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France et politique française - Page 1479

  • Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.

    Table des matières

    Résumé  : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir  pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française  analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique «  du développement d’oligarchies nouvelles  », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce «  pays légal  » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.

    Hégémonie du capitalisme financier

    Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.

    Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.

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  • Eric Zemmour agressé : les larmes de crocodile des censeurs

    Eric Zemmour agressé: les larmes de crocodile des censeurs

    Le 30 avril, Eric Zemmour a été violemment pris à partie par un passant qui a diffusé lui-même la vidéo sur les réseaux sociaux. Evidemment, cela n’a pas fait les gros titres. Mais le plus curieux est le soutien de la LICRA et d’autres idéologues de gauche et d’extrême gauche qui réclament régulièrement qu’on lui coupe le micro, qu’on l’éjecte des médias où il parle et, en définitive, qu’on le fasse taire – et qui paraissent choqués que quelqu’un qui les a un peu trop écoutés utilise des méthodes plus musclées pour obtenir le même résultat.

    Décidément, en France, la liberté d’expression est à géométrie variable…

    Mais peut-être l’explication est-elle dans les laborieuses “justifications” de l’agresseur : “ C’est impossible de parler avec lui, il est super fort, à part l’insulter sa mère vous voulez faire quoi ? ” Ecouter ses arguments peut-être ?"

    https://www.lesalonbeige.fr/eric-zemmour-agresse-les-larmes-de-crocodile-des-censeurs/

  • Sécession des “jeunes” des “quartiers”, par Aristide Renou.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    La partition du territoire français, où ont émergé et se sont consolidées des zones de non-droit, est confirmée par un article du Bondyblog, qui soutient la cause des « insurgés » [sic] de Villeneuve-la-Garenne.

    Le Bondyblog a fait paraître un article sur la colère raisonnée des habitants de Villeneuve-la-Garenne. Article très intéressant par ce qu’il révèle malgré lui. Le propos est celui que l’on peut attendre du Bondyblog et de Médiapart : tout cela n’est qu’une légitime révolte dans un « quartier populaire », provoquée par la brutalité policière. Et en même temps une révolte finalement très limitée et très responsable : presque rien n’a été détruit (quelques véhicules, des poubelles, ça ne compte pas). Bref, les « jeunes » sont admirables et ont simplement soif de justice.

    Mais l’article mentionne aussi que « une vingtaine de militants antifascistes sont venus prêter main-forte aux jeunes du coin. » On les repère très facilement, nous dit l’auteur de l’article : « ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue. » Bizarrement, la sauce ne prend pas avec les « jeunes » du quartier.

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  • Pourquoi la République est-elle un régime toujours né dans le sang ?

    Pourquoi la République est-elle un régime toujours né dans le sang ?.jpeg

    Des massacres de septembre au génocide des Vendéens, de la Terreur des années 1793-94 au massacre de juin 1848, la Commune de 1871, l’Épuration en 1944-45, la répression contre l'Algérie française en 1958-1962, l'avortement de masse, l'euthanasie, l'eugénisme transhumaniste, l'homosexualisme, le « genderisme », la GPA...

    Pourquoi la République, née dans le sang, s'est-elle toujours complue dans une anthropologie de la destruction-transformation de l'homme ?

    La République, fille de la Révolution de 1789

    Disons-le d'emblée, le goût propitiatoire de la République pour le sang, réside dans son caractère totalitaire. Le projet des révolutionnaires bourgeois était, dès l'origine, marqué par une ambition démesurée : renverser l'ordre ancien et lui en substituer un nouveau qui aurait acquis, dès l'instant où il serait posé, l'inébranlable, immédiate et similaire légitimité de son devancier. Assurément, le prix à payer, notamment en vies humaines, serait exorbitant, attendu que les révolutionnaires faisaient le pari fou et intenable de s'affranchir de la longue durée en prétendant faire jaillir du bon peuple une adhésion sans réserve à ce nouveau régime de « Liberté ».

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  • 1er mai 2020, Marine Le Pen dépose une gerbe aux pieds de la statue de sainte Jeanne d’Arc

    Le lifting “dédiabolisant” opéré par Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National, au parti fondé par son père Jean-Marie Le Pen, en faisant table rase en tout premier du nom de Front National, n’aura pas eu gain de cause sur toutes les traditions : l’hommage à Jeanne d’Arc, l’héroïne de la Patrie, demeure.

