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France et politique française - Page 1461

  • Accusation de viol contre Gérald Darmanin : où en est l’enquête ?

    Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.

    […]

    Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Eléments de réponse.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/accusation-de-viol-contre-gerald-darmanin-ou-en-est-lenquete

  • Tribune : Remigration cordiale, remigration martiale, par Romain Sens.

    Source : https://lincorrect.org/

    Les Français d’origine européenne doivent rester ultra-majoritaires sur leur sol sous peine de mort de la France. Fort de ce constat, la conclusion s’avère logique. Si les Français d’origine extra-européenne sont trop nombreux pour vivre en bonne intelligence avec les Français de souche européenne, alors un grand nombre d’entre eux doit repartir.

    La rapidité avec laquelle notre pays court à l’abîme, que celui-ci prenne la forme d’un grand basculement anthropologique comme le nomme Jérôme Fourquet, où les Français de souche européenne deviendraient une minorité au sein du peuple Français, d’une séparation territoriale, d’une scission, d’une fracturation comme a pu le diagnostiquer François Hollande à la fin de son mandat présidentiel, situation qui, logiquement devrait mener tout droit à une sécession, ; ou que cet abîme ne se matérialise plutôt par la guerre de tous contre tous théorisée par Hobbes, la guerre civile que l’histoire de France a souvent connue, cette rapidité avec laquelle se dessine un sombre horizon ne peut qu’amener le citoyen non résigné à envisager d’autres pistes.

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  • État des lieux de la France

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    Par Natacha Polony

    Un contraste étonnant se dessine entre le caractère profondément insignifiant du nouveau gouvernement et l’exceptionnelle gravité de la situation dans laquelle se trouve la France. On aimerait, pourtant, s’enthousiasmer pour un gouvernement d’union nationale qui préfigurerait un sursaut et donnerait corps aux assauts de lyrisme des communicants présidentiels, occupés à vanter les « talents » dénichés par Jean Castex, l’homme qui, après avoir décon né la France, s’apprête à la redresser en dix-huit mois.

    Étrange moment de flottement. L’effervescence médiatique autour d’une équipe dont Me Éric Dupond-Moretti semble devoir à lui seul nourrir l’appétit de spectacle ferait presque croire que la crise économique qui vient serait une promenade de santé. Que pèsent un million de chômeurs à côté d’une guerre possible entre le nouveau ministre et la magistrature ? Même Roselyne Bachelot, indéniablement plus légitime à son poste que ses prédécesseurs, semble reléguée au rang d’attraction, alors même qu’elle tente de faire comprendre de quelle ampleur cataclysmique seront les conséquences du coronavirus sur un monde de la culture réduit à la paralysie. Le spectacle ne vaut que si les acteurs jouent leur rôle. Pas trop de fond. Beaucoup d’effets de manche. Ils ne sont là que pour ça : tenir la scène pour permettre au principal acteur de se représenter en 2022. Le reste n’est qu’accessoire.

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  • Mort de la gendarme Mélanie Lemée : « Si Yassine s’était pris une bastos, il y aurait des fresques « Yassine for life » ». Patrice Quarteron

    Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !

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  • Faillite des transports publics

    Faillite des transports publics

    L’autorité organisatrice des transports publics, Ile-de-France Mobilités, a confirmé, mercredi 8 juillet, ne plus pouvoir payer ses opérateurs, SNCF et RATP. Le conseil d’administration d’Ile-de-France Mobilités (IDFM) vient de voter à l’unanimité d’arrêter de financer ses opérateurs jusqu’à ce que le budget 2020 soit à nouveau stabilisé. Cette décision fait suite au refus d’un plan d’aide de l’Etat visant à couvrir les pertes liées à l’épidémie de coronavirus. Valérie Pécresse indique aux Echos :

    « Le Covid est un ouragan qui nous a causé des pertes de recettes abyssales, de 2,6 milliards d’euros : 1,6 milliard de recettes commerciales perdues en raison de la chute de la fréquentation et un milliard du versement mobilité. Depuis le début, nous avons payé pour l’équivalent de 100 % des services [principalement auprès de la RATP et du Transilien de la SNCF], avec 30 % des trains qui roulaient, des trains eux-mêmes vides. Nous l’avons fait en pensant que l’Etat serait à nos côtés »

    Le ministre des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a présenté la compensation de 425 millions d’euros comme un acompte pour parer à l’urgence.

