirer des tentatives modernes de rétablissement des corporations ? Guillaume Travers s’attache à répondre à ces questions dans un ouvrage clair, précis et synthétique.
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Stanislas Berton : La guerre invisible de l'Etat profond contre la France
« Nous voici arrivés à l’heure fatidique où ce qui se joue n’est rien de moins que le destin de la France et l’avenir de notre peuple ». Alors que confrontés à l’effondrement de leur pays, de plus en plus de Français se demandent « que faire ? », Stanislas Berton révèle le processus de destruction méthodique de la France et de son peuple par une minorité d’idéologues tout en proposant des solutions concrètes pour neutraliser leur influence, sauver notre pays et restaurer sa grandeur. « La France retrouvée », un livre fondateur pour reconstruire une France fière, une France forte. En pensées et en surtout en actes.
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CÉSAR 2021 : ON A TOUCHÉ LE FOND ?
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Rire contre le racisme : la rééducation par France Télévisions
On le sait, la présidente de France Télévisions a une dent contre les mâles blancs, supposés sexistes, anti-LGBTQI et, bien sûr, indécrottablement racistes. Et leurs femmes aussi, peut-être, puisqu’elles acceptent de partager le quotidien de ces monstres… Alors, cette semaine, grâce à nos impôts, Mme Ernotte a mis le paquet avec une programmation spéciale autour du racisme, en préambule de la Journée contre la discrimination raciale prévue le 21 mars et de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, du 21 au 28 mars. Les masochistes pouvaient donc choisir leur première séance de rééducation sur France 2, ce mardi soir, avec « Rire contre le racisme ».
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La Commune : ne pas s'y perdre.
L'avis de Jean-François TouzéIl y a 150 ans débutait la Commune de Paris.Nationalistes et nationaux ne peuvent qu'être partagés. Notre tentation de louer les vertus d'une insurrection aussi anti-prussienne qu'anti-bourgeoise est grande. Notre rejet de la carmaniole post-imperiale ne l'est pas moins.D'un côté, le peuple résistant, la foi patriotique, le refus de l'étranger, la volonté sociale, le colonel Louis Rossel (en médaillon ci-dessus). De l'autre l'anti-chistianisme acharné, les incendies, les exactions, la chienlit révolutionnaire des internationalistes, l'ignoble Louise Michel, les redoutables blanquistes...D'un côté le mur des Fédérés et l'ombre sanglante de la bourgeoise thieriste, de l'autre le chaos, la canaille rouge et les prémices de l'utopie communiste.La révolution nationale n'est pas un bloc. -
Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.
Après l’adoption récente de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, qui, entre bonnes intentions et délire antispéciste, aura pour conséquence d’affecter des secteurs entiers de l’économie (tourisme, élevage, commerce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une première étape), la mairie écologiste de Strasbourg, dans une même logique antispéciste, se préoccupe davantage du sort bienveillant à réserver aux rats et aux punaises de lit que de santé publique, tandis que la mairie écologiste de Lyon, prétextant la crise sanitaire, impose aux enfants des menus sans viande.
Encore une fois les bobos, par leur politique, ciblent les classes populaires, celles qui vivent dans les taudis infestés de rats et de punaises, et qui ne peuvent pas acheter de la viande à leurs enfants, ou n’achètent que de la viande pour animaux, lorsque les supermarchés consentent encore à en vendre. Mais qu’importe ? Nous savions déjà que délire sociétal et injustice sociale vont de pair. C’était le socialiste financeur de Hollande Pierre Bergé qui déclarait, en 2012 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? » Ajoutant, avec un cynisme d’une totale abjection : « C’est faire un distinguo qui est choquant. »
Car l’abjection, précisément, n’a plus de limites, même celles, peut-être hypocrites, mais qui témoignaient encore d’un sens du Bien, de la bourgeoisie de jadis. Car c’est au nom même de la morale, voire de la sauvegarde de la Terre elle-même, c’est-à-dire au nom même du Bien, que la bourgeoisie actuelle poursuit son œuvre de destruction de la société. Et ils ont beau se chamailler, macroniens et écologistes ont conclu, en la matière, un pacte mortifère, ayant pour complices directs une gauche et une extrême gauche qui veulent aller encore plus loin sur tous les sujets (PMA, GPA, euthanasie, antispécisme, immigrationnisme, décolonialisme, « antiracisme », écologisme), et pour complice indirecte une droite qui s’est euthanasiée elle-même. Ainsi, dans l’attente que le texte sur la PMA pour toutes, l’extension de l’avortement jusqu’à la veille de la naissance et les manipulations génétiques sur les embryons soit définitivement adopté à l’Assemblée, celle-ci se penche sur deux autres projets d’une urgence absolue : l’inscription de la sauvegarde de la planète à l’article 1er de la Constitution, qui deviendra bientôt un inventaire à la Prévert et, bien évidemment, le projet de loi « portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets » : en clair, la traduction législative des propositions du machin citoyen pour le climat.
