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France et politique française - Page 1472

  • Le confinement, une occasion de faire passer des lois liberticides

    Si le gouvernement du président Micron aura montré toute son incapacité et sa légèreté à gérer la crise du coronavirus, entre volte-face incessants, contradictions permanentes, flou tenace malgré les discours fleuves, inconsistants et ennuyeux au possible du Premier ministre Edouard Philippe, il est en revanche ingénieux pour instaurer un état de droit dictatorial. 

    Car outre le confinement strict  à cause de l’incompétence de ceux qui nous gouvernent, qui aura privé les Français de nombre de leurs libertés fondamentales dont la pratique du culte public catholique, le vote des lois liberticides dans un parlement à moitié vide pour cause de crise du coronavirus est prévu au programme du 13 mai 2020 par Macron and Co.

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  • Le "monde d'après" vu par La Dissidence française

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    Vincent Vauclin, président de la DF

    Parce que le monde d'après ne doit pas ressembler au monde d'avant, posons dès aujourd'hui les bases de la refondation nationaliste ! Car face à la mondialisation sauvage et à la crise écologique, seul le nationalisme propose le localisme, la détaxation de proximité et le protectionnisme raisonné ; aux migrations incontrôlées qui plombent notre système social et font le lit de la sédition communautariste, seul le nationalisme répond par la préférence nationale, l’abolition du droit du sol et la remigration ; à l’arbitraire d’une lobbycratie nomade et prédatrice, seul le nationalisme oppose le principe de souveraineté populaire, de subsidiarité et d’enracinement.

  • Comment notre Etat s’est fait hara-kiri.

    Coronavirus, un mort : l’administration « managériale »

    Les Français croient encore qu’ils disposent d’une administration napoléonienne : verticale, avec des ministres et des préfets, bref des chefs. C’est faux : après quinze ans de « modernisation », il n’y a plus que des « managers administratifs » qui pratiquent la « transversalité », recherchent « la qualité » et la « performance ». C’est précisément pour cela que la France manque de masques, de tests et de stratégie sanitaire face au coronavirus.

    La « mise sous tension » du secteur santé a d’abord conduit à supprimer les stocks de masques. Et les « bonnes pratiques » de passation des marchés publics ont débouché sur la passation de trois très gros marchés à la Chine. On aurait pu en commander à une centaine de producteurs différents ou bien relocaliser en France la production de masques, ou encore favoriser l’artisanat commercial ou familial.

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  • Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”

    Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”

    De Marion Maréchal :

    Depuis mon lieu de confinement, j’observe avec attention et inquiétude ce que cette crise du coronavirus révèle de l’état de notre pays. Occultant totalement la pression migratoire aux portes de la Grèce ou le débat sur les retraites, cette pandémie ébranle nos certitudes et met en lumière nos multiples faiblesses. Au-delà des mesures immédiates qu’imposent l’extinction de cet incendie sanitaire, il sera aussi temps de nous pencher sur les solutions structurelles qui devront suivre ce drame.

    La France, le jour d’après

    J’assiste, heure après heure, au défilé des experts, politiciens, journalistes sur les plateaux de télévision.

    Je les entends constater et déplorer la désindustrialisation de la France devenue incapable de produire des masques et des respirateurs sur son territoire. La menace de dizaines de milliers de morts leur ouvre enfin les yeux sur les vertus de l’indépendance nationale. Cet objectif politique, recherché par toute grande nation, n’est pas un simple slogan réactionnaire mais la liberté de ne pas être soumis au bon vouloir de pays étrangers pour sa survie. La France, sixième puissance mondiale, se voit contrainte de quémander l’aide de la Chine pour recevoir en urgence 1 million de masques. Que serait-il advenu de cette précieuse livraison si les chinois n’étaient pas parvenus à endiguer l’épidémie sur leur sol ?

    Gouverner c’est prévoir. Exercer le pouvoir, c’est anticiper dans sa globalité et non se contenter d’appliquer à la lettre, et en dernière minute, les préconisations « des scientifiques », pour reprendre un élément de langage inlassablement déroulé par nos ministres depuis plusieurs jours. L’Elysée n’est pas l’académie des sciences, pas plus qu’il ne devrait être une chambre de commerce. Nos gouvernants apprennent, à leurs dépends, ce qu’est l’action politique, la vraie. Eux qui espéraient que l’économie, ouverte de préférence, puisse pacifiquement régenter le monde et organiser les sociétés redécouvrent que c’est la décision humaine et non les flux livrés à eux-mêmes qui font l’Histoire et le devenir d’une Nation.

