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France et politique française - Page 1536

  • Les maires critiquent le retour à l’école au moment du déconfinement

    A partir du 12 mai, les enfants pourront retourner à l’école maternelle et élémentaire partout en France. Mais les maires attendent encore des réponses précises de la part du gouvernement avant d’ouvrir les portes de leurs établissements. 

    […] Cette reprise de l’école soumise à des règles sanitaires strictes relève du défi pour les maires : nettoyage et mise aux normes des classes en un temps record, recrutement et formation de personnel communal ou encore gestion des transports scolaires et des repas sans connaître le nombre d’élèves. Dès le lendemain de l’allocution d’Edouard Philippe, les représentants des associations des maires se sont réunis avec le Premier ministre et d’autres membres du gouvernement pour avoir des précisions, en attendant avec « impatience » les textes réglementaires promis par le ministère de l’Education d’ici à la fin de la semaine.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-maires-critiquent-le-retour-a-lecole-au-moment-du-deconfinement

  • Fermeture de 14 réacteurs : un gâchis financier, humain et climatique, par Philippe Murer.

    Sources : https://www.causeur.fr/

    http://leblogdephilippemurer.com/

    Un décret du gouvernement du 23 avril, passé inaperçu dans cette période d’épidémie, grave dans le marbre la fermeture de 14 réacteurs nucléaires pour les 15 années à venir[1].

    Un terrible gâchis climatique, financier et humain.

    Ces 14 réacteurs représentent le quart du parc nucléaire français. Les centrales nucléaires, décriées par les écologistes, ont pourtant rendu un sacré service au climat en économisant depuis 40 ans de gigantesques quantités d’émission de CO2. Elles rendent aussi un service important à l’emploi et à l’économie française puisque la filière nucléaire emploie 250.000 personnes. Le gâchis financier qui résulterait de leur mise à la casse est lui aussi énorme, la construction des centrales françaises ayant coûté 96 milliards d’euros selon la Cour des Comptes.

    Mettre à la casse de telles unités de production d’électricité, avant leur fin programmée, est un gâchis : gâchis d’argent par dizaines de milliards d’euros, gâchis d’emplois bien rémunérés, gâchis dans la lutte contre le réchauffement climatique.

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  • Sur le site officiel de l'Action française, lâcheté et autoritarisme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.

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  • En France, guerre ethnique entre africains et tchétchènes !

    Guerre ethnique dans l’Aube ! Une cinquantaine de tchétchènes a fait irruption dans la nuit de vendredi à samedi dans un centre d’accueil de migrants à Barbey Saint Sulpice à trois kilomètres de Troyes.
    Leur cible ? Les clandestins africains abrités dans les locaux ! Pour un témoin oculaire, dans ce cas un agent de sécurité, les individus étaient “venus pour tuer” les pensionnaires du foyer.

    Selon un média local, la cinquantaine de tchétchènes était armée de barres de fer, de battes ou encore de crosses et de bâtons.

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  • Le report du déconfinement est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire

    Le report du déconfinement est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire

    Lettre d’un lecteur à Emmanuel Macron à propos du déconfinement:

    Monsieur le Président,

    Le report du déconfinement des offices religieux au 2 juin au moins est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire pour les Français attachés à une religion, en particulier les catholiques, adeptes de la religion ancestrale de notre pays.

    Ce report est incompréhensible car, à partir du 11 mai, les Français pourront librement, le cas échéant dans le respect de certaines règles sanitaires, aller dans les commerces, visiter les musées, prendre les transports, aller dans leur établissement scolaire, aller travailler etc … mais pas aller à l’Eglise assister à la messe. Je note d’ailleurs que, pendant la période de déconfinement, les églises sont ouvertes … mais l’attestation sur l’honneur gouvernementale ne prévoit aucun motif pour s’y rendre …

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  • Gilles-William Goldnadel : « L’agresseur d’Éric Zemmour a un sentiment total d’impunité »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression (insultes, crachat) dont a été victime Éric Zemmour, ce 30 avril, en pleine rue, agression diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter.

    Il dénonce l’absence de réaction de la plupart des médias et de Christophe Castaner, et le sentiment d’impunité de « la racaille ».

    Une vidéo tirée du réseau social Snapchat est sortie, hier, sur Twitter. On y voit une personne poursuivre, insulter et d’après ses mots avoir craché sur Éric Zemmour. Cette agression passe pour l’instant relativement inaperçue. Que vous a inspiré cette vidéo ?

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  • Covid-19 : “Sur les tests, tout le monde ment, on ne pourra pas en faire 700 000”, affirme le Pr Froguel

    Ce jeudi soir, vous avez écrit sur Twitter que trop de choses fausses « officielles » sont dites au cours de cette crise par le gouvernement : lesquelles ?

