Complotisme… populisme… Ces deux mots sont le bouclier verbal du microcosme qui préfère anathématiser ses ennemis au lieu de démontrer qu’ils se trompent… Or, comment faut-il appeler une « machination judiciaire », une « manipulation collective », une « entente complice » entre des politiques, des magistrats et des journalistes pour agir sur une élection présidentielle au point sans doute d’en changer le résultat ? J’emprunte ces mots à Philippe Bilger, peu suspect de complotisme ou de populisme, et qui a eu l’honnêteté intellectuelle de modifier son jugement après les déclarations sous serment de l’ancien procureur du Parquet National Financier, Mme Eliane Houlette, qui auditionnée par une Commission de l’Assemblée Nationale, avait révélé les pressions qu’elle avait subies, pour ne pas dire le harcèlement, de la part du Parquet Général, pour faire avancer l’affaire, et communiquer les pièces qui, au mépris du secret de l’instruction se trouvèrent ensuite dans la presse, elle-même peu soucieuse de la présomption d’innocence. Non, ce n’était pas le fonctionnement normal de la justice, mais une exécution politique destinée à empêcher un candidat expérimenté et conservateur d’être élu président, et à faire élire un progressiste sans expérience, avec les résultats calamiteux que l’on connaît maintenant. Le mot complot s’impose à l’évidence, complot de cabinet et d’antichambre, complot du sérail, complot de l’oligarchie de gauche, de cette caste de politiciens, de hauts fonctionnaires, d’hommes d’affaires influents, de journalistes et de communicants en tous genres qui gangrène notre pays depuis des décennies avec la complicité d’une « droite » au cerveau atrophié, et soumise. Le lâchage de Fillon par les pleutres de son camp et par les opportunistes avides de pouvoir dessine les contours de notre « establishment », de notre nomenclature, de notre « Etat profond », de l’ensemble de ceux pour qui « populiste » est une injure, parce que le peuple est méprisable d’ignorance et de grossièreté et ne doit pas importuner la ronde festive des « sachants » dans les Palais de la République.
France et politique française - Page 1474
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Eliminer notre « élite » de contrebande !
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Bourdin, Pujadas, Margaux de Frouville : quand Didier Raoult malmène les journalistes
Invité le 25 juin sur le plateau de BFMTV et RMC, Didier Raoult a eu un échange très musclé avec Jean-Jacques Bourdin.Ce n’est pas la première fois que le professeur marseillais joue la carte de la confrontation lors d’une interview : précédemment, les journalistes Margaux de Frouville, Apolline de Malherbe et David Pujadas avaient déjà fait l’expérience du style particulièrement direct du microbiologiste.
Retour en images.http://by-jipp.blogspot.com/2020/06/bourdin-pujadas-margaux-de-frouville.html
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Éric Zemmour : « Emmanuel Macron sait-il qui il est vraiment ? La réponse est non ».
Source : https://www.lefigaro.fr/vox/
On a l’impression que le Président souffre davantage d’indécision que de machiavélisme.
Qui est Emmanuel Macron? C’est la question qu’on se pose après sa dernière intervention télévisée.
C’est la question qu’on se pose depuis qu’il a conquis l’Élysée. Sa prestation de dimanche dernier n’a pas permis de répondre à la question. Le Président s’est posé en héraut de l’ordre public contre les contempteurs des «violences policières», mais il a donné un crédit à la complainte infondée de ceux-ci contre les discriminations en fonction « du nom, de l’adresse, de la couleur de peau ».Il a défendu l’honneur de la police, abandonnée par son ministre, mais il n’a pas renié la démarche scandaleuse de sa ministre de la Justice, qui se proposait de recevoir la famille Traoré. Il condamne le « séparatisme », mais laisse prospérer les mosquées salafistes. Il rejette les attaques contre les statues de nos grands hommes au nom d’un révisionnisme antiraciste, mais c’est le même qui a dit que la colonisation française avait été « un crime contre l’humanité ».
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Soutenez le combat national et identitaire : participez à la souscription patriotique 2020 de Synthèse nationale
Agissez ! Participez !
Souscrivez !
Cela ne vous surprendra pas, la période jonchée d’imprévus que nous venons de traverser n’a pas été évidente pour une organisation comme la nôtre. Privés de nos imprimeurs, de nos transporteurs et, deux mois durant, de l’accès à notre domiciliation en raison du confinement imposé, nous nous sommes retrouvés dans une situation délicate. C’est ainsi que nous avons dû annuler plusieurs réunions et reporter nos publications. Difficile de combattre le Système avec de telles restrictions...
Néanmoins, grâce à la générosité de quelques amis, à la patience de nos fournisseurs et à notre conviction que, plus que jamais, notre combat est indispensable pour sauver notre nation et notre civilisation, nous avons tenu bon.
Aujourd’hui, Synthèse nationale reprend ses activités, que celles-ci soient éditoriales ou militantes. Plusieurs livres et revues viennent d’être publiés et, les 10 et 11 octobre prochains, nous tiendrons, s’il n’y a pas de nouvelles restrictions d’ici là, nos 14èmes Journées annuelles Bleu Blanc Rouge à Rungis (94) près de Paris. Quant aux émissions « Synthèse » sur TV Libertés, elles reprendront à la rentrée de septembre.
