Tactique de communication systématique ou tendance mentale qui relève de la pathologie ? Le Président élu par les Français et par effraction ne reconnaît, personnellement, aucune de ses erreurs ni aucune des fautes du régime. C’est la culture du déni en gros et dans les détails. Lors de la conférence de presse en duo à distance avec Mme Merkel, il avait, au début, mal contenu une certaine jubilation. Tout sourire, son « bonjour à toutes et à tous », suivi d’un « vous allez bien ? » tout aussi mécanique, qui ne s’adressent à personne, et n’attendent aucune réponse, sont symptomatiques d’un individu qui vit dans sa bulle, est incapable d’empathie et pensait, à ce moment, davantage au coup politique et médiatique qu’il croyait réaliser qu’à la situation des familles endeuillées ou des nombreux Français que la crise sanitaire et les mesures prises ont plongés dans la précarité pour certains, ont privés de libertés pour beaucoup. La chancelière allemande était davantage dans le ton d’une situation que M. Macron avait comparée à une guerre, ce que les Allemands n’ont jamais dit, d’ailleurs.
France et politique française - Page 1452
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Emmanuel Macron : la mascarade du déni
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Trois Ehpad des Hauts-de-Seine visés par des enquêtes pour «homicide involontaire», «non assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d’autrui».
Plusieurs enquêtes préliminaires ont été ouvertes après des plaintes pour « homicide involontaire » déposées par plusieurs familles de résidents de trois Ehpad dans les Hauts-de-Seine, décédés des suites du coronavirus, a annoncé mardi le parquet de Nanterre.
Ces enquêtes, ouvertes pour «homicide involontaire», «non assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d’autrui» visent des résidences situées à Chaville, Clamart et Clichy-la-Garenne. «Elles concernent les décès survenus entre le 25 mars et le 12 avril 2020 d’un homme de 80 ans et de trois femmes âgées de 89 à 96 ans», précise le parquet dans son communiqué.
Selon les plaintes formulées, les familles ont alerté à de nombreuse reprises sur «l’absence d’utilisation de matériels de protection, tels que des gants et des masques, et le défaut de respect des gestes barrières» dans l’établissement de Clamart, où huit résidents sont décédés du coronavirus, peut-on lire dans les plaintes déposées par les familles.
(…) Le Figaro
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« L’erreur c’est que nous avons sous-estimé à quel point l’hôpital était à l’os et la défiance installée »
La phrase est d’Emmanuel Macron, découvrant la brute réalité de l’hôpital public en France, à l’occasion de la crise du coronavirus. Si le confinement a été décrété, ce fut pour éviter d’encombrer les urgences afin de traiter en priorité les malades de la pandémie. Mais la réalité c’est que le système de santé est à bout de souffle, malgré les milliards prélevés sur les revenus des Français (mais où va l’argent… ?).
Le chef de l’Etat a déclaré aussi :
« La stratégie était bonne, nous avons, pour la première fois depuis douze ans, stoppé la baisse des tarifs hospitaliers, mais la mise en oeuvre [du plan Santé 2022] aurait dû être plus radicale et les moyens plus conséquents. » « Cela fait quinze ans que nous commettons les mêmes erreurs en adoptant une logique uniquement comptable. Ce n’est pourtant pas seulement une question d’argent ». « C’est d’abord une question d’organisation et de poids excessif de l’administration. Côté rémunérations, il est vrai qu’elles sont scandaleusement basses par rapport à la moyenne européenne. Là, c’est une question d’argent et on va le trouver ».
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Loi contre la « cyberhaine » : honte à notre Parlement
Un communiqué du MNR :
Le mercredi 13 mai 2020, le Parlement a définitivement adopté,via un ultime vote de l’Assemblée nationale, la proposition de loi de la députée Laetitia Avia (La République en marche) contre la haine en ligne. Ce texte a été contesté par de nombreuses organisations, y compris la Commission Européenne. En effet, l'atteinte à la liberté d'expression est manifeste. Tout d'abord, la haine est un sentiment : comment pourrait-il être l'objet d'une action officielle ? D'autre part, les grandes plateformes d'internet sont investies d'une sorte de pouvoir judiciaire, sans passer par les tribunaux : les réseaux sociaux de type Facebook ou Twitter, Instagram, les moteurs de recherche, comme Google, devront désormais retirer tout message « manifestement illicite » au maximum 24h après en avoir été notifiés. Notifiés par qui ? Ainsi donc, on confie à des sociétés privées le soin de s'occuper de la liberté d'expression. Il reste à espérer que le recours au Conseil Constitutionnel prévu par le groupe LR au Sénat, aboutira...
Dénonçons sans relâche la tyrannie exercée par le pouvoir à l'encontre des opinions dissidentes, sous prétexte de « bons sentiments ».
