Concrètement, les grandes plateformes en ligne auront l’obligation de faire disparaître les contenus « manifestement » illicites sous 24 heures, sous peine d’être condamnés à des amendes de 250.000 euros par oubli, et pouvant grimper jusqu’à 1,25 million d’euros. Les éventuels signalements abusifs par les utilisateurs de plateforme seront eux passibles d’un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende. Ce signalement sera facilité par l’intégration obligatoire d’un bouton dédié sur les réseaux sociaux. Le délai est réduit à une heure pour les « contenus pédopornographiques et terroristes ».
France et politique française - Page 1460
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Loi Avia, loi liberticide, par Maxime Tandonnet
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Passage en force de la « loi Avia » : la liberté d’expression étranglée
Le passage en force de la « loi Avia » suscite une opposition large et nourrie. Que le premier texte voté après la douloureuse expérience du confinement soit attentatoire à la liberté d’expression relève de la provocation : après avoir suspendu les libertés d’aller et de venir, de travailler, de se réunir, de manifester, d’exercer son culte, voici que le pouvoir étrangle encore davantage la liberté d’expression dans notre pays.
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À l'école de l'Action française
Privée de son journal, L'Action française 2000, qui vient tout juste de cesser de paraître, le mouvement royaliste a-t-il encore un avenir ? Francis Venciton, responsable du Cercle de Flore Paris (Institut d'Action Française), nous dit pourquoi et comment l'aventure va continuer.
150 ans de Maurras. C'est à la fois peu et déjà long. Cela signifie aussi près de 120 ans d'Action française. N'en déplaise aux fâcheux, la vieille maison est encore là malgré les ans, les dissensions et les adversités. Sa doctrine royaliste, décentralisatrice, anti-parlementaire et traditionnelle, est défendue à travers son journal et son mouvement. Cela a-t-il encore un sens ? À quoi bon défendre les provinces à l'époque de la mondialisation, ou la royauté à l'époque de la démocratie totale ? On pourrait s'étonner que la synthèse développée par Maurras il y a maintenant plus d'un siècle puisse séduire des jeunes et que le mouvement qui l'a portée soit encore d'actualité.
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La gestion de la pandémie Covid-19 : le désastre des politiciens et de leurs « experts »
Bernard Plouvier
Tout a été dit sur l’ineptie des politiciens dans la gestion de la part française de cette pandémie. Soyons honnêtes : cela fait un demi-siècle que les politiciens français sont d’une nullité qui mériterait de passer en proverbe.
Macron-Philippe and Co. ne sont ni plus ni moins minables que les clowns qui font semblant de nous diriger dans cette Ve République dont l’agonie traîne tellement qu’elle en devient un plaidoyer pour l’euthanasie. La faute en revient en dernière analyse aux citoyens-électeurs.
Plutôt que de s’invectiver en pure perte, il serait bon de tirer les leçons de notre merveilleuse inefficacité, de notre Ineptocracie. Nos princes sont à la fois inaptes et ineptes, c’est une question entendue. Mais l’électorat est-il prêt à devenir enfin « adulte et responsable » ? Là est la seule question.
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Edouard Philippe : “Les Français pourront partir en vacances en France en juillet et août” (Vidéo)
Ce jeudi, le Premier ministre Edouard Philippe présentait son plan de soutien à la filière du tourisme, qui “fait face à la pire épreuve de son histoire moderne, alors que c’est un fleuron de l’économie française”. “Les Français pourront partir en vacances en France au mois de juillet et au mois d’août”, a-t-il assuré, sous réserve toutefois “de possibles restrictions très localisées” en fonction de l’évolution de l’épidémie de coronavirus.
Au sujet des cafés et restaurants, le Premier ministre précise que « Notre objectif c’est que les cafés et la restauration puissent rouvrir dès le 2 juin dans les départements restés en vert ».
