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France et politique française - Page 1647

  • Éoliennes et massacre de nos paysages : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    Éoliennes et massacre de nos paysages  : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    L’essayiste Grégory Roose a publié une tribune dans Valeurs actuelles pour dénoncer les éoliennes et le massacre de nos paysages. Extraits :

    Alors que le gouvernement vient de décider de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, les Français ne cachent plus leur agacement envers ces installations industrielles dont l’imposante verticalité brouille l’harmonie visuelle des campagnes et des bords de mer (…) Notre patrimoine paysager est la première victime de cette « lutte contre le réchauffement climatique » qui se trompe d’adversaire. L’enlaidissement des villes n’aura pas servi à éviter celui des campagnes (…) Après le temps de l’urbanisation sauvage, vient celui de l’écologisation organisée, c’est-à-dire du massacre planifié des paysages légitimé par la sacro-sainte « lutte contre le réchauffement climatique » (…)

    Contrairement aux idées émises, elles ne contribuent presque pas à réduire les gaz à effet de serre, et donc le réchauffement climatique, dans une France qui consomme déjà près de 85 % d’électricité décarbonnée grâce aux centrales nucléaires et à l’hydraulique. Par pur dogmatisme, le Gouvernement veut continuer à tartiner la France d’éoliennes pour réduire la part du nucléaire à l’horizon 2035. Mais pour couvrir les besoins énergétiques de la France, il faudrait des centaines de milliers d’éoliennes implantées sur des millions d’hectares. Avec 8.000 éoliennes en service en 2019, la France a déjà dépassé le seuil de tolérance. Dans ces conditions, pourquoi encourager ce viol esthétique de nos paysages, partie intégrante du patrimoine identitaire de la France ?(…)

    L’implantation d’éoliennes répond à une puissante idéologie « anti-nucléaire » (…) En imposant l’éolien, le lobby écolo « anti-nucléaire » prétend à tort réduire le réchauffement climatique et s’arroge par conséquent le droit d’infliger aux Français de nombreuses atteintes à l’environnement : dégradation du cadre de vie, augmentation de la mortalité des oiseaux, extraction d’acier et de métaux rares, bétonnage intensif de bonnes terres agricoles.

    Pour illustrer l’hypocrisie des écolos-gauchistes, la situation du village de Saint-Pierre de Colombier en Ardèche est assez parlante. Une poignée d’écolo-gauchistes s’oppose au projet de la Famille Missionnaire de Notre-Dame de construire au nouvelle église dans le village (voir ici). Les arguments les plus fallacieuxainsi que la diffusion de fake news sont bons à utiliser au nom de l’écologie alors que le combat est en réalité un combat anti-chrétien (voir iciici et ici). Le slogan principal de ces opposants écolos-gauchistes est “Stop béton“.

    Or, l’Ardèche a inauguré en 2017 le plus gros parc éolien de la région :

    Le nouveau parc éolien de la montagne ardéchoise s’étend sur six communes du plateau ardéchois. 29 éoliennes sont réparties sur ce vaste territoire. L’ensemble délivre une puissance de 73,5 mégawatts, ce qui équivaut à la consommation électrique annuelle de 80 000 habitants. C’est le plus gros parc éolien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et avec lui, le département de l’Ardèche devient le premier département de la région en matière d’énergie renouvelable (…) Il aura fallu 10 ans pour sortir de terre ces machines aux allures de danseuses hautes de 85 mètres.

    Or, il se trouve qu’il faut énormément de béton pour construire des éoliennes (environ 1 200 tonnes) et que ce béton ne sera jamais recyclé à la fin de fin de l’éolienne. Et là, silence complet des écolos-gauchistes :

    Ces éoliennes seront dotées de mâts hauts de 85 m, supporteront des pales de 41 m de long. Un gigantisme qui induit des efforts importants sur socles béton (massifs poids), ces derniers reprenant toutes les charges de l’éolienne (…) Chaque socle consomme 425 m3 de béton. Plus de quarante tonnes d’acier sont utilisées pour chaque socle.

    Pour soutenir le projet de la famille Missionnaire de Colombier, un site dédié est accessible.

  • « Violence inédite » en France : Brune Poirson a raison…

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    Elle a mille fois raison, « Vous avez vu l’état de la violence politique, dans ce pays ? Il y a une perte totale de repères ; de la part de beaucoup de responsables politiques. Les mots n’ont plus de sens pour beaucoup de responsables politiques en France. Aujourd’hui, il y a des députés de La République en marche qui, chaque semaine, se font attaquer, verbalement mais aussi physiquement… On vit une période de violence qui est inédite sous la Ve République. » La secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique parle d’or.

    Interviewée, mercredi matin, sur Radio Classique, elle n’a pas de mots assez durs pour les députés de La France insoumise, qu’elle qualifie d’« enfants pourris gâtés de la démocratie ». On pourrait écrire tout un livre sur ces quelques phrases tenant dans cinq lignes. « Les mots n’ont plus de sens ? » Prenez Emmanuel Macron. Au hasard. Nous sommes en septembre 2018, sur le Vieux-Port de Marseille. Rencontre fortuite (?) du Président avec Mélenchon. Un journaliste pose cette question : « Votre adversaire, c’est plus le Front national que lui-même [Mélenchon], finalement ? » Réponse d’Emmanuel Macron : « Ah, j’ai aucun doute… On a des confrontations politiques, mais ce [Mélenchon] n’est pas mon ennemi. » Sous-entendu, le Front national est mon ennemi. Les mots ont un sens. On croyait que l’ennemi, c’était Daech.