    Beaucoup de choses me désespèrent. Exemple récent : la carte avec les départements en rouge ou en vert. Le gouvernement a parlé de trois critères. Finalement, il y en a qui a sauté. Et sur le premier (la circulation du virus), les données nous manquent forcément puisqu’on n’a pas fait assez de tests. Seul le critère sur la situation des services de réanimation est fiable.

    Par ailleurs, l’étude de l’Institut Pasteur nous dit que 4 millions de personnes ont été infectées. Mais en réalité, on ne sait pas. On n’a pas fait assez de tests. Cette modélisation n’est pas fiable. Dans cette crise, on a manqué de science. On n’a pas fait assez de statistiques. 

    France 3 Régions

    https://www.tvlibertes.com/actus/covid-19-sur-les-tests-tout-le-monde-ment-on-ne-pourra-pas-en-faire-700-000-affirme-le-pr-froguel

  • Gouvernement : la grande peur du 11 mai…

    Tribune libre de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici).

    « Le 11 mai sera une date à marquer au fer rouge dans l’histoire de notre pays.
    C’est ce jour précis que le déconfinement va commencer.
    C’est donc à ce moment là que la France va découvrir toute l’étendue des dégâts, mesurer l’impact de cette crise, apercevoir ce que sera le fameux monde d’après. Et le choc risque d’être rude… Faillites en série, pauvreté de masse vont exacerber les tensions.

    L’Obs révèle les craintes qui saisissent les proches du président Macron : l’un deux reconnait que « le confinement, c’est le moment doux, la suite sera pire. Pour l’instant, on a un ennemi commun qui nous rassemble, nous unit, mais quand la bulle va éclater ça sera terrible. » Et de préciser : « les fractures de la société vont être exacerbées, l’économie dévastée, la France dans une situation épouvantable« .

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  • La France confinée contre la France en gilet jaune, par Michel Geoffroy

    La révolte des Gilets jaunes a commencé en 2018. Celle de la France profonde qui ne voulait pas disparaître. Celle qui bravait tout pour se faire, croyait-elle, entendre de la France d’en haut.
    Mais en 2019, la France d’en haut n’a pas hésité à faire taire les Gilets jaunes à coups de matraque, d’yeux crevés et de poursuites judiciaires. La France du coronavirus lui a succédé en 2020. Ce n’est pas la même France, à l’évidence.

    La France confinée, c’est la France que préfère Emmanuel Macron : celle qui accepte tout, se soumet à tout, gobe tout et en redemande !

    La France cocue et contente

    La France confinée supporte plutôt bien le confinement sans précédent qu’on lui a imposé, c’est-à-dire la privation de ses libertés. Elle ne doit pas trop craindre pour son chiffre d’affaires ni pour ses économies. Et le soir elle fait sagement son jogging ou son vélo, comme on le lui a autorisé.

    La France confinée applaudit bien fort comme on le lui a dit, vers 20 heures, les personnels de santé.

    Quand on applaudit c’est qu’on est content.

    La France confinée est donc satisfaite des hôpitaux publics chers, mal gérés et tiers-mondisés. Elle se satisfait de ceux qui considèrent qu’il ne faut pas prendre en charge les personnes âgées parce qu’on n’a pas assez de moyens de réanimation. Elle applaudit ceux qui laissent mourir les seniors dans les EHPAD. Elle est contente de tous ces experts médicaux qui depuis deux mois disent à peu près tout et son contraire sans discontinuer et avec un aplomb magnifique, mais en blouse blanche, ce qui change tout. Elle est contente de l’absence de tests et de moyens de protection pour la population.

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  • 1er mai, fête du travail et de la concorde sociale.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Il existe deux manières de fêter le 1er mai ; deux approches antagonistes qui témoignent que pour certains la lutte des classes, même repeinte aux couleurs rouges, roses et arc-en-ciel de l'extrême gauche mondialiste, écolo et sociétale, restent une réalité tandis que pour d'autres la valeur Travail répond de la cohésion nationale.
    La première est celle de ceux qui s'inscrivent dans la très gauche ligne des organisations syndicales et politiques qui initièrent aux Etats-Unis d'abord, en France ensuite à partir de 1889 sous l'impulsion de la Deuxième Internationale, le 1er mai comme journée internationale des travailleurs destinée à activer les luttes et à célébrer les actions ouvrières et révolutionnaires. Ceux là, CGT et FO en tête, suivies de près par l'ensemble des structures du Système, feignent d'oublier que ce jour fut décidé férié par la loi du 24 avril 1941.

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