Trois phénomènes récents et graves concourent à déposséder les Français de leurs villes.
D’une part, la progression électorale d’EELV dans les villes, conséquence de la gentrification, soit l’embourgeoisement urbain aux dépens des classes moyennes intermédiaires et inférieures. En d’autres termes, la « boboïsation ». Développement de l’écriture incluse (agglomération de Nantes, site « Oui » de la SNCF…), noms de rue donnés à des anciens combattants d’Afrique ou à des figures actuelles de l’antiracisme, chasse aux automobilistes : ces mesures mettent à la marge les Français « d’avant », commerçants, buralistes et artisans, forcément coupables d’avoir voté à droite ou de représenter le privilège blanc. Ils seront encore plus chassés des villes avec l’accueil croissant des immigrés clandestins, proposition qui fait partie du starter pack du marxisme culturel, carburant idéologique de la nouvelle gauche à vitrine écologiste.



Lorsque Macron évoque le « crime contre l'humanité » qu'aurait constitué la colonisation française en Algérie et demande pardon pour cela, son discours s'inscrit dans une réflexion idéologique de fond, véhiculée depuis quelques décennies par les marxistes culturels : la repentance pour le colonialisme et ses « crimes ».