    Valérie Pécresse ne voit pas d’autre solution possible que la cessation de paiements face au trou d’IDFM.

    Faute de transports, il va falloir poursuivre le télétravail…

    https://www.lesalonbeige.fr/faillite-des-transports-publics/

  • 150 détenus en lien avec le terrorisme sortiront en 2022 : la sénatrice Goulet face à Dupond-Moretti

  • Thomas, la victime blanche qui n’intéresse pas les médias

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    VOILÀ PRÈS DE DEUX MOIS QUE LE DÉCÈS DE DEUX RÉCIDIVISTES LORS DE LEUR INTERPELLATION, L’UN AUX ÉTATS-UNIS, L’AUTRE EN FRANCE, SUSCITE UN MOUVEMENT QUI FAIT LA UNE DES MÉDIAS DE GRAND CHEMIN. CES DEUX ÉVÉNEMENTS OCCULTENT POURTANT D’AUTRES FAITS RÉVÉLATEURS DE L’ÉTAT DE LA SOCIÉTÉ DANS LAQUELLE NOUS VIVONS. LA TRÈS DISCRÈTE COUVERTURE MÉDIATIQUE D’UNE RÉCENTE AGRESSION MORTELLE À SARCELLES NOUS LE RAPPELLE AVEC ACUITÉ.

    BLACK LIVES MATTER OU RIEN

    Le mouvement “Black Lives Matter” a été accueilli par les médias de grand chemin avec enthousiasme. Qu’un noir décède sous la pression d’un policier violent aux États-Unis et c’est l’ensemble de la communauté noire qui est présentée comme victime de discriminations, c’est la police qui est mise en accusation pour le racisme qui y sévirait, c’est même la société dans son ensemble qui serait raciste.

    Les meneurs du mouvement “Black Lives Matter” peuvent se réjouir : les médias annoncent des décisions qui confinent parfois au concours Lépine de la bêtise comme le New York Times qui privera les Blancs de majuscule, contrairement aux Noirs. Comme le relate notamment Marianne, des entreprises ont pris des mesures visant non pas à l’égalité, mais à la discrimination positive. Ce qui va aboutir à favoriser une personne en raison de sa couleur et non de sa compétence. Peu importe que le sentiment victimaire ait été attisé au-delà de la raison et que la discrimination positive aboutisse à créer des injustices, des tensions et du ressentiment…

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  • Une adjointe à l’agriculture à la mairie de Paris

    Vous avez bien lu. La mairie de Paris se paie une adjointe, « chargée de l’agriculture, de l’alimentation durable, et des circuits courts ». Autant la nourriture est un enjeu de sécurité publique et il est tout à fait légitime de s’en préoccuper, autant évoquer l’agriculture dans Paris est une plaisanterie. S’il s’agissait d’une responsabilité bénévole, il serait tout naturel d’en rire. Mais à six mille euros par mois, c’est obscène. Obscène que les Parisiens, dont 21,1 % vivent dans des logements sociaux, paient avec leurs deniers ce fantasme bobo absolument grotesque. L’agriculture, à Paris, se limite aux quelques ruches sur le toit de l’Opéra, et aux vignes (fort) chétives de Montmartre. Et bon courage aux amateurs de poissonnailles si l’objectif est d’élever du fretin dans la Seine.

    Audrey Pulvar représente tout ce que Paris produit de plus pénible : des idéologues ridicules partout sauf dans la quinzaine de métropoles mondialisées qui ont fait sécession de leur pauvre pays ou de leur pays pauvre, donneurs de leçon compulsifs, et trouvant toujours le moyen de se faire entretenir avec l’argent public.

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  • La théorie du « privilège blanc » à l’assaut du pouvoir, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.

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  • Remaniement : ça a déjà fait pschitt

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    « Rien de nouveau sous le soleil », « une tempête dans un verre d’eau », on peut utiliser l’expression que l’on veut, mais ce qui est sûr, c’est que tout cela aura encore fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose…

    Énième numéro d’illusionniste pour le maître en communication de l’Élysée, le remaniement ministériel devait avoir pour but de marquer un tournant après l’épreuve du Covid-19 dans la politique du chef de l’État pour la fin du quinquennat et en prévision de 2022.

    Cela faisait déjà un certain temps que l’exécutif cherchait à faire peau neuve et à se redonner les moyens de gouverner tant bien que mal une France qui traverse un moment difficile de son Histoire.

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