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France et politique française - Page 1451

  • Occupation de la mosquée de Poitiers : le parquet abandonne la moitié des charges !

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    Le 20 mai, s’est tenu le procès en appel des militants de Génération identitaire qui avaient réalisé, en 2012, une action sur le toit du chantier de la mosquée de Poitiers. C’est ainsi que l’avocat général comme les parties civiles ont été contraints d’admettre que le délit de provocation à la haine raciale était prescrit et qu’il ne pouvait donc plus être sanctionné.
    Voici la réaction du mouvement identitaire.

    Le 20 octobre 2012, 70 jeunes identitaires avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers. Cette action avait connu un retentissement considérable dans toute l’Europe.

    Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault l’avait dénoncée dans un communiqué et Manuel Valls avait réclamé la dissolution (déjà) de notre mouvement.

    Poursuivis en correctionnelle pour incitation à la haine raciale et dégradations, 5 militants avaient été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, cinq ans de privation des droits civiques et familiaux et 40 000 euros d’amende et de dommages et intérêts.

    Ce mercredi, devant la cour d’appel de Poitiers, l’avocat général comme les parties civiles ont été contraints d’admettre que le délit de provocation à la haine raciale était prescrit et qu’il ne pouvait donc plus être sanctionné.

    Les islamistes de l’UOIF et du CCIF n’ont pas caché leur mécontentement. Il ne reste donc que les poursuites pour “dégradations” (c’est-à-dire des tapis de prières…mouillés par la pluie). La cour se prononcera le 19 juin.

    Cette bonne nouvelle nous confirme qu’il ne faut jamais rien lâcher, dans la rue comme dans les tribunaux !

    https://fr.novopress.info/217731/occupation-de-la-mosquee-de-poitiers-le-parquet-abandonne-la-moitie-des-charges/#more-217731

  • LAETITIA AVIA, L’ARROSEUSE ARROSÉE

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    Pierre Vial Terre & peuple cliquez là

    Née en Seine-Saint-Denis dans une famille originaire du Togo fraîchement arrivée en France, Laetitia Avia, qui avait les dents longues, a su sauter, parmi les premiers, dans le train macronien. Ce qui lui a permis de devenir députée et porte-parole de la République en marche, une formation qui sait utiliser la couleur puisque Sybeth la bien-nommée est porte-parole du gouvernement… Edouard Philippe, dans son discours de politique générale du 4 juillet 2017, n’a pas manqué de se féliciter de tels choix. Pour faire carrière dans l’Etat macronien il n’est décidément pas recommandé d’être Breton, Alsacien ou Auvergnat.

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  • Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Le gouvernement envisage d’ajouter plus de 130 milliards de dette au “trou de la Sécu”, dont le remboursement serait repoussé de 2024 à 2033 -autant dire jamais- en raison du coronavirus.

    Un projet de loi prévoyant “une défaisance massive de dette sociale” doit être envoyé “très prochainement aux partenaires sociaux”.

    Le gouvernement entend transférer le passif de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades), soit les 31 milliards accumulés fin 2019, auxquels s’ajouteraient au moins 92 milliards pour 2020, 2021, 2022 ainsi que les 10 milliards de dette des hôpitaux dont la reprise avait été annoncée en novembre. L’exécutif avait évoqué ce transfert de dette fin mars, constatant la dérive des comptes sociaux, écartelés entre dépenses nouvelles (masques, hôpitaux, arrêts de travail) et recettes évaporées (reports de cotisations, baisse d’activité). Un transfert qui va passer comme une lettre à la poste (et même plus facilement, vu le fonctionnement actuel de la Poste).

    Pour assurer le paiement des soins, des allocations et des pensions, le plafond d’emprunt de l’Acoss, qui gère la trésorerie de la Sécu, a été relevé deux fois, à 70 puis 95 milliards d’euros. Le déficit de la Sécu devrait pulvériser tous les records cette année . Le 22 avril, le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, évoquait le montant de 41 milliards d’euros.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-trou-de-la-secu-repousse-aux-calendes-grecques/

  • Après le confinement, la submersion migratoire ?

    Le rétablissement progressif des déplacements internationaux risque d’entraîner un afflux massif de clandestins. Cette prévision n’émane pas de dangereux conspirationnistes mais d’organisations internationales « respectables ». Face à ce péril, le gouvernement français semble désarmé. Pire, son inaction rend possible la submersion migratoire du pays.

    Dans la période de l’après-confinement qui s’ouvre, le rétablissement progressif des transports aériens, maritimes et terrestres en Europe devrait être accueilli comme une bonne nouvelle. Pour au moins une raison, cela n’est pas le cas. Le retour à la normale risque en effet d’entraîner un afflux de clandestins en France. De nombreuses conditions sont réunies pour le rendre possible.

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  • La droite nationale doit sortir de la confusion intellectuelle.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le lancement par Michel Onfray d'une revue intitulée "Front populaire" agite depuis quelques jours le Landerneau de l'intelligentsia droitiste.
    Objectif affiché par le philosophe : "Fédérer les souverainistes de droite, de gauche et, surtout, d’ailleurs – à savoir ceux qui ne se reconnaissent pas dans le jeu politique bipolarisé, donc manichéen. Nous voulons contribuer au débat d’idées qui n’existe plus depuis des années. Nous souhaitons faire de telle sorte que des notions comme peuple, populaire, nation, souverainisme, protectionnisme ne soient pas des insultes mais des prétextes à débattre".
    Air connu... Vieille lune... Brocanterie intellectuelle au "décrochez moi ça". Chevènement s'y est essayé avec le succès que l'on sait tandis que mille cénacles souverainistes ou anti Système ont tenté d'explorer les ultimes remises de ces rêveries poussiéreuses.

