En hommage à Mélanie, Championne de France militaire de judo 2018



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En hommage à Mélanie, Championne de France militaire de judo 2018
Renvoyé le 22 janvier en raison de la grève des avocats contre la réforme des retraites, le procès d’Eric Zemmour, poursuivi pour « injure publique à caractère racial » et « provocation publique à la haine raciale » suite au remarquable discours qu’il a prononcé en septembre dernier à la Convention de la droite, s’est finalement tenu mercredi devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Un procès aux relents staliniens, à l’occasion duquel les associations antiracistes et autres chiens de garde du système ont ouvertement affiché leur volonté de censurer le brillant essayiste.
Un regard lucide sur l’islam et l’immigration
Beaucoup d’employés ont pris goût au télétravail car ils évitent ainsi les trajets parfois très longs, ils s’organisent mieux chez eux (s’ils n’ont pas des enfants trop accaparants). Cependant, si le télétravail va désormais prendre une importance qu’il n’avait pas avant le Covid-19, le passage au bureau restera indispensable, au moins un ou deux jours par semaine.
Nombre de managers doivent, désormais, ruser pour attirer leurs collaborateurs au siège de l’entreprise. En effet, si les projets déjà définis et avancés peuvent être développés chez soi, avec des vidéoconférences pour régler les problèmes qui se posent, il n’en est pas de même des nouveaux dossiers, qu’il faut souvent monter à partir du néant. Avoir un interlocuteur devant soi et non derrière une caméra est alors indispensable. Pour arriver à leurs fins, les managers placent une réunion en présentiel obligatoire, collectif ou en tête-à-tête, un jour défini de la semaine, invitent à déjeuner, s’appuient sur leur propre exemple. Heureusement pour les dirigeants, la part du télétravail va s’éroder spontanément, les employés se lassant de rester sans cesse chez eux (le célèbre logiciel Zoom de vidéoconférence provoque déjà des burn out), même si une partie de leur travail restera délocalisée. On peut espérer de cette nouvelle organisation des gains de productivité importants et des économies sur le nombre de bureaux nécessaires pour les entreprises. Cela sera bien utile à l’économie à la dérive de la France.
Le commissariat du 15e arrondissement de Marseille a été perquisitionné samedi matin dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour soupçons de fraudes aux procurations. Un élu et plusieurs fonctionnaires seraient impliqués, selon lemediatv.fr qui révèle l’information ce lundi.
Le feuilleton des fausses procurations présumées se poursuit à Marseille. Après l’épisode des perquisitions dans les quartiers sud, au QG de Martine Vassal et chez deux candidates LR, c’est au tour du commissariat du 15e arrondissement d’être ciblé.
Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ La France est soumise, depuis plusieurs décennies et malgré l’opposition nette des Français dans chaque sondage sur la question, à une vague d’immigration extra-européenne massive. La composition raciale de la France change donc progressivement. Aujourd’hui, les nouveau-nés extra-européens représentent certainement près de 40 % du total des naissances en France. Ce changement démographique d’une rapidité et d’une ampleur très certainement inégalée dans l’histoire de l’Europe est aujourd’hui visible jusque dans les lieux de pouvoirs.
Dans une série en plusieurs parties, Maxime Jacob revient pour Polémia sur cette modification en analysant cet enrichissement – tant vanté par les immigrationnistes – à l’Assemblée nationale.
