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France et politique française - Page 1585

  • Excès de communication officielle : “tout se vaut et rien ne vaut”

    Excès de communication officielle : “tout se vaut et rien ne vaut”

    Analyse intéressante du rapport entre l’autorité et sa concision d’un côté et de l’autre les logorrhées verbales des trop nombreux communicants officiels du gouvernement qui cherchent à noyer l’incompétence et l’inanité sous un torrents de paroles creuses :

    Tout peut se dire, et son contraire, sans que rien ne différencie le fondé de l’infondé. Donc tout se vaut et rien ne vaut. Qui croire ? À qui s’en remettre ? Où est la parole d’autorité ?

    Pas vraiment chez les autorités politiques. Ne tirons pas sur le pianiste, il faut bien improviser face à l’imprévisible. Mais les crises générales sont impudiques : elles déshabillent les rois et passent les sociétés aux rayons X, nous en montrant l’esprit. Soit un croissant décalage entre le dire et le faire, source de défiance et de suspicion. Nous sommes en guerre, nous dit-on, mais on cherche le général en chef, celui qui dit beaucoup en très peu de mots. Veni vidi vici. Sans remonter à César, souvenons-nous du Général, qui en quelques phrases, moins de trois minutes, pulvérise un coup d’État en Algérie, et plus tard, le psychodrame chaotique d’un long mois de Mai. Une phrase, un acte. Pas un mot de trop, et chaque mot à sa place. Comme la reine d’Angleterre, quatre minutes. Imperatoria brevitas. Autorité et brièveté sont synonymes. Un historien mettra demain en regard la dilution de la puissance publique, sur un demi-siècle, et le délayage des allocutions officielles. Moins ça peut, plus ça cause.

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    https://www.lesalonbeige.fr/exces-de-communication-officielle-tout-se-vaut-et-rien-ne-vaut/

  • Eric Zemmour : « Notre gouvernement nous punit, nous prive de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant » (Vidéo)

    Eric Zemmour sur CNEWS : « Notre liberté fondamentale, c’est d’aller et venir, et on en est privé. Même pendant les guerres, on n’était pas privé, d’aller et venir (..) Notre gouvernement nous prive, nous punit, de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant ».

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    https://www.tvlibertes.com/actus/eric-zemmour-notre-gouvernement-nous-punit-nous-prive-de-notre-liberte-individuelle-parce-quil-na-pas-ete-assez-prevoyant-video

  • Les animaux malades de la Dette

    6a00d8341c715453ef0240a4faebf4200d-320wiLa préoccupation concrète et quotidienne des Français, en cette période de confinement, se recroqueville d'abord sur leur situation personnelle. Éric Zemmour ajoute, au-delà de la dimension strictement matérielle : "Notre gouvernement nous punit et nous prive de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant. C'est le pouvoir qui devrait se sentir coupable."[1]

    Les enquêtes d'opinion confirment la montée d'un tel sentiment. Un sondage IFOP[2]indique qu'en un mois, le nombre de Français qui font confiance au pouvoir actuel pour faire face efficacement à la crise du coronavirus, est passé de 55 % le 20 mars, à 47 % le 2 avril tombant désormais à seulement 38 %.

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  • Confinement et banlieues : Castaner minimise les incidents mais craint le communautarisme tout en pointant… l’ultra-droite

    Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner  était auditionné ce jeudi par la mission d’information coronavirus de l’Assemblée nationale pour parler de “l’impact, de la gestion et des conséquences” de l’épidémie.

    Le ministre a minimisé les problèmes rencontrés dans les banlieues au sujet du confinement, reconnaissant quelques incivilités mais félicitant les banlieues pour leur attitude générale ! Un nouvel affront aux forces de l’ordre qui, sur le terrain, dans les “cités” aux mains des racailles, subissent les attaques de toutes parts et ont ordre de se replier.

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  • Le confinement est-il seulement sanitaire ?

