Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1465

  • Environ 200 enquêtes ouvertes en France pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation de Samuel Paty

    En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

    La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».

    JMM

    https://www.tvlibertes.com/actus/environ-200-enquetes-ouvertes-en-france-pour-apologie-du-terrorisme-menaces-de-mort-injures-ou-provocations-a-la-haine-en-lien-avec-la-decapitation-de-samuel-paty

  • Emmanuel Macron découvre les vertus de la frontière !

    macron-le-perthus.png

    Trop tard, certainement. Pour les malheureuses victimes des terroristes islamistes qui n’auraient jamais dû se trouver sur le territoire national. Trop peu, sans doute : 4.800. C’est le nombre de policiers, gendarmes et militaires qui vont être déployés à nos frontières, soit un doublement de l’effectif. Pour 2.913 kilomètres de frontières terrestres, cela semble peu, effectivement. Mais c’est toujours ça. C’est, en tout cas, l’annonce faite, ce jeudi 5 novembre, par , alors qu’il était au Perthus, dans les Pyrénées-Orientales.

    Lire la suite

  • "Déchéance de la 5ème république" Entretien d'actualité avec André Gandillon

  • Le cirque Veran : farces et attrapes à guichets ouvert

    3894253010.jpg

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Depuis le début de la pandémie du Covid-19, vous faites partie des observateurs sceptiques sur la gravité de celle-ci et sévères sur sa gestion par le gouvernement… En ce mois de novembre et ce nouveau confinement, votre opinion a-t-elle changé ?

    Au contraire, elle s’est renforcée, alors que dans le même temps, on ne peut que constater que le scepticisme progresse chaque jour parmi la population française envers la maladie et sa gestion par les Autorités ; le gouvernement et son fumeux Conseil scientifique n’impressionnent plus grand monde, à part peut-être les hypocondriaques.

    Comment l’expliquez-vous ?

    Lire la suite

  • EDITORIAL de la Lorraine royaliste, gou­ver­ner par la peur ?

    Macron parle, le gou­ver­ne­ment s’agite, les Fran­çais souffrent. Voi­là la situa­tion résu­mée en peu de mots mais qui décrit bien la réa­li­té. Et j’ajouterai que les Fran­çais vont encore plus souf­frir sous un pou­voir qui devient de plus en plus totalitaire.

    Il y a deux évè­ne­ments indé­niables qui touchent la France : une épi­dé­mie qui semble impor­tante et l’islamisme qui pro­voque des atten­tats san­glants et le der­nier est par­ti­cu­liè­re­ment horrible.

    Lire la suite

  • Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement

    Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.

    « Oyonnax, c’est devenu Bagdad »

    Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.

    Lire la suite

  • Pas d’amalgame mais complémentarité, par Philippe Germain.

    Notre des­cente aux abîmes de l’Islam moderne nous ayant ame­né à iden­ti­fier, d’une part la guerre d’infiltration cultu­relle de l’Islam des ban­lieues et de l’autre la guerre armée de l’Islam radi­cal, voi­ci l’Action fran­çaise expo­sée à l’accusation « d’amalgame ». Et comme esqui­ver les attaques n’est pas une habi­tude maur­ras­sienne, alors mon­tons au cré­neau sur cette accusation.

    D’abord en par­tant de l’essentiel : Le monde du poli­ti­que­ment cor­rect accuse « d’amalgame », tout ceux qui doutent que l’Islam des ban­lieues puisse évo­luer vers un « Islam des Lumières » pro­gres­siste. L’objectif de cette ins­tru­men­ta­li­sa­tion gros­sière (on le sait, plus c’est gros et plus cela marche !) est la culpa­bi­li­sa­tion detous les réfrac­taires à l’islamophilie. Et nous sommes nombreux !

    Lire la suite

  • On parle de liberté d’expression ; moins de liberté scolaire. Mais distinguer ces deux combats n’a aucun sens

    On parle de liberté d’expression ; moins de liberté scolaire. Mais distinguer ces deux combats n’a aucun sens

    D’Axelle Girard sur Educ’France :

    Chaque semaine apporte son lot de combats en matière de liberté scolaire, a fortiori dans une période où sont attaquées frontalement l’instruction en famille et les écoles vraiment libres.

    On parle de liberté d’expression ; moins de liberté scolaire. Mais distinguer ces deux combats n’a aucun sens. Défendre la liberté d’enseignement, c’est défendre la liberté d’expression. Et vice-versa. D’abord parce toutes les libertés découlent d’une lutte intrinsèquement démocratique, et qu’à ce titre, les libertés se valent au moins sur un plan à la fois historique et politique.

    Lire la suite

  • France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste  L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
    Polémia

    « Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel

    « Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.

    Lire la suite

  • France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste  L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
    Polémia

    « Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel

    « Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.

    Lire la suite