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Mise au pas des plateformes aux Etats-unis, loi Avia en France, Trump versus Macron
Alors que la France, via la néfaste loi Avia, sombre dans l’obscurantisme de la censure arbitraire et privée, que les propos des Français vont ainsi être soumis au contrôle subjectif des plateformes Facebook, Twitter, Google and Co, collaborateurs serviles du régime Macron et gardiens fidèles de la pensée unique imposée par la conscience morale universelle qui ne supporte, la pauvrette, aucune contestation ni résistance à son désir de monopole idéologique sur les esprits, aux Etats-Unis, c’est tout le contraire qui se dessine.
Le président Donald Trump a décidé de mettre au pas les plateformes avant tout parce que leur politique de modération, c’est-à-dire la censure qu’elles appliquent aux propos des Américains, est conditionnée par la gauche radicale. Une gauche radicale qui dicte tout autant en France la bonne pensée à tenir sur les réseaux sociaux.
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Renault envisagerait de fermer plusieurs usines en France (Vidéo)
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Loi Avia : vers la censure totale ?, par Jean-David Cattin
Depuis des années, les identitaires font face à une répression toujours plus féroce. Nos moyens d’expression sont massivement censurés. Nos moyens de paiement régulièrement fermés. La position dominante des grands réseaux sociaux leur donne un pouvoir démesuré. C’est aujourd’hui eux qui décident qui a le droit de promouvoir ses convictions ou non. Internet qui était à ses débuts un espace de liberté se verrouille maintenant autant que les médias dominants.
Les géants américains du numérique ne sont pas les seuls à être en cause. Le gouvernement et la majorité d’Emmanuel Macron sont en pointe dans la mise en place de cette censure orwellienne. Frédéric Potier à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT (DILCRAH) revendique son influence sur Facebook et sa responsabilité dans la suppression des pages et comptes identitaires.
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Une victoire pour Civitas : la liberté religieuse rétablie
Un communiqué de Civitas :
Saisi sur requête déposée en premier lieu par CIVITAS, puis par plusieurs associations de catholiques, le juge des référés du Conseil d’État vient de condamner l’État français en lui rappelant que la liberté religieuse est une liberté constitutionnelle et qu’elle ne saurait être limitée par des mesures manifestement attentatoires à l’exercice des libertés publiques. Le juge administratif confirme ainsi une jurisprudence constante dont la solennité avait déjà été soulignée en 2005.
Le gouvernement se voit donc contraint, dans un délai de 8 jours, de réformer le dispositif prévu par le décret du 11 mai 2020, en vue de faciliter l’exercice du culte et de permettre, par conséquent, la restauration des célébrations religieuses.
Alors que les évêques français demeurent confinés dans leurs évêchés, Civitas se réjouit, aux côtés d’autres associations de catholiques qui lui ont emboîté le pas , d’avoir contribué à la libération du culte catholique.
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Derrière les « Marcheurs scissionnaires », saint Hulot, pape de la niaisitude…
Dans un temps lointain où l’on ne craignait pas le pilori au moindre ricanement, un affreux jojo répondant au nom de Jean Yanne, affreux dont l’époque actuelle exciterait assurément la verve, avait porté sur les écrans un film intitulé Liberté, Égalité, Choucroute.
Je ne résiste pas à vous en livrer le pitch, comme on dit aujourd’hui :
« En avril 1789, le commandeur des croyants quitte Bagdad pour Paris afin d’acquérir au Salon de l’équipement de bourreau (le SEB) une machine à décapiter infaillible, la guillotine, car le pal ne le distrait plus. S’ensuit une présentation parodique de la Révolution française qui verra Louis XVI prendre la fuite pour arriver non pas à Varennes mais à Bagdad. »
Si j’évoque ce film qui n’aurait, c’est sûr, aucune chance de sortir aujourd’hui, c’est parce que le nom de groupe choisi par les dissidents de La République en marche m’y fait irrésistiblement penser. Avouez, « Démocratie, écologie et solidarité » n’est pas très loin de Liberté, Égalité, Choucroute. Hélas, ce n’est pas l’esprit de Jean Yanne qui les habite.
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Après le virus, la dinguerie menace
La chronique de Philippe Randa
L’heure est donc au déconfinement… pour que l’Humanité reprenne sa folle course…
La folie, justement… On croyait en avoir eu notre dose deux mois durant entre sidération, interventions ubuesques de la porte-parole du gouvernement, complotisme des uns, conspirationnisme des autres et délires pour tout le monde… mais non !
Sur France Info, on interrogeait une psy-machin-chose sur les conséquences psychologiques, liées à la crise sanitaire. Et quelles conséquences !
C’est que la situation que nous avons vécue était « inconnue » (sic !) et donc, génératrice de « stress post-traumatique »… et ses dégâts, à l’écouter, allaient être d’importance ! Autrement plus terribles que les 26/27 à 30 000 morts dus au Coronavirus (dont 85 % de plus de 65 ans) que devrait compter au final notre pays…