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Le vote écolo de gauche (EELV), c’est aussi l’immigrationnisme de masse
Le vote écologiste de gauche qui a remporté plusieurs municipalités hier soir (EELV renforcé du PCF, de LFI et parfois du PS) ne doit pas seulement être considéré seulement comme un vote de citadins aisés adeptes de l’écologie punitive. C’est vrai mais pas suffisant.
Yannick Jadot, pour s’en défendre, citait ce matin l’exemple de Colombes en région parisienne comme étant une grande ville de banlieue où ce sont les “quartiers populaires” (lire les quartiers d’origine immigrée) qui ont soutenu et voté EELV. Voici la vidéo de jeunes écologistes tant préoccupés par la défense de la biodiversité et la fin du nucléaire :
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Que personne ne soit dupe. Le vote écolo de gauche (EELV/PCF/LFI), ce sont les bobos écolo de gauche des grandes villes mais aussi les indigénistes, les anticolonialistes, les anti esclavagistes, les islamo-gauchistes, les partisans d’une régularisation massive des clandestins. Et comme EELV promeut également les “droits” LGBT, il y aura un jour ou l’autre des tensions internes.
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Sommes-nous à la veille d’une révolution ?
Selon les gauchistes, la révolution doit faire tomber le régime, la société même, comme des fruits mûrs. Rares sont cependant les fruits de cette espèce qui tombent sans qu’on les pousse un peu tant l’inertie du conformisme l’emporte sur l’ardeur du changement. Cette résistance à la chute est due à ce que Richard Nixon avait appelé la « Majorité silencieuse ». Cette formule est très significative. Elle implique que dans une société donnée, ce sont les minorités qui parlent et qui agissent. Une démocratie n’est donc qu’une apparence dans la plupart des cas puisque la majorité du peuple ne s’exprime que périodiquement. Dans l’intervalle, ce sont des minorités qui gouvernent, ou s’opposent au gouvernement avec l’espoir de le remplacer à l’occasion d’une élection, ou de manière plus radicale, en désirant renverser le régime, voire bouleverser la société. Certains pays, comme la Suisse, s’approchent de l’idéal démocratique, qui permettent à la majorité de s’exprimer très souvent à travers des référendums, d’autres s’en éloignent par l’organisation de scrutins, plus ou moins espacés, destinés à élire des responsables politiques, plus ou moins « représentatifs », cette notion elle-même étant discutable. Dans tous les cas, l’opinion publique est conditionnée par des moyens de formation et d’information détenus par des minorités. Lorsqu’il y a adéquation entre la minorité qui tient le gouvernement ou plus largement domine le système et celle qui détient les leviers de la pensée par la censure ou par la propriété, il faut des circonstances exceptionnelles, comme une guerre calamiteuse ou une crise économique considérable, pour faire tomber le régime et transformer la société. Ainsi en a-t-il été de la Russie tsariste en 1917, passée en quelques mois entre les mains des bolcheviques qui n’étaient nullement majoritaires dans le pays, ni même parmi les révolutionnaires malgré leur dénomination trompeuse.
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Coronavirus COVID-19 Alain Soral Pierre Jovanovic On a un gouvernement d'assassins
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Les prestations sociales compteraient parmi les sources de financement du terrorisme les plus fréquemment utilisées, selon un rapport de l’ONU
Un rapport de l’ONU cite les prestations sociales parmi les sources de financement du terrorisme les plus fréquemment utilisées.
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Et si Martine Vassal était élue maire de Marseille avec les voix du RN ?
Contrairement à ce que tout le monde pense, la gauche écologiste n’est pas majoritaire à Marseille (42 sièges sur 101). Tout va se jouer au troisième tour. Pour le moment, Jean-Claude Gaudin demande au dissident LR (3 sièges) de se rallier à Martine Vassal (39 sièges) mais également à la divers gauche Samia Ghali (8 sièges).
Jean-Claude Gaudin semble oublier qu’avec 9 sièges, le RN pourrait être décisif dans le choix du maire de Marseille. La droite se sabordera–telle comme lors des régionales de 1998 ? La liste arrivée en tête de Michèle Rubirola est clairement une liste d’extrême gauche (écologiste de gauche, PS, LFI, PCF) !
C’est un choix emblématique que va devoir faire LR à Marseille : soit laisser la ville à l’extrême gauche, soit accepter les voix du RN. Le RN devra également faire un choix.
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Vague verte aux Municipales. Attention à la réplique en 2022.
L'avis de Jean-François Touzé
Marseille, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Besançon, Grenoble... La vague rouge-verte que nous redoutions et contre laquelle nous mettions en garde nos amis la semaine dernière a bien eu lieu. Servie par une abstention sans précédent pour un scrutin municipal, abstention dont on aurait grand tort de faire porter la responsabilité à la seule crise sanitaire, la nouvelle gauche plurielle et arc-en-ciel désormais menée, animée, guidée par les ayatollahs de la République universelle, progressiste, renouvelable et durable, s'empare de quelques unes des plus grandes villes de France dont elle va pouvoir faire le laboratoire de ses expériences hasardeuses, fumeuses et destructrices. Ces villes livrées a des fous furieux vont ainsi devenir les vitrines de la bien-pensance immigrationniste, anti-traditionnelle, contre-vitaliste et décroissantiste.Pour le plus grand malheur de leurs habitants.Les vingt deux mois qui nous séparent de l'élection présidentielle ne suffiront malheureusement pas à rendre suffisamment visibles la nocivité écolo-gauchiste. L'effet d'entraînement jouant et l'air du temps — qui est chargé de souffre — aidant, une terrible réplique est à craindre en 2022.