Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1456

  • Nicolas Dupont-Aignan : « Un Président narcissique interviewé par deux journalistes complaisants »

    nicolas-dupont-aignan-8220-au-lieu-d-8217-couter-greta-thunberg-je-suis-all-voter-contre-le-ceta-8221-Mb3E1IhGM0Y-845x475.jpg

    Nicolas Dupont-Aignan : « Un Président narcissique interviewé par deux journalistes complaisants »

    Réaction du président de Debout la France à l’interview du 14 Juillet d’ par Léa Salamé et Gilles Bouleau. Il dénonce la complaisance des deux journalistes. Pour lui, il n’y a eu aucune question sur les enjeux fondamentaux.

    Aujourd’hui, Emmanuel Macron s’est exprimé pendant plus d’une heure face à Léa Salamé et Gilles Bouleau. Son discours a été critiqué par l’opposition, qui y voit une absence de cap. Qu’avez-vous retiré des propos du président de la République ?

    Lire la suite

  • Au lendemain du 14 juillet

    6a00d8341c715453ef0263e956720c200b-320wiBeaucoup de Français ont été doublement déçus en ce 14 juillet macronien.

    Certains, de moins en moins nombreux sans doute, confondent encore l'État, l'État-Providence l'appellent-ils en rêve, et le Père Noël. Englués dans cette illusion si destructrice, ils croyaient peut-être en la promesse présidentielle d'une réinvention. Elle leur avait été annoncée le 13 avril. Le discours prononcé par le chef de cet État, à 3 mois de distance, les a une fois de plus dégrisés.

    Mais pour d'autres, depuis le passage du général Boulanger au ministère de la guerre en 1880, il s'agit toujours d'un de ces jours fériés dont il convient d'oublier la symbolique. Longtemps militaire, elle donnait l'occasion au bon peuple de voir défiler ce qui reste des forces de défense d'un pays par ailleurs en déliquescence. "Fiers et contents, chantait-on à l'époque du général Revanche, nous allions à Longchamp le cœur à l'aise... car nous allions fêter, voir et complimenter l'armée française".

    Lire la suite

  • Thomas, Philippe, Mélanie et l’immigration : Brigitte Bardot met les pieds dans le plat !

    brigitte-bardot.png

    Brigitte Bardot, questionnée par André Bercoff – j’étais présent dans le studio – s’est déchaînée, au téléphone, sur l’insécurité de la France, les « lâches » qui nous gouvernent et les affaires graves qui, depuis quelques jours, assombrissent et indignent la France (Sud Radio).

    Pour ne parler que de Thomas, poignardé par un homme sorti de prison par anticipation à la suite du Covid-19. De la gendarme de 26 ans tuée par un chauffard, sous l’empire de la drogue et de l’alcool, au casier judiciaire bien pourvu dans le domaine de cette délinquance automobile. Du chauffeur d’autobus à  dans un coma profond parce qu’il avait accompli son travail à l’égard d’une personne sans masque et avec un chien. Agressé violemment par un groupe dont quatre ont été interpellés.

    J’entends bien que réunir ainsi trois tragédies, au fil de l’actualité, pourrait donner l’impression d’une focalisation abusive au regard de l’état quotidien de la France.

    Lire la suite

  • Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Dans Le Figaro, Vincent Trémolet de Villers revient sur l’intervention médiatique du président hier, lors de la fête nationale :

    Mais le plus frappant, le plus désolant aussi, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés. Quelques heures plus tôt, des gendarmes avaient défilé place de la Concorde, des soldats et des soignants avaient déplié un drapeau français. Trois couleurs qui disent la noblesse du service de l’État. Il y a quelques jours, Mélanie Lemée, gendarme de 25 ans, est morte pour avoir voulu, simplement, faire respecter la loi. Philippe Monguillot, chauffeur de bus, a perdu la vie pour avoir exercé l’autorité la plus infime : celle qui consiste à demander un ticket, le port d’un masque. Ni les journalistes ni le président n’ont songé à évoquer, hier, ces drames, symboles alarmants d’une violence qui partout s’installe, précipités tragiques de nos renoncements. Dans la surréalité médiatique, pas une minute pour cette réalité criante. La seule évocation de l’ordre public a concerné le délit de faciès. Comment s’étonner alors que la défiance redouble, que l’abstention galope ?

