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France et politique française - Page 1452

  • Jour de libération

    Jour de libération

    Les Français sont “libérés” fiscalement et socialement à compter de dimanche 19 juilletUn salarié célibataire doit travailler jusqu’à cette date pour financer la dépense publique, via le paiement des taxes, impôts et cotisations sociales.

    Cette date, révélée par l’étude annuelle de l’Institut économique Molinari (IEM), montre que la France reste championne d’Europe en matière de pression fiscale et sociale. Pour qu’un salarié bénéficie de 100 euros de pouvoir d’achat réel, son patron doit débourser 221 euros, dont 67 euros de charges patronales. Pour quels bénéfices ? Selon le patron de l’IEM,

    “si ces prélèvements bénéficient d’une manière ou d’une autre aux citoyens, il n’y a pas d’adéquation entre les dépenses et la qualité des services publics“.

    Selon l’indicateur du « vivre mieux » de l’OCDE, la France pointe à la 10e place sur les 20 pays européens analysés.

    En moyenne, chez nos voisin européens, cette date se situe autour du 14 juin pour cette année 2020. Toutefois, du côté de Chypre, le “jour de libération fiscale” est intervenu très tôt cette année : le 13 avril, devant Malte (19 avril). Les salariés du Royaume-Uni sont “libérés” depuis le 8 mai. Pour l’Espagne c’est depuis le 8 juin. Du côté de l’Allemagne, c’est depuis le 4 juillet alors que les salariés italiens et belges ont arrêté de payer la dépense publique depuis les 8 et 16 juillet.

    https://www.lesalonbeige.fr/jour-de-liberation/

  • Les temps barbares

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    Par Djordje Kuzmanovic*

    « Une partie de la gauche semble avoir oublié le concept de « lumpenprolétariat » développé par Karl Marx et qui caractérise bien ces criminels qui s’en  prennent d’abord aux travailleurs. Le "lumpenprolétariat" décrit cette frange du prolétariat qui a quitté les classes populaires par le bas et où on retrouve  les voyous, les petits criminels – tous ces gens qui n’ont plus de conscience de classe, qui sont immoraux, mal éduqués et individualistes. Ce sont des  alliés objectifs de l'oligarchie capitaliste car ils copient, à leur échelle, son ethos : la prédation violente, pour soi et contre les autres. C’est aussi s’occuper  des catégories populaires, tâche normalement dévolue à la gauche, que de la débarrasser de ce lumpenprolétariat. La gauche actuelle semble incapable  même de penser le sujet. [...] L’impunité de ce nouveau « lumpenprolétariat » fait d’ailleurs écho à l’impunité des plus puissants de notre société qui se délite  par ses deux bouts. Il y a dans notre République des zones de non-droit et il faudra un jour prendre le taureau par les cornes avant que cela ne dégénère  totalement – par le bas et par le haut. [...]

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  • Je ne suis pas de gauche, mais je me soigne !

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    Si, si, je vous assure que je fais tous les efforts possibles pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore assimilé la logique nécessaire pour être diplômé.

    Il y a des choses qui mettent à mal mon pragmatisme. Je vous explique : l’autre jour, sur France Info, j’ai entendu un journaliste parler du chauffeur de bus tué par des « passagers ». J’ai trouvé cette délicatesse dans le vocabulaire plutôt surprenante, mais cela doit faire partie de la novlangue que je n’ai pas encore acquise. Donc, moi, si je dis que c’est un voyou multirécidiviste, c’est quoi, pour les gentils gens de gauche ? De la haine répréhensible ?

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  • Une dictature basée sur la peur

    Une dictature basée sur la peur

    “On” nous annonce que “le virus est toujours là”, qu’il a de nouveaux “clusters” et on nous impose la muselière. Si on observe les chiffres officiels du gouvernement, rien ne diffère de la normale, on rencontre toujours quelques cas résiduels de grippe à la belle saison.

    De nombreux médecins, un brin agacés, aux Etats-Unis notamment, se demandent pourquoi il n’y a plus de grippe, d’accidents cardiaques ni de pneumonie ! Désormais les seules décès qui existent sont dûs au Covid…


    Dans un article traduit par benoît-et-moi, le journaliste italien Aldo Maria Valli dénonce la mise en place d’un nouvel ordre mondial. Extrait :

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  • Bayonne : l’un des agresseurs de Philippe était en situation irrégulière sur le territoire français

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    Dans ce jeu de l’émotion qui fait la particularité de notre société, on a intégré des certitudes ; ainsi, on accepte la mort car c’est la destinée de tout humain mais on sait prendre le temps d’analyser les causes de la mort.