    Ainsi en ce 1er mai tout-à-fait particulier, dans un Paris vide, Marine Le Pen et le vice-président Jordan Bardella ont bravé le confinement pour venir déposer une gerbe aux pieds de la statue de la sainte, rue des Pyramides. Ils sont arrivés masqués et sans être accompagnés par les nombreux militants qui d’ordinaire se déplacent de la France entière pour honorer Jeanne.

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  • LES GRANDS EMMERDEMENTS DU CONFINEMENT

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    Cette fin de semaine, dans le cadre de notre grande enquête sur "l'après crise", nous vous proposons, en deux parties, la contribution de Pieter Kerstens.

    Depuis le lancement de la revue Synthèse nationale, à l'automne 2006, Pieter Kerstens tient la chronique économique et, généralement, ces articles annoncent avec précision ce qui va se passer... Alors, devin le Belge ? N'allons pas chercher midi à 14 h... Ses sources d'inspiration sont beaucoup plus simples. Polyglotte en bon Bruxellois qu'il est, il décortique chaque jour avec son regard critique de militant accompli les grands titres de la presse européenne. Ceux-ci étant beaucoup plus dissertes que notre presse hexagonale trop souvent alignée sur les poncifs de l'idéologie dominante.

    Ainsi, en septembre 2008, il avait annoncé la crise. Pour s'en convaincre, il suffit de consulter notre numéro du mois de juin précédent. Un livre reprenant ses articles de l'époque est toujours en vente aujourd'hui, vous pouvez vous le procurer en cliquant ici

    Voici donc la première partie de sa contribution. La seconde sera en ligne demain dimanche.

    S.N

    Pieter Kerstens

    Avec une parfaite synchronisation, la grande majorité des gouvernements occidentaux, et les européens en particulier, ont imposé un confinement (réelle assignation à résidence) à leurs peuples, sous prétexte de ralentir l’épidémie de Covid-19.

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  • Les maires critiquent le retour à l’école au moment du déconfinement

    A partir du 12 mai, les enfants pourront retourner à l’école maternelle et élémentaire partout en France. Mais les maires attendent encore des réponses précises de la part du gouvernement avant d’ouvrir les portes de leurs établissements. 

    […] Cette reprise de l’école soumise à des règles sanitaires strictes relève du défi pour les maires : nettoyage et mise aux normes des classes en un temps record, recrutement et formation de personnel communal ou encore gestion des transports scolaires et des repas sans connaître le nombre d’élèves. Dès le lendemain de l’allocution d’Edouard Philippe, les représentants des associations des maires se sont réunis avec le Premier ministre et d’autres membres du gouvernement pour avoir des précisions, en attendant avec « impatience » les textes réglementaires promis par le ministère de l’Education d’ici à la fin de la semaine.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-maires-critiquent-le-retour-a-lecole-au-moment-du-deconfinement

  • Fermeture de 14 réacteurs : un gâchis financier, humain et climatique, par Philippe Murer.

    Sources : https://www.causeur.fr/

    http://leblogdephilippemurer.com/

    Un décret du gouvernement du 23 avril, passé inaperçu dans cette période d’épidémie, grave dans le marbre la fermeture de 14 réacteurs nucléaires pour les 15 années à venir[1].

    Un terrible gâchis climatique, financier et humain.

    Ces 14 réacteurs représentent le quart du parc nucléaire français. Les centrales nucléaires, décriées par les écologistes, ont pourtant rendu un sacré service au climat en économisant depuis 40 ans de gigantesques quantités d’émission de CO2. Elles rendent aussi un service important à l’emploi et à l’économie française puisque la filière nucléaire emploie 250.000 personnes. Le gâchis financier qui résulterait de leur mise à la casse est lui aussi énorme, la construction des centrales françaises ayant coûté 96 milliards d’euros selon la Cour des Comptes.

    Mettre à la casse de telles unités de production d’électricité, avant leur fin programmée, est un gâchis : gâchis d’argent par dizaines de milliards d’euros, gâchis d’emplois bien rémunérés, gâchis dans la lutte contre le réchauffement climatique.

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  • Sur le site officiel de l'Action française, lâcheté et autoritarisme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.

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