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France et politique française - Page 1614

  • Orgueil de l’homme moderne

    « On n’est plus au Moyen-Âge ! » c’est ce que l’on entend quelquefois émettre par d’orgueilleux ignares persuadés que civilisationnellement notre temps est bien supérieur à celui de Saint Louis, de Saint Thomas d’Aquin et des bâtisseurs de Notre-Dame, assimilé à une période obscurantiste et barbare. Comme si, pour ce qui est de la barbarie, notre monde n’en avait pas atteint les sommets ! Et voici que, malgré toutes les avancées des sciences et des recherches dans tant de domaines, un méchant virus, se propageant sur tous les continents, vient donner une grande gifle à l’orgueil de l’homme moderne.

    En première analyse, les dégâts meurtriers du corona ne semblent pas être dans l’ordre de la rançon du progrès comme l’explosion de Fukushima ou nombre de maladies. Néanmoins, d’ores et déjà, bien des questions se posent sur l’irruption de ce virus.

    L’explication par le fait que des animaux vendus sur les marchés chinois, ou encore d’autres espèces, en aient été porteurs et transmetteurs, n’est qu’une hypothèse. Peut-être trop commode. Non, la pandémie ne vient pas forcément du gentil panda. Je n’ai pas été sans noter que le dictateur Xi Jinping, honoré comme un Mao vivant, a émis quelques curieuses phrases sur la nécessité de renforcer la sécurité et la surveillance des laboratoires de recherche bactériologique. Ces laboratoires sont souvent militaires. Cela n’induit pas nécessairement que le méchant corona se serait échappé de l’un d’entre eux.

    Mais à voir les ravages déjà causés par le corona, on ne peut qu’être effrayé par ceux qu’engendreraient quelques autres virus cultivés dans les centres de fabrications de ce que l’on désigne dans le langage militaire comme des « A.B.C » (Armes bactériologiques et chimiques). Aussi terrifiantes par leurs effets que les bombes nucléaires, elles constituent les gisements les plus exterminateurs pour les terrorismes et d’emploi plus facile.

    Comme on le voit, en effet on n’arrête pas le progrès…

    http://www.bernard-antony.com/2020/03/orgueil-de-lhomme-moderne.html

  • Sur C News, Charlotte d'Ornellas corrige Gérard Leclerc sur les frontières (Coronavirus).

  • La loi « urgence coronavirus » va revenir sur certains acquis sociaux, comme les congés payés ou les 35 heures, et ce sans date limite prévue

    Selon le journal Marianne, le gouvernement a réaffirmé devant le Sénat sa volonté de revenir sur certains acquis sociaux dans sa loi « urgence coronavirus », comme par exemple les congés payés ou les 35 heures. Des mesures qui devraient être « provisoires », sauf qu’aucune date limite n’est prévue dans le texte.

    Les congés payés revus à la baisse ?

    Le projet de loi dit d’adaptation à la crise du coronavirus prévoit notamment la possibilité pour le gouvernement de prendre des ordonnances ayant valeur de droit dans le domaine du droit du travail, afin de « modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés, des jours de réduction du temps de travail« . A priori, il sera également possible de revoir à la baisse le nombre de congés payés acquis par mois, aujourd’hui de 2,5.

    La fin des 35h dans certains secteurs ?

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  • Le député Laetitia Avia, censeur d’internet, veut forcer son attachée parlementaire à enfreindre le confinement

    Laetitia Avia est ce député africain chargé d’organiser la censure complète d’internet pour le compte du Régime. Elle s’était auparavant fait connaître par un comportement frisant le cannibalisme.

    « Restez chez vous et recourez au télé-travail ». La consigne du gouvernement est plutôt claire.

    « Or, selon des informations de Libération mercredi, une élue ne donnerait pas vraiment l’exemple. Il s’agit de Laetitia Avia, députée LREM de Paris. Cette dernière insisterait pour que son attachée parlementaire, pourtant confinée dans sa maison secondaire dans le Gard, revienne dans la capitale.

    «Cette collègue est en vacances depuis le 7 mars dans le Gard et sa députée veut depuis lundi soir (soit après l’allocution d’Emmanuel Macron, ndlr) qu’elle rentre à Paris. Ce qu’elle a clairement refusé pour faire prévaloir sa santé. Cela n’a aucun sens», a déploré Laurence de Saint-Sernin, la secrétaire générale du syndicat Solidaires de l’Assemblée nationale, alertée mardi. Détail notable : l’attachée parlementaire est atteinte d’une maladie auto-immune, ce qui l’expose davantage au risque de contamination du coronavirus. Pour la secrétaire générale du syndicat Solidaires, Laetitia Avia «met en danger sa collaboratrice, prend le risque de propager l’épidémie et ignore les règles liées au confinement de la population». Selon Libération, la députée LREM aurait même proposé de demander au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de mettre des moyens en œuvre pour assurer le retour de son assistante. […] » (source Le Figaro)

    http://www.contre-info.com/le-depute-laetitia-avia-censeur-dinternet-veut-forcer-son-attachee-parlementaire-a-enfreindre-le-confinement#more-61560

  • Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

    Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpitaux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100 000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

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  • Quel confinement dans les « quartiers » ?

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    Le propre des crises comme celle que nous tentons de traverser est de révéler des vérités qu’on aimerait bien tenir cachées. Des vérités qui montrent combien notre « vernis civilisationnel » est peu épais, prêt à craquer à la moindre contrainte dans notre temps où l’égoïsme est roi.

    Vérité des États et des peuples aussi, pour autant que cette mondialisation qui nous saute « viralement » à la gorge laisse encore s’exprimer un peu les mentalités profondes qui nous façonnent.

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  • Covid-19 : soupçons sur un mensonge d’Etat, par Ivan Rioufol

    Agnès Buzyn a menti. Envahie par le remords, elle le reconnait à ma consoeur Ariane Chemin, dans Le Monde daté de ce mercredi. Alors qu’elle était encore ministre de la Santé, elle avoue qu’elle n’aurait pas dû dire, le 24 janvier, parlant du coronavirus apparu en Chine : “Le risque d’importation de cas depuis Wuhan (…) est maintenant pratiquement nul (…) Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible“. Disant cela, Agnès Buzyn savait qu’elle trompait l’opinion. Aujourd’hui, elle explique en effet :

    Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine. Le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumonies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections (municipales) ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein.

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  • HAUTE TRAHISON !

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    Michel Onfray cliquez ici

    Buzyn, sa vie, son œuvre
    En publiant un article (le 17 mars 2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir !
    Or, les Français ne sont pas débiles : ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.
    Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière : "Je me demande ce que je vais faire de ma vie."  Ensuite, le plat de résistance : "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste : "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ?" Pauvre petite fille riche...
    Détaillons...

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  • Sur Sud Radio, André Bercoff : "Certains devront rendre des comptes" (État de l'hôpital public).