    Il y a quelques jours, les conditions tragiques du décès de Philippe Monguillot, conducteur de Tram’bus à Bayonne, ont ému la France entière et certainement au-delà de nos frontières.

    Cette tragédie a encore plus ému avec la médiatisation de la douleur de sa famille, chacun d’entre nous se sentant proche de Véronique, la courageuse veuve du défunt, et de ses trois magnifiques filles, chacun d’entre nous pleurant une vie de famille brisée par la faute de criminels.

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  • L’immigration clandestine vecteur du coronavirus: un sujet qui n’intéresse pas les médias français

    OJIM – Depuis quelques mois, des restrictions de circulation ont été mises en place en Europe afin de limiter la propagation du coronavirus. Qu’allait-il advenir des incessants aller-retour des bateaux des ONG amenant des dizaines de milliers de migrants des côtes libyennes vers l’Italie et du risque de propagation du coronavirus lié à l’immigration clandestine ? Cette question n’intéresse visiblement pas les médias de grand chemin français. La presse italienne est heureusement là pour nous donner des informations à ce sujet.

    Des arrivées de migrants contaminés

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  • Antifas : Qui mettra les milices d’extrême-gauche hors d’état de nuire ?

    Antifas : Qui mettra les milices d’extrême-gauche hors d’état de nuire ?

    L’orgue de la cathédrale de Nantes avait survécu à la Révolution, aux deux guerres mondiales, au grand incendie de 1972, voilà désormais ce qu’il en reste :

    La page Facebook du diocèse de Nantes a rapidement mis en ligne des photos montrant l’étendue des dégâts causés à l’intérieur de la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul par l’incendie d’origine criminel de ce matin :

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  • 14 Juillet : le spectacle est roi !, par Christian Vanneste.

    Le 14 Juillet célèbre la Nation dans son identité et sa continuité. C’est pour cela que l’événement commémoré n’est pas la prise de la Bastille mais un an plus tard la Fête de la Fédération qui célébrait autour du Roi la nouvelle monarchie constitutionnelle avant que les extrémistes ne conduisent la France à la guerre et à la Terreur. D’une certaine manière, le nouveau Président de la République a le mérite de souligner cette profonde unité de notre pays.

    Il n’aura échappé à personne que le rehaussement de la fonction présidentielle aura beaucoup utilisé les monuments de l’Ancien Régime : le Louvre, Versailles et les Invalides. La laïcité n’aura pas non plus été affichée avec ostentation. Notre Dame a accueilli Mmes Trump et Macron pendant que leurs époux travaillaient ensemble. Personne ne peut nier la justesse de la démarche. Elle présente trois aspects positifs et recèle deux dangers.

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  • Meurtre de Bayonne: Où sont les fascistes ?, par Régis de Castelnau.

    Pourquoi la "gauche" est-elle si discrète devant le martyre de Philippe Montguillot, tué par des voyous, et en même temps si disposée à encenser la petite frappe Adama Traore?

    Source : https://frontpopulaire.fr/

    Le mouvement ouvrier, issu du XIXe siècle et organisé au cours du XXe, a lui aussi été construit avec son roman national, ses mythologies et ses mythes.

    Parmi les figures les plus marquantes, c'est-à-dire celles qui constituent l’aristocratie ouvrière, il y a les mineurs, aujourd’hui disparus, les métallos, en voie d'extinction, les cheminots, qui payèrent un lourd tribut à la Résistance, et les traminots, qui assurent les transports dans les villes.

    Philippe Montguillot était un traminot. C'est du moins comme ça qu’on l’aurait appelé s’il y avait eu encore une gauche dans ce pays et un vrai Parti communiste.

    Chauffeur de bus sur une ligne régulière à Bayonne, il faisait bien son boulot, c’était sa fierté. Et s'il tenait à faire respecter les règles, c'est parce qu’il estimait qu'il s'agissait là tout simplement de son devoir.

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