Polémia
Rodrigue Kokouendo
Né à Bangui (République Centrafricaine), il est député de Seine et Marne de la République en Marche. Fils de diplomate, il est vice-président de la commission des affaires étrangères (il assure les liens avec l’Afrique). C’est un député peu actif, il n’a déposé que TROIS amendements, en un an… Homme peu médiatisé et discret, il proposera à la faveur d’un rapport (intitulé : « La république en échec ») sur la Seine-Saint-Denis, l’autorisation des statistiques ethniques pour « lutter contre les discriminations ». Dans ce même rapport, il fait état, sans la nommer, de la réalité du Grand Remplacement dans ce département francilien. Selon les données qu’il fournit, la Seine Saint-Denis concentre la moitié des communes de France ayant les plus forts taux d’étrangers, dans certaines communes, plus de 80% des jeunes ont un ou deux parents immigré(s)… De plus la population de la préfecture Saint-Denis n’est qu’estimée, avec une marge de 30%, à cause des milliers de clandestins qui y vivent. Kokouendo finit donc par demander plus de moyens pour ce département. Il est aussi l’auteur d’un rapport d’information sur l’Aide au développement (subventions versées aux pays sous-développés). Lucide, il s’attarde sur le problème de la croissance démographique africaine, avant de conclure son rapport en demandant encore plus de fonds pour l’Afrique.
Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ La France est soumise, depuis plusieurs décennies et malgré l’opposition nette des Français dans chaque sondage sur la question, à une vague d’immigration extra-européenne massive. La composition raciale de la France change donc progressivement. Aujourd’hui, les nouveau-nés extra-européens représentent certainement près de 40 % du total des naissances en France. Ce changement démographique d’une rapidité et d’une ampleur très certainement inégalée dans l’histoire de l’Europe est aujourd’hui visible jusque dans les lieux de pouvoirs.
Dans une série en plusieurs parties, Maxime Jacob revient pour Polémia sur cette modification en analysant cet enrichissement – tant vanté par les immigrationnistes – à l’Assemblée nationale.
Polémia
Introduction
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Lors des élections législatives de 2017, le monde médiatique se félicitait du changement de visage de l’Assemblée Nationale. L’arrivée en force du parti présidentiel, la République en Marche (LREM), au Palais Bourbon participait grandement à ce renouveau. Il amenait dans ses bagages de nombreuses femmes, mais aussi des « membres de la diversité ». Mais ce n’était pas vraiment une surprise, il s’agissait d’une volonté présidentielle. Macron avait promis pendant sa campagne qu’il y aurait des députés : « de toutes les couleurs ».
Notre dette va atteindre 140 % de notre PIB en 2024, selon Le Figaro. Après cette date, elle risque de grimper à un rythme faible, mais régulier, le déficit restant autour de 3 % du PIB. Certes, le Japon est à 230 % du PIB depuis près de vingt ans sans connaître de difficultés économiques particulières autres qu’une croissance molle. Il se finance sans aucun problème à des taux négatifs. Mais c’est le seul exemple de ce type. Lorsqu’une dette dépasse les 130 % du PIB, en général, les taux d’intérêt flambent, entraînant une cessation de paiements. Si la BCE n’intervenait pas, l’Italie et la Grèce, qui sont respectivement à 130 % et 180 %, emprunteraient au-delà de 5 % et feraient faillite. C’est ce qui est arrivé au Liban et à l’Argentine. Dans ces deux pays, les importations sont bloquées, les programmes sociaux abandonnés, la misère s’étend au point que les populations ont faim. Inadmissible, au XXIe siècle.
Par Marc Landré *
Emmanuel Macron l’avait déjà laissé entendre le 14 juin, lors de sa dernière adresse télévisée à la nation. « Notre pays va connaître des faillites et des plans sociaux multiples en raison de l’arrêt de l’économie mondiale », avait prévenu le chef de l’État, en appelant déjà à une « reconstruction économique » de la France et promettant de « tout faire pour éviter au maximum les licenciements ». Ce vendredi, dans son interview à la presse régionale, il a été encore plus clair : « la rentrée sera difficile et il faut s’y préparer ». Pronostiquer qu’elle sera « difficile » est au mieux un euphémisme, au pire une lapalissade. La rentrée de septembre, de l’avis de tous les experts, va être bien pire, c’est-à-dire apocalyptique. En réalité, comment pourrait-il en être autrement, tant la déflagration économique que la France endure est d’une violence inédite ? Les Français - qui dans leur grande immense majorité ont été pour l’heure épargnés par les conséquences de la crise sanitaire - ne s’en rendent pas compte mais l’horizon est des plus sombres, pour ne pas dire des plus noirs.