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France et politique française - Page 1613

  • PMA/GPA : les autoproclamés "progressistes" sont en réalité des "régréssistes"...

    Zemmour a tout résumé et tout dit en un mot : de la Famille à la Nation, le projet ultime de ceux qui se sont emparés du mot "progressisme" est simple : déraciner l'homme de ses attaches originelles.

    Le grand déracinement de "tout", voilà le combat des pseudos "progressistes" qui oeuvrent donc en réalité pour une terrifiante régression généralisée.

    Et tout ceux qui s'opposent à cela - dont nous... - sont en réalité les vrais progressistes...


    De Simone Weil :

    "L'enracinement est peut-être le besoin le plus important et le plus méconnu de l'âme humaine. C'est un des plus difficiles à définir. Un être humain a une racine par sa participation réelle, active et naturelle à l'existence d'une collectivité qui conserve vivants certains trésors du passé et certains pressentiments d'avenir. Participation naturelle, c'est-à-dire amenée automatiquement par le lieu, la naissance, la profession, l'entourage. Chaque être humain a besoin d'avoir de multiples racines. Il a besoin de recevoir la presque totalité de sa vie morale, intellectuelle, spirituelle, par l'intermédiaire des milieux dont il fait naturellement partie." 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Jean Daniel aux Invalides : l’incroyable indécence…

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    Par Alain Sanders

    Les jours derniers, Macron aura eu l’occasion de faire étalage de ses sympathies idéologiques et plus à l’égard de trois disparus qui auraient plutôt mérité qu’on les enterrât sans en faire des tonnes.

    Ainsi en va-t-il de Michel Charasse que Macron tutoyait et qu’il prit soin de décorer avant le passage de la camarde. On ne s’arrêtera pas longtemps sur ce franc-mac à la Belphégor, fanatique au point de se faire une gloriole de ne jamais mettre un doigt de pied, quelle que soit la circonstance, dans une église (et parfois de façon ostentatoire comme lors de la messe pour Mitterrand). Ainsi en va-t-il de Hervé Bourges, porte-coton de Ben Bella, qui en pinçait tellement pour l’Algérie fellouze qu’il en demanda la nationalité. Avant de revenir en France, la queue entre les jambes, mais le verbe haut, quand les choses tournèrent mal pour ses amis politiques algériens. Il avait choisi les fells contre la France ? On fit de lui le souverain pontife de la secte télévisuelle.

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  • « Le kéké de la République » rhabillé pour l’hiver par son propre frère

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    Le titre Le Kéké de la République est sans doute l’élément le plus sulfureux du livre consacré à . Sa vie, son œuvre, ses bars, ses parties de poker avec des malfrats du sud de la France avaient déjà fait l’objet de nombreux articles et commentaires. Outre cet épisode Tony Montana de Manosque, l’homme serait très soucieux de sa communication et de son image… « Ah je ris de me voir si beau en ce journal. » Formé aux techniques médiatiques par Laurent Fontaine, du tandem Bataille et Fontaine. Une référence en matière de rideau. « Y a que la vérité qui compte », l’émission tarte à la crème des années 2000, allait voir l’un de ses animateurs se reconvertir en gourou médiatique du futur ministre de l’Intérieur.

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  • À Angers comme à Anvers, le soutien à la résistance grec s'organise

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    Angers, affichage de nos camarades de l'Alvarium.

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    Anvers, manif du Vlams belang devant le consulat turc...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Coronavirus : les supermarchés pris d’assaut, la grande distribution bondit en Bourse

    Tout a commencé vendredi dernier, cela s’est considérablement accéléré samedi.
    Lundi soir, les supermarchés, partout en Europe et même aux Etats-Unis, avaient été dévalisés en particulier les rayons des produits de première nécessité.
    Alors on entend de tout.
    « ‘Ha les imbéciles ».
    « Il ne faut pas avoir peur »… sans oublier le « c’est pas pire qu’une grippette ».
    Je vous rappelle l’adage rural … c’est à la fin de la foire que l’on compte les bouses.
    Bref, moi quand je vois les gens faire des réserves cela me comble d’aise.
    Je me dis, que plus nombreux seront les résilients plus nous seront collectivement résilients, robustes et solides dans la tempête.
    Je remarque aussi que si les gens font massivement des provisions, cela se fait en bon ordre, sans émeute, et de façon nettement plus calme que les black friday et autres moments d’hyperconsommation qui, eux, sont encensés.

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  • La République du 49.3., par Jean-Philippe Chauvin.

