Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1463

  • La France n’est pas l’Amérique, et le racisme n’est pas français !, par Christian Vanneste.

    Les Etats-Unis ne sont pas la France. La justice ne repose ni sur la revanche ni sur le désordre. Les Etats-Unis connaissent une fois de plus des émeutes raciales. La violence urbaine n’y est pas nouvelle. La situation de la minorité noire, la seule à être venue dans le pays non pour y vivre mieux et plus librement, mais amenée de force sous le régime de l’esclavage, y est spécifique. Depuis Martin Luther King, des progrès ont été réalisés, dont le symbole a été l’élection de Barack Obama. En politique, comme au cinéma, les Noirs ont conquis des places, mais les pesanteurs sociologiques et historiques subsistent.

    Lire la suite

  • Marion Maréchal : « Les indigénistes sont les enfants monstrueux de la gauche de SOS Racisme »

    marion-marechal.png

    L’Institut de sciences sociales économiques et politiques (ISSEP) va ouvrir une antenne en Espagne. Sa directrice générale, Marion Maréchal, s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion, pour elle, de donner son analyse sur les manifestations racialistes qui traversent les États-Unis mais aussi la France.

    Après deux ans d’existence, l’ISSEP ouvre une antenne à Madrid. Pourquoi s’ouvrir à l’européen et pourquoi en Espagne ?

    Nous continuons notre développement. La motivation qui nous a conduits à construire l’ISSEP, à savoir former une nouvelle élite au service de la nation et de la cité, est un besoin qui ne s’arrête pas à la France. Ce besoin est profond dans toute l’Europe de l’Ouest, et notamment en Espagne. Une équipe espagnole nous a demandé à pouvoir importer ce modèle chez eux. Nous avons pu aller au bout de la démarche. Aujourd’hui, l’ISSEP Madrid a ouvert ses portes. La première formation commencera dès septembre prochain.

    Lire la suite

  • Un gendarme qui a participé à l’arrestation d’Adama Traoré raconte: « il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites »

    Un des fonctionnaires qui a participé à l’interpellation d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, avait déjà effectué « 3 ou 4 » interpellations houleuses dans les années précédentes. L’avocat de la famille demande que « toutes les procédures » impliquant Adama Traoré et les gendarmes présents le 19 juillet soit versées au dossier.

    […] En cause, les déclarations du gendarme nommé « Romain » devant l’IGGN (le service d’enquête interne à la gendarmerie) le 29 juillet 2016 : « Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation mais peut être trois ou quatre fois en 3 ans. A chaque fois, cela s’est toujours mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites ».

    L’avocat de la famille s’interroge donc sur l’existence d’un « différend » entre des membres des forces de l’ordre et Adama Traoré. […]

    Yassine Bouzrou déduit de ces faits qu’il existait une « animosité » entre le gendarme et Adama Traoré et s’interroge sur une volonté de « vengeance » du gendarme.

    […] L’avocat du gendarme concerné, Rodolphe Bosselut dénonce un « feuilleton » entretenu par l’avocat de la famille : « Découvrir au bout de quatre ans d’instruction qu’il y aurait encore des actes à réaliser ou des témoins-clefs à interroger, déclare l’avocat à RTL, c’est la preuve d’une seule chose : la volonté de faire durer artificiellement le dossier pour l’exploiter médiatiquement ».

    RTL via FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-gendarme-qui-a-participe-a-larrestation-dadama-traore-raconte-il-y-a-toujours-eu-une-opposition-violente-de-cet-individu-il-y-a-eu-des-violences-des-rebellions-des-outrages-des-fuit

  • Tyrannie étatique et servitude citoyenne : Augustin Cochin et la reprogrammation des Français

     

    Ex: https://voxnr.com

    3110729076.jpgCochin et la reprogrammation des Français

    Augustin Cochin a été redécouvert par François Furet dans son magnifique et audacieux livre Penser la révolution française, chef d’œuvre resté sans lendemain. Cochin lui-même s’est opposé à la théorie du complot, mais le sorbonnard Daniel Mornet l’accusa quand même de tous les maux. Ce catholique de tradition aura été un esprit moderne en fait et découvreur, héritier de deux grands esprits juifs moins connus que Freud, le sociologue Emile Durkheim et le fantastique politologue russe Moïse Ostrogorski.