    https://www.lesalonbeige.fr/le-plus-desolant-du-discours-demmanuel-macron-ce-sont-les-mots-qui-nont-pas-ete-prononces/

  • Relocalisation : renverser le rapport de force ?

    Si l’idée de relocaliser la production est portée depuis longtemps par des intellectuels et des militants, elle a pris un nouvel élan dans la population à la faveur de la crise sanitaire. Mais l’État peut-il retrouver un rôle de stratège sans reprendre en main le secteur-clé de l’énergie, ce qui entrerait en contradiction avec la logique de l’UE ?

    Dans cette émission de Russeurope Express, Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Aurélien Bernier, journaliste et essayiste, auteur des « Voleurs d’énergie » (éd. Utopia, 2018) et de la note « Démondialisation, relocalisation et régulation publique : pourquoi et comment », publiée en juin dernier par l’Institut Rousseau.

    https://fr.novopress.info/

  • Grand remplacement : enfin des chiffres officiels ! Évolution de la part de la population d’origine extra-européenne chez les 0-18 ans dans les grandes villes françaises

    1399869.jpg?resize=620%2C400

    Le site de « France Stratégie », institution rattachée à Matignon, permet de constater l’évolution de la présence de l’immigration extra-européenne dans de nombreuses « Unités Urbaines ».

    Enfin quelques données officielles qui confirment, contrairement à ce que prétend éhontément la caste politico-médiatique, que le Grand Remplacement est une réalité (et pas un « fantasme d’extrême-droite »).
    Jusqu’en 2016, les statistiques de la drépanocytose donnaient une bonne idée de la vitesse ahurissante du changement ethnique qui est opéré en France, mais l’Etat a justement mis un terme à cette faille dans le mur du silence en fermant l’agence de santé qui offrait ces statistiques.

    « Heureusement », il y a cette nouvelle source de données (pour combien de temps?) qui confirment les faits énoncés par les nationalistes.

    On notera que les chiffres réels sont plus graves que ceux visibles sur le site de France Stratégie puisque ceux-ci ne concernent pas les petits-enfants (ou arrière-petits-enfants) d’immigrés : il n’y a ici que 2 générations de personnes d’ethnie non française prises en compte, au lieu de 3, 4 ou 5.

    Vous pouvez accéder aux données en cliquant sur « Composition sociale et démographique des quartiers » sur le site de l’agence.

    Lire la suite sur ContreInfo

  • Les dépenses pour l’immigration selon la Cour des comptes : toujours plus ! [Partie 3]

    depenses-immigration-cour-des-comptes-toujours-plus-partie-2-800x450.jpg.webp

    Après avoir fait une présentation générale du rapport de la Cour des comptes sur la gestion de l’immigration par l’État, rendu public le 5 mai, analysé les différents dispositifs étatiques pour gérer l’immigration légale, fait le constat que la France est un pays de cocagne pour les immigrés clandestins, Paul Tormenen aborde aujourd’hui la « gestion » par l’État de l’immigration illégale. Une gestion qui s’apparente plus à une démission qu’à une politique ferme et résolue.

    La Cour des comptes aborde dans son rapport sur l’immigration, présenté le 5 mai, la question de l’immigration illégale au travers de trois mesures : l’accès aux soins, les régularisations et la gestion des départs. Alors que cette institution est chargée de veiller au bon usage des deniers publics et en dépit des coûts qui augmentent très fortement pour la collectivité, peu de pistes sont esquissées pour maîtriser les dépenses liées à l’immigration clandestine. C’est même parfois le laxisme qui est préconisé !

