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France et politique française - Page 1464

  • Des batteries quasi éternelles fabriquées à partir de déchets nucléaires.

    Vous êtes nombreux, maintenant, à être fidèles au rendez-vous hebdomadaire que vous donne Bayard, chaque jeudi, avec sa Chronique Alimentaire/Santé. Et vous appréciez la sûreté et l'abondance des renseignements très précis et très pratiques qu'il vous y donne. Il va aujourd'hui quitter sa spécialité habituelle, pour vous entretenir ici d'une information scientifique extrêmement intéressante, dont le proche avenir dira vite ce qu'il faut en penser...

    François Davin, Blogmestre

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  • Les agriculteurs toujours seuls dans le chaos du déconfinement

    Pas de bras, pas d’assiette ! L’opération « Des bras pour ton assiette », lancée par le gouvernement, a fait pschitt. L’idée était pourtant séduisante : inciter les personnes en chômage partiel à se rendre utiles en travaillant pour les agriculteurs privés de main d’œuvre à cause de la fermeture des frontières. Malgré les effets d’annonce, sur les 300 000 candidatures, seules 15 000 personnes ont été contractualisées… ça rappelle les promesses de don oubliées après le Téléthon !

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  • Printemps 2020 : l’inadéquation de l’offre sanitaire en France

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    Bernard Plouvier

    À l’heure du « déconfinement », à peu près partout dans l’hémisphère Nord, il paraît évident que, comparé au bilan d’une pandémie grippale, le Covid-19 a globalement peu tué et de façon très naturelle – la mort touchant préférentiellement les sujets âgés ou aux faibles défenses immunitaires.

    Cette pandémie n’a, pour l’instant, touché massivement que l’hémisphère Nord. La « seconde vague » sera celle de l’hémisphère Sud, durant notre été & notre automne, soit leur hiver et leur printemps, ce qui est logique pour une virose respiratoire épidémique, maladie de régions froides et humides... de ce fait, il est fort peu probable qu’elle touche fortement les zones équatoriales. Il est inutile d’y envoyer du matériel dont nous manquons cruellement en France !   

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  • Les gens sont si bêtes

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    C’est vrai, ça. Et méchants, en plus. On se décarcasse pour leur mâcher le travail, pour pas qu’ils perdent de temps dans cette quête essentielle de la vérité, et voilà qu’on nous tombe dessus à bras raccourcis. Le bébé de , le service « Désinfox coronavirus », aura donc « vécu ce que vivent les roses », comme disait le poète : pas longtemps.

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  • Le casse-tête du redressement de l’économie

    Travailler plus pour rattraper le retard ! Voilà la nouvelle idée lancée par plusieurs responsables politiques. Mais les Français ont-ils envie de faire un effort pour gagner plus d’argent à l’heure où les habitudes de production et de consommation sont en pleine remise en question ? Surtout, travailler plus pour réparer les conséquences de l’amateurisme d’un président qui ne reconnaîtra jamais ses erreurs ? En tout cas, les prévisions plus que pessimistes pour l’année 2020 devraient suffire à faire peur aux Français et les faire marcher droit.

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  • Marion Maréchal : face au drame social qui va submerger notre pays, la premier mesure efficace est d’établir la priorité nationale

  • L’héritage de mai 68

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    Mai 68 n'a pas été une victoire politique mais sociétale. Elle a conforté le triomphe d'un libéralisme économique soi-disant honni, et installé tous les germes pour détruire l'identité française traditionnelle.

    Dès l'été 68, Raymond Aron écrivait à chaud La Révolution introuvable (un livre d'entretiens avec le déjà servile Alain Duhamel, paru chez Fayard). Il y parlait à juste titre de « décomposition soudaine de la société française ».

    Une France en mutation

    Au milieu des années 6o, la France est au cœur de ce qu'on a appelé les Trente Glorieuses, une période de prospérité où la croissance atteint les 5 %. Les guerres coloniales (Indochine, Algérie) sont terminées. Et on assiste à une « seconde révolution », selon le terme du sociologue Henri Mendras (La Seconde Révolution française 1965-1984, Gallimard, 1986), où la France comble son retard en matière d'urbanisation et d'industrialisation. Comme le reste des pays occidentaux développés, elle sacrifie au mythe faustien du progrès (économique, scientifique, technologique). L'économie se tertiarise et le travail féminin se développe. Une spirale qui, on le sait 50 ans après, n'a cessé de s'accélérer, enterrant une France traditionnelle, rurale, la France de toujours avec son village et son clocher (que l'on trouvait encore comme un symbole sur l'affiche présidentielle de Mitterrand en 1981). Mais ce progrès et cette urbanisation ne sont pas sans créer de nouveaux problèmes : anonymat des villes, solitude sociale... Certes, le Système capitaliste envoie un contrepoison avec la société de consommation (sur le modèle de l’american way of life). La publicité, les loisirs, les vacances, le cinéma, tout est bon pour faire passer la pilule. Dans son roman Les Choses Gulliard, 1965), Georges Perec montre un couple moderne pour lequel seul importe la possession de biens de consommation. Et ce couple ni heureux ni malheureux semble être finalement la chose de ses choses... Une fable toujours très actuelle.

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  • Pas plus de 100 km pour éviter les « brassages de population »… et si on reparlait des frontières ?

    Au mois de décembre, on sort de sa boîte le confit de canard. Au mois de mai, on déverrouille le couvercle du confit de Français. Enfin, on l’entrouvre. Pas plus de 100 km, essentiellement pour aller au boulot. Mais n’est-ce pas là la vraie liberté, mes chéris ? Arbeit macht frei, comme disaient d’autres grands confineurs historiques de Français.

    Youpi ! Le formidable progrès, et c’est à peu près le seul, est que nous n’aurons plus à produire, dans notre département ou dans un rayon de 100 km « à vol d’oiseau », notre auto-autorisation de sortie, document de confinement confinant surtout à l’absurde, fruit des amours monstrueuses du « trouple » Courteline, Ionesco et Devos.

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  • La France, pays de la préférence étrangère ?, par Christian Vanneste.

    En ce 10 Mai, jour des grandes catastrophes nationales, de l’invasion de 1940 à l’élection de Mitterrand, il n’y a aucune raison d’être joyeux, même si demain le confinement va ouvrir modérément ses fenêtres. Pour un Français qui a encore le sens de l’appartenance nationale, et qui pensait que la seule communauté qui vaille était la nation, riche de son histoire et de son identité, et dotée d’un Etat, certes coûteux et bureaucratique, mais capable de le protéger, et de faire valoir les qualités exceptionnelles du pays, l’épisode du coronavirus aura été une descente aux enfers avant l’heure.

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