    Il y a longtemps qu’Augustin Cochin avait exposé sa théorie de la confiscation des pouvoirs dans nos modernes démocraties, républiques ou autres nations unies. Cochin expliquait pourquoi ce sont toujours « eux » qui décident et pas « nous » ; on est en 1793, quand les sociétés de pensée ont décidé de refaire l’Homme, la Femme, la France, l’Humanité, le reste. Le triste programme de tabula rasa et de refonte est toujours le même depuis cette époque, dirigé par une élite implacable, conspiratrice et motivée :

    « La société fondée, il est fatal qu’un cercle intérieur se forme qui la dirige à son insu. Où la liberté règne, c’est la machine qui gouverne. Ainsi se forme d’elle-même, au sein de la grande société, une autre plus petite, mais plus active et plus unie, qui n’aura pas de peine à diriger la grande à son insu. Elle se compose des plus ardents, des plus assidus, des mieux au fait de la cuisine des votes. »

    Lire la suite

  • Pour l’honneur des forces de l’ordre : Brigitte Bardot mouche (sans la nommer) Camélia Jordana…

    Il y a les très grandes actrices et puis les toutes petites.  
    Et il arrive que les premières mouchent magistralement les deuxièmes, sans même s’abaisser à les citer.
    Elle a sans doute du reste déjà oublié le nom de .
    Alors qu’il est de bon ton pour un people de verser son obole (qui ne coûte pas cher…) au politiquement correct comme les dames patronnesses d’autrefois aux soeurs de la Charité, entendez de conspuer la police-qui-ne-fait-rien-que-martyriser-les-jeunes-des-banlieues (police qui n’aura pas intérêt à traîner pour se pointer chez eux quand ils seront cambriolés),  a décidé d’afficher clairement son soutien aux forces de l’ordre dans une lettre aussi courte qu’efficace, datée du 12 juin.
    Il y a beaucoup de femmes libérées, celle-ci est une femme libre, espèce beaucoup plus rare.
    Elle l’était déjà bien jeune, en 1962, pour soutenir d’autres braves vilipendés, les soldats blessés en Algérie qu’elle était allée visiter dans un hôpital de métropole.
    Dans ce courrier lapidaire, elle rend hommage au« courage et à « l’abnégation » des forces de l’ordre, comprend leur révolte et fustige « un Castaner lamentable soutenu par un Macron soumis »… ça, c’est dit !
    Mais le plus « disruptif » reste le morceau de bravoure « viril » (eh oui !) final :
    « Je suis française de souche, j’ai représenté Marianne et suis connue du monde entier alors je vous emmerde, vous les donneurs de leçon, les politiquement corrects, bande de trouillards émasculés ».

  • Philippe de Villiers : « La France est notre mère, aimons-la. Ceux qui ne la respectent pas, qu’ils dégagent ! »

    Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel Macron et le « nouveau monde » prôné par le Président.

    Au micro de Boulevard Voltaire, le fondateur du Puy du Fou revient sur ses récents échanges avec Emmanuel Macron et explique le concept de nouveau monde et ses incohérences. Il réagit également à l’actualité récente, en particulier sur les contestations « antiracistes ».

    Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde. C’est le titre du livre que vous publiez chez Fayard. Hier, vous étiez sur le plateau de BFM TV et vous avez détaillé ce qu’a dit Emmanuel Macron d’Édouard Philippe lorsque vous lui demandiez « pourquoi Édouard Philippe ne déconfine t-il pas ? » Emmanuel Macron vous a répondu « il gère son risque pénal ».
    Quelle est précisément votre relation avec Emmanuel Macron ?

