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Apparu au sein du gauchisme idéologique d'après mai 1968, le féminisme contemporain n'est plus une idéologie de la défense et de la promotion des femmes dans la société, mais constitue une arme idéologique de destruction massive des valeurs traditionnelles de la société européenne, qui exerce son pouvoir de nuisance au travers d'un véritable terrorisme intellectuel et judiciaire.
Le mouvement féministe des années 1950-75, celui de la génération née avant la Seconde Guerre mondiale, se préoccupait d'abord de l'amélioration des conditions sociales de la population, et en particulier de la promotion des femmes dans la société. Mais après Mai 1968, le féminisme de la deuxième vague, a muté sur le plan idéologique, il a changé d'objectif : pour le féminisme contemporain, l'Ennemi absolu, ce n'est plus le patron capitaliste rapace ou la société de consommation qui véhicule des stéréotypes machistes, mais c'est clairement l'homme blanc, le mâle blanc hétérosexuel, le super-prédateur viril et solaire qui a construit une civilisation supérieure de par son génie, sa force, sa volonté de puissance.
Malgré le titre (la Chine...), on a surtout parlé d'Europe ce Mardi soir...
1. Zemmour a raison de dire qu'il croira dans "cette" Europe quand l'Allemagne achètera des avions français, alors qu'elle vient d'annoncer qu'elle achèterait des avions "étatsuniens"; il a raison aussi, sur ce sujet, de moquer l'incohérence des allemands qui n'ont pas de mots assez durs contre le nucléaire français...
2. Puisqu'on parle de la puissance chinoise, Zemmour a encore raison quand il déclare que Bruxelles ne comprend rien à la Puissance, et que cette Europe technocratique se fonde sur une idéologie de sortie de l'Histoire; elle croit naïvement aux Droits, aux Marchés, à la Concurrence alors que Zemmour - et nous aussi - ne croient qu'aux Nations (Chine, Etats-Unis, France etc).
Eric Zemmour : "L'arrogance chinoise a réveillé tout le monde"
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle"...
3. Et puisque l'on parle de Nations, allions nous avec la Russie, notre alliée naturelle pour équilibrer les deux super puissances que sont la Chine et les Etats-Unis, en attendant celle qui monte : l'Inde... Selon la prédiction de De Gaulle, la Russie a bu le communisme comme le buvard boit l'encre et avec elle nous n'avons en réalité aucun contentieux majeur mais bien des affinités spirituelles et géopolitiques fondamentales...
4. Dernier point, et là Zemmour se trompe complètement lorsqu'il manifeste sa napoléonite : il dit "avec Napoléon, les anglais ont eu un adversaire à leur hauteur". Ne serait-ce pas plutôt avec Louis XVI ? Rappelons à notre cher Eric Zemmour - qui a pourtant lu Jacques Bainville- que Louis XVI est le seul Roi de France a avoir vaincu les anglais et sur terre et sur mer. Il a fait traverser l'Atlantique à l'armée française, au nez et à la barbe des anglais, que cette armée est allée vaincre aux Amériques avant de retraverser l'Atlantique pour rentrer victorieuse au pays. Une vingtaine d'années après, la funeste Révolution étant passée par là, Napoléon a été incapable de franchir les trente malheureux kilomètres qui séparent Calais de Douvres ! Il est bizarre qu'un esprit aussi brillant qu'Eric Zemmour commette une bourde pareille...
Après l’usine de masque, après le supermarché, après l’hôpital, après tant d’autres lieux, hier 5 mai Emmanuel Macron est allé s’exhiber encore, dans une école cette fois.
Les indignations des “professionnels de la profession” restent feutrées. Pourtant, jeudi dans une rue de Paris, le journaliste Eric Zemmour a subi les injures d’un jeune néofasciste, qui s’est lui-même défini comme “islamo-racaille“. Rares ont été les journalistes qui ont fait connaître leur solidarité avec le confrère. Tout au contraire, Claude Askolovitch, qui a ses partisans à Libération et ailleurs, a soutenu dans un article (Slate) que “l’homme qui crache sur Zemmour est un autre Zemmour“, sans se rendre compte que lui-même, insultant l’insulté, prenait les traits frustres de l’agresseur. C’est d’ailleurs ce dernier, habité par un visible sentiment d’impunité, qui a diffusé son attaque sur les réseaux sociaux.
Il n’est pas question de dire que la crise sanitaire n’existe pas, nous sommes nombreux à avoir des amis qui s’en sont allés ou des proches qui sont atteints ! Mais nos regrets et notre tristesse ne doivent pas nous faire oublier qu’il est une crise de plus grande ampleur : crise civilisationnelle s’il en est !