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  • Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    En ce temps pascal, les résurrections s’accumulent…

    Dans son bilan quotidien mardi, la Direction générale de la Santé (DGS) a fait état de nouveaux chiffres de décès dus au coronavirus en France, avec une importante correction : la veille, 342 décès avaient été comptés en trop dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux.

    Tout le monde peut faire une erreur. Le problème, c’est l’accumulation.

    La semaine dernière, les chiffres avaient également été surestimés deux fois : le 12 mai, 15 décès en trop avaient été dénombrés. Le 14 mai, c’était 14 décès qui étaient indûment comptabilisés.

    L’ajustement se fait donc à la baisse, et non à la hausse, contrairement à ce que répètent certains depuis des semaines. Sans parler de la distinction entre les vrais décès du coronavirus et des personnes décédées morts de leur maladie (ou de vieillesse) tout en étant porteurs du virus.

    Comme le relève Mediapart, certaines mairies comptent comme « décès à domicile » des décès qui sont en fait survenus en maison de retraite. Avec, pour conséquence, des oublis ou des mauvais calculs de taux de surmortalité.

    L’hystérie se nourrit elle-même…

    https://www.lesalonbeige.fr/non-seulement-il-ny-a-pas-tant-de-morts-mais-en-plus-certains-ne-sont-pas-vraiment-morts/

  • Masques, gants, mouchoirs… les ordures m’ont « tuer », pas le Covid-19 !

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    On s’énerve, au ministère de la Transition écologique et solidaire. Le cabinet de Brune Poirson le dit et le répète : « Un masque par terre, en plus de générer une pollution, c’est une rupture dans notre chaîne commune de protection face au virus, car c’est potentiellement un déchet infecté que l’on met dans l’espace public… » Voilà en effet une évidence qui, à l’évidence, ne s’impose pas à tout le monde.

    Eh oui ! On en voit de plus en plus, de ces masques qui traînent dans les caniveaux, dans l’eau des fontaines, sur les bords de plage, entre papiers gras et canettes abandonnés là au cours de nuits festives… On s’en étonne au ministère : « Il y a quelque chose d’assez paradoxal à chercher à se protéger soi-même du virus tout en participant potentiellement par ailleurs à sa propagation. »

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  • Aux Mercredis de la NAR : #51 - Monique et michel Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”.

    Mercredi 5 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions une nouvelle fois Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”. Tous deux sociologues et anciens directeurs de recherche au CNRS, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié de très nombreux ouvrages qu’ils nous ont pour la plupart présentés. Spécialisés dans l’étude de la bourgeoisie et des dynasties financières, tous deux avaient vu en Nicolas Sarkozy le « président des riches » - qualificatif qui lui est resté. Après l’intermède François Hollande, lui-même si complaisant l’égard des milieux financiers, Emmanuel Macron s’est révélé comme “Le président des ultra-riches” selon le titre du livre que Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié aux éditions La Découverte. Pur produit de l’oligarchie, l’hôte de l’Élysée a comblé de cadeaux fiscaux ceux qui l’avaient porté au pouvoir et donné à la guerre de classe une intensité inédite, provoquant la révolte des Gilets jaunes qui ont significativement envahi les “Beaux quartiers…”

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/21/aux-mercredis-de-la-nar-51-monique-pincon-charlot-pour-leur-6240146.html

  • La peur pour faire accepter l’impossible

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    Par Thierry Bouclier

    A la fin des années 1980, le monde est saisi d’une angoisse alors que l’an 2000 se profile à l’horizon. Partout se répand la nouvelle que les ordinateurs vont devenir fous car ils ne sont pas programmés pour passer de 1999 à 2000. Le 31 décembre 1999, à minuit, ils vont afficher la date du 1er janvier 1900. La panique se propage. Tout va s’arrêter. Le système imploser. Les ascenseurs s’arrêter. Les avions s’écraser. Les centrales nucléaires exploser. C’est le bug de l’an 2000 et la grande peur du virus informatique. Au cours des quatre années qui précèdent le saut dans l’inconnu, les campagnes se multiplient. Il faut absolument mettre à jour les ordinateurs pour éviter la catastrophe. Des sommes astronomiques sont dépensées par les entreprises afin d’être prêtes. Le 31 décembre, la planète retient son souffle. Minuit approche. La vie s’est figée. Les avions sont cloués au sol. Personne ne s’aventure à prendre un ascenseur. L’instant fatidique. Le moment du grand passage. Minuit retentit. Que se passe-t-il ? Rien. Absolument rien ! Nulle part. La vie continue. Les promoteurs de la peur du virus informatique, au premier rang desquels se dresse Microsoft, peuvent contempler leurs poches. Elles sont remplies des juteux profits générés par la psychose qu’ils ont inoculée dans les opinions mondiales.

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