    Il y a le Puy du Fou et la France. Le Puy du Fou, c’est la passion d’une vie et Emmanuel Macron a multiplié les attentions depuis qu’il est venu au Puy du Fou. Il serait inélégant, voire insultant pour moi, de croire qu’Emmanuel Macron a voulu par ses attentions acheter le silence d’un esprit libre. Je lui ai demandé deux choses. De sauver le Puy du Fou, c’est fait. Et de sauver la France, ce n’est pas fait.

    Il aurait voulu « assassiner son Premier ministre ». Vous auriez été un parfait missile de croisière sur cette séquence…

    Il me parle et ne m’a jamais dit de garder pour moi ce qu’il me dit. Je considère que le missile de croisière en question est arrivé sur le Puy du Fou. On a failli mourir et le pays est en train de crever. Il faut établir les responsabilités. “Les Gaulois réfractaires” est une expression d’Emmanuel Macron. Les Gaulois réfractaires réputés indociles et indisciplinés sont sortis de leurs parois où ils étaient devenus des troglodytes recroquevillés, enfermés, encasernés, embastillés.

    Lire la suite

  • Face au racisme des pro-Traoré, de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Face au racisme des pro-Traoré,  de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc

    Ce samedi 13 juin, vers 14h45, une banderole sur laquelle est inscrit

    « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc – White Lives Matter »

    a été déployée sur le toit d’un immeuble donnant sur la place de la République à Paris, en pleine manifestation organisée par le comité « La vérité pour Adama ».

    Lire la suite sur le Salon Beige

  • LA DÉSINDUSTRIALISATION FINANCÉE PAR NOS IMPÔTS ?

  • Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !

    lafrancesouslapluie-1024x456-1-845x456.jpg

    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !

    Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !

    Lire la suite

  • Retour au Franc : est-ce raisonnable ? (article de 2011)

    Le fonds monétaire international (FMI) est en première ligne dans la recherche d'une solution pour sortir la Grèce, l'Irlande et le Portugal du surendettement dans lequel l'utilisation de l'euro et des imprudences budgétaires les ont plongées. Il n'est pas inutile de se référer à l'ouvrage L'économique (1972, 8e édition en français) de Paul A. Samuelson, professeur d'économie au Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de Sciences économiques en 1970, pour constater le piège dans lequel ces pays, et ceux de la zone euro sont volontairement, et en toute incompétence, tombés.

    Bien qu'ils aient évolué au début des années 1980, les motifs et les mécanismes d'intervention du FMI sont très clairement expliqués. L'objectif n° 1 : « empêcher un pays de s'enfoncer toujours davantage, d'année en année, dans l'endettement. » Le FMI intervient en conditionnant l'octroi de prêts à la mise en œuvre de mesures visant à remédier au déséquilibre persistant. « Toutefois, peut-on lire, aucun pays n'est, en pareille occurrence, invité à créer chez lui un état de dépression aux fins de comprimer son revenu national à un niveau tellement bas que ses importations finiraient par correspondre à ses disponibilités en devises. Au contraire, le pays en question est autorisé à déprécier de son propre chef, une première fois (sic) sa monnaie à raison de 10%, une telle mesure visant à restaurer l'équilibre des changes extérieurs en développant les exportations et en contractant les importations de ce pays. Si toutefois une telle mesure ne suffit pas à corriger la "surévaluation" (sic) de la monnaie du pays débiteur, les autorités du Fonds peuvent, après s'être dûment concertées, autoriser une dépréciation encore plus accentuée de cette monnaie [...] Cependant des clauses de flexibilité permettent, en cas de besoin, de procéder aux ajustements requis, plutôt que d'attendre passivement (resic) un effondrement financier international. » Nous commenterons brièvement un peu plus loin.

    Lire la suite