     
    La France est devenue une prison à ciel ouvert.
    Le jogging est interdit en journée en maints endroits, tout comme marcher seul sur une plage, tandis que des randonneurs de montagne sont pourchassés par les hélicoptères de la gendarmerie.
    Partout s’observe une présence policière intraitable, interdisant même de passer d’un lieu de confinement à un autre, tandis que le portable pourrait devenir l’instrument d’un traçage impitoyable, tout cela dans un climat de psychose médiatique savamment entretenue.
    Ce confinement sanitaire toujours plus contraignant pourrait-il dissimuler une assignation à résidence plus politique ?
    De plus en plus de Français, stupéfaits par cette criminalisation sans précédent de la liberté individuelle, s’interrogent sur l’instrumentalisation possible d’une pandémie dont personne, cependant, ne nie la gravité ni la nécessité de s’en protéger, mais avec raison gardée.
    La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens.

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  • Les Français vont s'adresser au président !

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    Alors qu'apparemment le déconfinement n'est pas pour demain, on semble craindre déjà les luttes sociales qui le suivront. Laurent Berger a pris les devants puisqu'il juge "indécentes" les propositions du MEDEF (Le Figaro) et d'une partie du gouvernement laissant entendre qu'il faudra travailler plus, supprimer les jours fériés et annuler des RTT (Morandini).

    Il y a quelque chose dans la démocratie française qui est schizophrénique. Le président de la République va s'adresser aux Français ce lundi 13 avril à 20 heures 02 - pour nous laisser le temps d'applaudir le personnel soignant - et depuis cette annonce reportée du jeudi au lundi, on suppute, on imagine, on invente, on prévoit, en tout cas on attend avec impatience ce que le président va dire.

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  • La France des ploucs, par Aristide Renou.

    La France des ploucs, ceux qui roulent au diesel et qui fument des clopes. Heureusement que la France de ceux qui envoient des vidéos de leur quéquette à leur maîtresse est là pour prendre leur destin en main (sinon, où irait-on?)

    "Cette violence de la mondialisation sous parapluie européen, du reste, est une donnée qui n’est pas appréhendée par les élites françaises. Pour elles, l’ouverture des frontières européennes, la libéralisation des échanges, la fin des monopoles, la banalisation de la langue anglaise, l’avènement de l’euro, l’arrivée de la main-d’œuvre immigrée à bas coût, le règne d’un droit abstrait et impersonnel, l’envolée des prix de l’immobilier des métropoles (là où elles possèdent leurs biens), la transformation brutale des modes de vie, tout cela est perçu comme autant d’opportunités nouvelles.

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  • Islamisation de la société occidentale : le coronavirus un allié de poids de l’islam conquérant

    Tandis que dans la majorité des églises du monde entier, celles de Rome y compris, les célébrations de la messe dominicale et de la liturgie du temps le plus sacré des catholiques, la Semaine Sainte, sont interdites en présence de fidèles, les appels à la prière musulmane, l’adhan, retentissent de soir en soir dans les rues de France, d’Allemagne, d’Espagne…

    Un choc religieux, un inversement des « cultures », qui en disent long sur la soumission des autorités religieuses et politiques à la dictature sanitaire et à l’islam conquérant : les clochers se taisent et les minarets pontifient !

    La crise du coronavirus rime donc en occident, non seulement avec ‘culture de mort‘ mais aussi avec ‘islamisation de la société’. Mais ces deux nihilismes, ne nous y trompons pas, sont en réalité les deux facettes d’une seule et même médaille : l’idéologie mondialiste destructrice des société et civilisation chrétiennes. 

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  • Coronavirus : la « bombe sanitaire » des camps de migrants

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    On sait que la distanciation sociale est un élément fondamental pour éviter la contagion. Déjà difficile à envisager dans des communautés telles que les EHPAD – surtout quand on nous expliquait, fin janvier, qu’en France, « les risques de propagation du coronavirus sont très faibles » (Buzyn) -, il est des lieux où éviter la promiscuité est tout simplement irréalisable : les foyers de migrants.

    Dans un article du Monde dépeignant, dans un département à contourner si vous arrivez de Roissy, un hangar-squat de 700 m2 où 270 sans-papiers se partagent 110 lits superposés à touche-touche avec une seule douche, un « collectif de soutien » alerte sur cette « bombe sanitaire à désamorcer d’urgence ». Et elle n’est pas la seule : il y a treize foyers dans la ville…

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