Car ce n’est rien comprendre à l’écologisme que de ne pas voir, qu’avant d’être un combat « pour » la planète, il est une cause sociétale, visant, de même que les autres causes sociétales évoquées plus haut, à la transformation des fondements la société ou, plutôt, à leur destruction. De mêmes défenseurs et une même logique les habitent : ce vieux rêve révolutionnaire de faire du passé table rase et d’imposer, par la contrainte, un homme « nouveau », voire bientôt « augmenté ». Peu importent alors les disputationes scolastiques sur le fait de savoir si l’inscription à l’article 1er de la Constitution que « [la France] garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique » emportera, ou non, une obligation de résultat — en séance publique, le rapporteur a évoqué une « quai-obligation de résultat », objet juridique non identifié… C’est un universalisme pathologique sur fond de volontarisme ubuesque dont témoigne surtout cet ajout à la loi fondamentale.
Il en est de même du projet de loi fleuve traduisant dans la loi les revendications téléguidées des 150 idiots utiles de la Convention citoyenne pour le climat… Ceux qui pensent que Macron s’est piégé lui-même en prenant le risque d’être désavoué, et donc humilié, par la Convention, qui l’a piètrement noté comme un mauvais élève, n’ont rien compris à la démarche de Jupiter. Laquelle ? Court-circuiter une revendication de démocratie directe par un machin à la légalité douteuse tout en donnant des gages à son électorat vert. Ce n’est pas seulement par ses insuffisances en matière de moyens (financiers) que le texte pèche, s’agissant par exemple de la rénovation thermique de l’habitat — nos bobos vivent dans des appartements ou des maisons bien chauffées et sans punaises de lit. — ou par son soutien idéologique au véganisme, jugé plus « durable » (à savoir écologique) qu’une alimentation normale. C’est avant tout par son indifférence totale à l’aménagement du territoire. Mais pourquoi en serait-il autrement ? Les bobos des métropoles parlent aux bobos des métropoles…
Il est arrivé à Marine Le Pen d’évoquer la démétropolisation… Un concept primordial. Car la métropolisation, elle a aussi, est une idéologie avant d’être une réalité économique et territoriale. Les Français l’attendent davantage sur ce terrain régalien que sur celui de son opposition « à titre personnel » à la chasse à courre…. D’autant que, lorsqu’on s’est officiellement déclaré à la candidature suprême, on n’a plus d’opinion « à titre personnel ». Du moins, si on a la dimension d’un homme, ou d’une femme, d’Etat.
François Marcilhac
https://www.actionfrancaise.net/2021/03/16/ecologisme-un-delire-societal/
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Confinement : le coup fatal de Macron ? – JT du jeudi 18 mars 2021
L’Ile-de-France retient son souffle. Après avoir retardé l’échéance, le gouvernement devrait annoncer de nouvelles restrictions pour la région parisienne. Des restrictions qui ne seront pas sans conséquence.
Nous prendrons ensuite la direction de la Bretagne où la criminalité gagne peu à peu du terrain. Une région qui jusqu’ici était relativement préservée par le phénomène des violences.
Et puis nous reviendrons sur l’obsession des journalistes : le “complotisme”. Alors que les médias brandissent le terme pour décrédibiliser tout ce qui les dérange, de plus en plus de théories alternatives sont finalement reprises par les médias du système eux-mêmes. Un phénomène amusant.
https://www.tvlibertes.com/confinement-le-coup-fatal-de-macron-jt-du-jeudi-18-mars-2021
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Marine Le Pen et le syndrome Gianfranco Fini
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ « Elle ferait sans doute mieux de célébrer Napoléon que de flagorner de Gaulle. » Cette réflexion est assez révélatrice du dilemme de la présidente du Rassemblement national et de sa stratégie. Comment se dédiaboliser sans se confondre avec les autres ? Tout le monde étant devenu gaulliste, cela ne sert à rien de dire qu’on l’est aussi. Reconnaitre que Napoléon est le français le plus célèbre de l’histoire et un grand homme est devenu plus difficile face aux minorités dominantes. Quand on réfléchit sur la stratégie du RN, on pense bien sûr au syndrome italien et à la disparition de l’Alliance Nationale de Fini. A force de rejeter ses origines politiques, il a été avalé par les marais gluants de la partitocratie italienne accouchée sur les décombres du fascisme. Certes, l’époque a changé. Et l’on verra bien si Matteo Salvini va réussir là où Fini a échoué. Marine va sans doute surveiller de très près l’avenir du patron de La Ligue.