7sur7 / BFMTV
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Lafautearousseau salue l'ouverture du site "Front Populaire" de Michel Onfray.
https://frontpopulaire.fr/p/home
FRONT POPULAIRE: UNE NOUVELLE REVUE POUR LES JOURS "D'APRÈS"
Sauvagerie de la mondialisation, dévoiement de l’Europe, arrogance des gouvernants, appauvrissement des classes populaires, collusion des médias et du pouvoir, casse de l’hôpital public, sécession des territoires perdus de la République : L'épidémie de coronavirus agit comme un révélateur photographique qui met au jour l’état désastreux de notre pays.
Mais nos malheurs ne s'arrêtent pas là. Après la crise sanitaire viendra le temps de la facture économique. Et les ménages modestes seront à n'en point douter bien plus pénalisés que la France d'en haut. Il suffit de voir le durcissement du Code du travail décrété dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire... alors que le droit du capital, lui, n'a été retouché en aucune manière. En cette période troublée, la finance continue de régner.
Alors que faire ? Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
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Au secours, ils réclament de la démocratie !
Par Natacha Polony*
Vous ne le saviez pas, mais un danger nous guette. Bien plus sournois que le virus. Bien plus terrible que la crise économique et sociale qui se dessine. Nous avons assisté, effarés, à la paralysie d’un système fondé sur le court terme, le flux tendu et la dépendance à des approvisionnements en provenance de l’autre bout du monde, nous avons vu un Etat impuissant parce que imprévoyant, réduit à mentir parce qu’il avait renoncé depuis des décennies à ses prérogatives et à sa capacité d’action, nous avons constaté les conséquences de ce dogme aberrant de l’abandon des filières industrielles et agricoles que devaient remplacer le tourisme et le loisir. Les mêmes aberrations qui provoquent la destruction des sols et de la biodiversité et les émissions de gaz à e et de serre par des millions d’avions et de porte-conteneurs géants créent des fragilités que le virus a révélées... Mais tout cela n’est rien devant le risque majeur, celui de voir des citoyens tentés par la « fermeture », le « populisme » ou le « nationalisme ».
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Ces minables députés "de droite" qui votent la loi liberticide Avia
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La CGT ennemie du travail français
L'annonce était présentée ce 12 mai, par et pour la CGT, comme une bonne nouvelle. Mais il convient d'y voir plutôt un signe très négatif pour le site industriel normand et son avenir. Les vrais syndicats, affiliés aux centrales professionnelles et non marxistes, déploraient tous en effet, de la CFDT à la CFE-CGC en passant par FO, que l'usine Renault de Sandouville ne puisse rouvrir avant le 22 mai. Cet établissement vient de subir deux mois de fermeture. Celle-ci avait été imposée par le seul confinement général du 16 mars. Il restera cependant toujours bloqué depuis le 11, date du début de déconfinement. Renault Sandouville se situe donc au rebours des efforts de tout un pays pour relancer son activité productive et nourricière, endommagée par la débâcle technocratique face au virus.
L'Humanité trompe ses lecteurs en prétendant de manière répétitive que "la justice suspend l’activité à Renault Sandouville pour risques liés au Covid-19". Juridiquement, en vérité, le tribunal qui a décidé le 7 mai, sans possibilité d'un appel suspensif, que le site restera fermé ne s'est prononcé qu'en considérant un minuscule vice de forme.
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Chargée de la lutte contre le sexisme, l’homophobie et le racisme, Laetitia Avia sexiste, homophobe et raciste ?
C’est ce mercredi 13 mai que doit être votée(1) la loi Avia à l’Assemblée, laquelle consiste à lutter contre les « contenus haineux » sur Internet, mission confiée par le Premier ministre Édouard Philippe à la députée marcheuse Laetitia Avia. À propos de haine, c’est elle qui doit l’avoir, depuis mardi dernier, à en juger des révélations du site Mediapart. En effet, cette macroniste historique, chargée de lutter contre le sexisme, le racisme et l’homophobie, se trouve désormais accusée de sexisme, de racisme et d’homophobie. La haine, on vous dit…
Comme toujours, les attaques viennent de l’intérieur : un grand classique de la presse d’investigation, de Minute au Canard enchaîné. Là, ce sont cinq ex-assistants parlementaires qui ont décidé de passer à table ; inutile de préciser que le menu est des plus copieux.