On ne le redira jamais assez : « tout est symbole ». Il faut avoir la lucidité et le courage de dire, pour employer un vieux mot français, ce que « monstre » ce symbole. Fût-ce dans ses aspects monstrueux. En la matière, et en paraphrasant ce que disaient, en leur temps, nos amis situationnistes, il convient donc d’établir un « véridique rapport » sur le libéral-mondialisme !
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs : d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
Alors que le Covid-19 met en lumière l’amateurisme, la dilettante et l’inefficacité de la Start-up nation dans la gestion d’une crise d’ampleur mondiale, les plaintes s’accumulent contre l’exécutif. La solution envisagée par Macron et ses acolytes pour ne pas avoir à rendre de compte fait pâlir de jalousie tous les dirigeants autoritaires du monde, l’auto-amnistie !
Trouvé sur VA : « Nombre de familles de victimes du virus, de collectifs de soignants ont déposé plainte sur le fondement d’infractions telles que la mise en danger d’autrui, les blessures involontaires ou encore l’homicide involontaire.
C’est dans ce contexte que les futurs textes législatifs et réglementaires vont être adoptés. Or, certaines mesures décidées par le gouvernement, dont l’ouverture des écoles, vont être mises en œuvre par les maires, qui pourraient donc engager leur responsabilité, y compris pénale, en cas de défaillances.
Jean-François Touzé, ancien Conseiller régional francilien (FN), est aujourd'hui l'un des principaux responsables nationaux du Parti de la France. Depuis quarante ans, il a été de tous les combats pour la France française et pour la Civilisation européenne... Autant dire que nous en avons été, souvent, côte à côte.
De plus depuis quelques mois, plusieurs fois par semaine, il nous éclaire avec talent sur l'actualité en nous donnant son avis sur ce site ainsi que dans la revue Synthèse nationale. Voilà donc sa contribution à notre enquête sur l'"après crise", si toutefois un "après" il doit y avoir.
R.H.
Jean-François Touzé
En ces temps sombres où seule la petite lumière de l’espérance consent à nous être un fanal, grande est la tentation de croire à une automatique inéluctabilité transformatrice du « jour d’après ».
On se souviendra donc avec profit du sage conseil de Pythagore : « n'entretiens pas d'espoirs qui ne peuvent être espérés ».
Tout indique, en effet, que, sans un absolu bouleversement politique qui ne peut être que le fruit de combats militants renforcés, le monde post COVID-19 qui, au demeurant, sera nécessairement celui de l’avant prochaine crise quelle qu’en soit la nature, ressemblera fraternellement à celui d'avant.
La France s’est illustrée en étant le premier pays au monde à demander ouvertement aux géants de la technologie de la Silicon Valley de lever la protection des données personnelles des utilisateurs de leurs services pendant la “pandémie du Covid-19”, afin d’introduire une “solution européenne souveraine en matière de santé” qui permette de suivre à la trace les mouvements de ses citoyens.
Le gouvernement français entend dévoiler une application de traçage des contacts d’ici le 11 mai, date à laquelle le pays a prévu d’assouplir les mesures nationales de verrouillage introduites en mars dernier.
Mercredi 16 octobre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Philippe Arondel sur le thème “Avenir du syndicalisme chrétien”. L’avenir du syndicalisme chrétien à l’heure ou la CFTC fête ses cent ans Lorsqu’on se penche sur l’histoire de la CFTC, force est de constater que la vie de cette confédération syndicale, portée sur les fonts baptismaux il y aura cent ans en novembre 2019, ne fut pas un long fleuve tranquille. On peut même s’étonner qu’elle ne se soit pas encore effondrée sous les coups de boutoir portés par ses ennemis naturels (les organisations concurrentes ou le patronat), mais aussi par ceux que l’on pourrait considérer comme ses alliés (notamment l’épiscopat français), ou encore qu’elle n’ait pas succombé, victime en interne de ses divisions. Quand d’autres prônent la lutte des classes et comptent sur le rapport de force pour défendre les intérêts de la classe ouvrière, la CFTC cherche à faire avancer le progrès social par le dialogue et la négociation en référence à la doctrine sociale de l’Église, contribuant ainsi à la construction du modèle social français. Que reste-t-il, aujourd’hui, de cette identité dans un monde syndical éclaté et en quête d’un nouveau souffle ? Quel peut être l’avenir du syndicalisme ? Comment peut-il se ressourcer dans un monde en bouleversement lié à l’apparition de nouvelles problématiques ? C’est à ces questions que Philippe Arondel – journaliste, essayiste, spécialiste du syndicalisme chrétien et animateur sur Fréquence Protestante de l’émission « Midi Magazine » tous les mardis – tente de répondre.