    L’accès aux soins médicaux pour les personnes en situation irrégulière

    Constats – L’orientation idéologique des rédacteurs du rapport de la Cour des comptes (CC) transparaît dès les premières lignes consacrées à l’accès aux soins pour les personnes en situation irrégulière.

    Le nombre de bénéficiaires de l’aide médicale d’État (AME) ? Il est « relativement stable depuis 2015 ». Ceci alors qu’il est passé de 252 437 en 2012 à… 315 800 en 2017 !

    Le coût de cette mesure ? Pour éviter de dire qu’il avoisine désormais le milliard d’euros, les conseillers de la CC le rapportent au coût total des dépenses de santé (0,4 %) et des dépenses de l’assurance maladie (0,5 %).

    Lire la suite

  • «Macron dans l’impasse médiatique», par Vincent Trémolet de Villers.

    Source : https://www.lefigaro.fr/

    3834054413.87.jpgEst-ce le contraste entre la solennité du défilé militaire et la froideur prosaïque du décor ? La volonté, des intervieweurs de ramener la conversation aux facilités dialectiques ? (Philippe ou Castex ? Content, pas content ? ISF, pas ISF ? Candidat, pas candidat ?) Le sentiment de connivence qui se dégageait parfois du débat ?

    Cette intervention qui devait restaurer, à l’ombre du drapeau tricolore, la dignité de la liturgie républicaine n’a malheureusement pas enrayé la banalisation de la parole publique. Emmanuel Macron, dans l’acte de contrition qu’il a prononcé avec intensité, a peut-être donné la clef : le souci d’apaiser un corps social qui, depuis trois ans, souffre d’inquiétantes convulsions.

    Lire la suite

  • Interview de Macron : un petit maître en marche vers le néant.

    1325032-retransmission-de-l-entretien-televise-d-emmanuel-macron-avec-deux-journalistes-le-14-juillet-2020.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Depuis son élection, Emmanuel Macron a pris l'habitude de prendre de vitesse son Premier ministre fraîchement nommé et d'intervenir quelques jours ou quelques heures avant sa Déclaration de politique générale prononcée devant l'Assemblée nationale. En 2017, il le fit depuis la tribune du Congrès réuni à Versailles en exposant le 3 juillet, veille du discours solennel d'Edouard Philippe, la politique que le gouvernement serait chargé d'appliquer.
    Cette pratique institutionnalisée du court-circuitage révèle un caractère faible, tourmenté, cahotique, nettement marqué par une volonté maniaque de contrôle de type obsessionnel et compulsif.
    Cette année, c'est en renouant avec la recette réchauffée de ses prédécesseurs de l'interview du 14 juillet, qu'il aurait voulu faire, à quelques jours du discours de Jean Castex devant la prétendue représentation nationale, la nouvelle  démonstration de "qui décide et qui exécute".
    Les Français n'auront vu et entendu qu'un Président dépassé et flottant.
    Cet entretien télévisé particulièrement vide de sens et de contenu, ne fut, en effet, qu'un long survol semé de profonds trous d'air d'une situation politique, sanitaire, économique et sociale que le Président de la République ne maîtrise en aucune façon. 
    Approximatif, hésitant, décalé presque égaré, éthéré et lunaire, Emmanuel Macron est demeuré flou et évasif. Il voulait imposer l'idée qu'il était un chef mais nos compatriotes ne s'y trompent plus qui savent d'instinct qu'au delà des parures de la République et des postures, Il n'est qu'un élément parmi d'autres d'un Système global. Les vraies décisions ne sont pas de son ressort.
    Macron vient de montrer qu'il avait perdu la main. Le régime va donc se chercher une nouvelle incarnation. Il serait temps que le peuple français se trouve quant à lui une nouvelle voie.