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  • Les plaintes s’accumulent contre le gouvernement

    L’exécutif sur le banc des accusés. Ce n’est pas un secret, depuis le début de l’épidémie de coronavirus, le gouvernement est pointé du doigt pour sa mauvaise gestion de la crise sanitaire. Et certains Français ne comptent pas s’arrêter aux simples critiques… Près de 55 plaintes auraient d’ores et déjà été adressées à la Cour de justice de la République, seule instance capable de juger les ministres pour des faits commis dans l’exercice de leurs fonctions. Un nombre qui été multiplié par dix en seulement six semaines… Une majorité des plaintes vise le premier ministre, Edouard Philippe, et le ministre de la Santé, Olivier Véran. Une quinzaine vise également Nicole Belloubet accusée d’être à l’origine d’une gestion hasardeuse de la crise dans les prisons. Autres ministres dans le viseur : le ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

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  • Elisabeth Lévy : “Pourquoi il faut rouvrir les églises”

    Le Premier ministre a parlé d’une éventuelle réouverture des églises pour la Pentecôte, tandis que le ministre de l’Intérieur estimait – en grand théologien – qu’il n’y avait pas besoin de lieu de culte pour prier. Pendant ce temps, la communauté catho s’impatiente, obéissante mais pas soumise, sans brûler de voitures.
    Découvrez un extrait de cette tribune d’Elisabeth Lévy sur les ondes de Sud Radio.

    Encore une éventualité. Les cathos se rebiffent. En ont marre d’être traités « comme la dernière roue du carrosse de la nation française », dixit Monseigneur Lebrun, évêque de Rouen.

    Déjà, ils étaient furax quand la police est entrée dans une église parisienne le 19 avril. «Il faut arrêter ce cirque, sinon on va aboyer très fort !», a prévenu Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris. L’annonce d’Édouard Philippe le 28 avril, selon laquelle il n’y aura pas d’ouverture des lieux de culte avant le 2 juin a fait monter la tension. La Conférence des évêques de France a tenu des visioconférences de crise avec 73 parlementaires. Il en ressort que les pratiquants ne sont pas des citoyens de seconde zone, qui vaudraient moins que des consommateurs.

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  • Emmanuel Macron : entre enfilage de perles et calinothérapie

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    Ce lundi-là, c’était donc atelier « enfilage de perles » à l’Élysée. Alors qu’Édouard Philippe n’avait pas achevé son discours devant les sénateurs donnait une conférence impromptue au pied du grand escalier du palais. Comme une envie qui vous prend entre deux rendez-vous et la signature du courrier. Le Figaro, qui est toujours poli, parle de « cacophonie » au sommet de l’État. On va dire ça comme ça.

    Et Emmanuel Macron a pris la parole pour dire quoi ? Pour inviter les Français à aborder le  avec « beaucoup d’organisation », de « calme », de « pragmatisme et de bonne volonté ». Merci, on n’y avait pas pensé. Des fois qu’il leur prendrait l’envie, aux Français, d’aborder le déconfinement avec beaucoup de confusion, d’agitation, de poésie et de mauvaise volonté.

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  • Un non-confinement sous encadrement sanitaire serait plus efficace que le confinement contre le coronavirus

    06/05/2020 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    C’est ce que semble montrer une comparaison qui a été faite sur Dedefensa.org entre la Belgique et les Pays-Bas. Dès le 17 mars, la Belgique a adopté un confinement radical à la Française. Les Pays-Bas, quant à eux, ont appliqué un minimum de mesures sanitaires obligatoires. Les chiffres publiés par l’OMS permettent de comparer l’efficacité sanitaire des mesures adoptées.

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  • Des méfaits de l’autocensure sur l’esprit public

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    Des méfaits de l'autocensure sur l'esprit public 1.jpegNombre de journalistes - y compris dans nos rangs - estiment que l’on peut se jouer des lois liberticides muselant l'expression d'opinions réputées incorrectes en recourant à des formules convenues. Mais même en semi-clandestinité, la plume reste toujours serve. En la matière, appeler un chat autrement pourrait curieusement aboutir à le prendre pour une souris.

    Dans un papier publié sur le site libéral contrepoints.org, Patrick Smets, président du Parti libertarien belge, défend l'idée fort intéressante de la demi-mesure impossible en matière de liberté d'expression. Pour lui, « en matière de liberté d'expression, comme de peine de mort, il n'existe pas de juste milieu », ajoutant qu'en ce domaine, « être "contre la censure sauf pour les opinions abjectes", c'est être pour la censure ! » (19 janvier 2015).

    La liberté d’expression est illimitée par nature

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  • La Cour des comptes chiffre le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros pour l’année 2019

    Dans son dernier rapport sur «l’entrée, le séjour et l’accueil des personnes étrangères» en France, la Cour des comptes chiffre le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros en 2019. On y apprend également que l’octroi des premiers titres de séjour a augmenté de 38% depuis les années Sarkozy. 276.576 titres de séjours ont été délivrés en 2019.

    Autre enseignement de ce rapport, la Cour des comptes vient de montrer que les deux procédures (onéreuses) d’expulsions de personnes en situation irrégulière, départs aidés ou forcés, ont un résultat médiocre. Il n’y a que 15 % de reconduites à la frontière. La cour a repris les chiffres de 2018 et obtient le ratio de 15 % (30 276 départs pour 132 978 mesures prononcées). Et la Haute autorité de résumer la situation : « Ces chiffres ancrent l’idée d’une politique de départ peu efficace. »

    Le Figaro / Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-cour-des-comptes-chiffre-le-cout-de-limmigration-a-66-milliards-deuros-pour-lannee-2019