    1625963078.jpgAinsi, nous y sommes : le premier ministre qui, en d’autres temps (ceux de son opposition au pouvoir hollandiste), dénonçait le recours gouvernemental à l’article 49.3, en use à son tour, non pour faire taire une quelconque contestation au cœur de sa majorité parlementaire (ce qui, en somme, était l’argument rituel d’usage de ce fameux article), mais pour contourner les débats parlementaires et, surtout, abréger le temps qui leur était nécessaire, selon les us et coutumes de la démocratie représentative. Le gouvernement n’a jamais caché qu’il entendait en finir avec la première lecture de la réforme des retraites avant les élections municipales qui, si l’on en croit les études d’opinion, s’annoncent piteuses pour le parti présidentiel : et la cause est entendue, à défaut que ce soit les syndicats ou les professions organisées comme celle des avocats, plus que sceptiques à l’égard d’une loi spoliatrice de leur caisse autonome de retraites, véritable « patrimoine corporatif ».

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  • Zones de non-droit : « la menace d’embrasement est encore plus forte »

    Ancien préfet et Directeur pour l’intégration, Michel Aubouin a travaillé au cœur de l’Etat. Pendant 40 ans, il a vu petit à petit des quartiers entiers rompre avec la République.

    Près de 10% de la population française vit aujourd’hui dans de telles enclaves. Michel Aubouin a quitté ses fonctions pour dénoncer cette situation. L’équilibre national est au bord de la rupture, dit-il. Un entretien choc.

  • Marchons Enfants encore devant l’Elysée : les Résistants à l’idéologie du genre et à l’idéologie transhumaniste qui ont pris la suite du communisme !

    Marchons Enfants encore devant l’Elysée : les Résistants à l’idéologie du genre et à l’idéologie transhumaniste qui ont pris la suite du communisme !

    Hier soir, les défenseurs de la famille et de la filiation étaient encore devant l’Elysée pour demander le retrait du projet de loi ni bio ni éthique :

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  • Sur le site officiel de l'Action française, l’éditorial de François Marcilhac.

    «  La Confédération générale du Travail est, elle-même, cause seconde et non cause première  ; elle emploie toutes les armes qu’elle possède pour se défendre, mais l’agression ne vient pas d’elle.

    L’agresseur, le coupable, le responsable, c’est le gouvernement de M. Clemenceau  ; avec lui et derrière lui, le régime démocratique, le régime républicain. Vérité que l’ouvrier parisien comprend désormais. La pendaison de Marianne devant la Bourse du travail est l’acte le plus significatif de notre histoire depuis le 14 juillet 1789. Bourgeois conservateurs, le comprendrez-vous ?  

    Voilà ce qu’écrivait Maurras dans L’Action Française du 4 août 1908, en réaction aux émeutes ouvrières de Draveil et de Vigneux et à la répression sanglante de Clemenceau, qui fit arrêter, dès le 1er août, des responsables de la CGT. Puis, commentant le fait que le président du Conseil, toutefois, ne prononce pas la dissolution du syndicat incriminé, il poursuit dans L’AF du 11 août suivant : «  M. Clemenceau ne dissout pas la Confédération parce que cet organisme prolétarien qui lui cause aujourd’hui une gêne cruelle, il compte bien l’utiliser dès qu’il sera sûr de l’avoir en main. […] Convenons-en. C’est la solution éternelle. Transformer les braconniers en gardes-chasses, métamorphoser les chemineaux en soldats, les bandits en soutiens de l’ordre est un des a b c de la politique. Seulement, ici, l’ordre à soutenir est un ordre démocratique et républicain.  »

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  • Sur Infos Toulouse, Marianne pendue : l’Action française s’explique.

    Une action matinale qui a enflammé la classe politique toulousaine toute la journée. En cause, l’exécution symbolique de l’effigie de Marianne, et plus généralement du régime républicain. Face à la polémique, l’Action Française sort du silence. 

    Il y a des symboles auxquels il ne vaut mieux pas toucher. C’est le cas de Marianne, symbole de la République française qui a été symboliquement condamnée à mort par une poignée de militants royalistes, samedi 29 février sur le Pont-Neuf à Toulouse. Une action coup de poing qui a déclenché l’ire de toute la classe politique toulousaine, de l’ensemble des candidats aux élections municipales et même du président du département. Le porte-parole local de l’Action Française, Nicolas Viau s’explique dans nos colonnes.

    Infos-Toulouse : En quoi consistait votre action ?
    Nicolas Viau : Samedi 29 février à l’aube, nous sommes allés au Pont-Neuf de Toulouse pour pendre une effigie de Marianne sous l’arche principale. Nous avons lu un acte d’accusation du régime républicain et nous avons accompagné la pendaison de quelques slogans et fumigènes.
    L’action a fait l’objet d’un clip.

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