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  • Communautarisme: pris à partie, Emmanuel Macron vante la reconquête républicaine

    En visite à Mulhouse pour ouvrir la séquence de lutte contre le « séparatisme », le président a surtout tenté de convaincre des bienfaits de la reconquête républicaine.

    « Monsieur le Président, vous venez parler de communautarisme dans notre ville, mais nous, les jeunes, n’avons même pas été consultés ! » En déplacement à Mulhouse, ce mardi 18 février, c’est finalement par un bain de foule qu’Emmanuel Macron a décidé d’ouvrir la tant attendue séquence de lutte contre le communautarisme, ou plus exactement, contre le « séparatisme », selon sa nouvelle expression.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/communautarisme-pris-a-partie-emmanuel-macron-vante-la-reconquete-republicaine

  • Jordan Bardella : “Le CCIF est le cheval de troie de l’islamisme en France”

    Voici un extrait tiré de l’émission “19H Ruth Elkrief” (BFMTV) du 11 février 2020.

    Dans un débat intitulé “La France est-elle menacée par le séparatisme ?”, Jordan Bardella y déclare notamment : “Le CCIF est le cheval de troie de l’islamisme en France”.

  • Twitter a brièvement suspendu le compte du Syndicat des avocats de Franc

    Sur le réseau social, ce syndicat très actif dans le mouvement de grève des avocats avait ciblé les comptes Twitter de députés LREM.

    Les avocats sont entrés lundi dans leur 7e semaine de grève, au moment où l’examen du projet de réforme des retraites débutait à l’Assemblée. Si quelques barreaux ont quitté le mouvement, la mobilisation s’est intensifiée. Mais mardi, une nouvelle pourrait accentuer la colère de la profession qui lutte pour faire valoir ses droits.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/twitter-a-brievement-suspendu-le-compte-du-syndicat-des-avocats-de-france

  • Marine le Pen ne veut toujours pas entendre parler d’union des droites

    Marine le Pen ne veut toujours pas entendre parler d’union des droites

    Ce n’est pas parce que Marine Le Pen est venue soutenir le candidat ex-LR de Sète (Sébastien Pacull, ancien responsable Les Républicains de l’Hérault) dont les affiches le présentent comme le candidat de l’union des droites…que Marine Le Pen s’est convertie à l’union des droites. Certains s’étaient un peu emballés à le croire et avaient souligné une “révolution culturelle“.

    Il n’en est malheureusement rien comme le souligne, avec regret, Guillaume Bernard pour Boulevard Voltaire et pour Atlantico. Extraits :

    Quand j’ai vu tomber l’information samedi, en fin d’après-midi, j’ai pensé à une forme de pragmatisme de sa part. Le RN a des difficultés à constituer des listes parce qu’il est dans une situation un peu ambivalente. Il est à la fois l’un des principaux partis français, si on regarde les suffrages ; pourtant, il a très peu de militants, très peu d’élus et très peu de collaborateurs pouvant constituer les listes. Selon moi, par pragmatisme plus que par conviction, Marine Le Pen acceptait l’idée qu’il fallait essayer de trouver des alliés, et non pas absolument faire des ralliés ou des fusions-absorptions. Mais quelques heures après, elle a démenti avoir défendu l’idée de l’union des droites ou de l’unité de la droite. Par conséquent, il semble qu’elle s’enferme dans sa stratégie actuelle du ni droite ni gauche (…)

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  • La transparence est une exigence démocratique, par Christian Vanneste.

    Certains emploient parfois encore le mot de « libéral » pour définir politiquement Macron. C’est un contre-sens. Son engagement politique d’origine est socialiste. Il s’est clairement revendiqué de gauche, et pourrait ne se voir taxer de libéral qu’au sens américain du terme : c’est-à-dire progressiste, s’appuyant sur les minorités de tous genres, et social-démocrate si on s’en tient à son goût pour la dépense publique et l’endettement. Son prétendu « libéralisme » ne reposerait que sur son mondialisme associant la circulation des biens, des capitaux et des personnes et un grand relativisme en matière de moeurs.

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  • L’écologisme, ce faux-nez du mondialisme, par Ivan Rioufol

    L’écologisme, dans sa version macronienne, s’annonce comme une autre manière de promouvoir la mondialisation et le jeunisme, ces deux mamelles du progressisme asséché.

    Ce mercredi 12 février, le chef de l’Etat entend lancer son “tournant vert” aux allures de faux-nez. Emmanuel Macron doit faire oublier la démission de son ministre dépité, Nicolas Hulot, il y a un an et demi. Le président veut surtout sortir de la tempête qu’il a créée sur les retraites, afin de flatter plus sereinement l’idéologie universaliste qui structure sa démarche. Après avoir réuni ce matin son Conseil de défense écologique, il doit se rendre ce soir au pied du Mont Blanc. Reste que son soutien convenu à Greta Thunberg, l’enfant-robot qui prône “la grève de l’école pour le climat”, cautionne une vision politisée et extrémiste de la protection de la planète. Dans une tribune qu’elle a cosignée le 29 novembre 2019, Greta, 16 ans, explique la crise climatique par “les systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux (qui) l’ont créée et alimentée” ; des systèmes qu’elle et ses amis se proposent de “démanteler”. La mise à sac, lundi, des locaux parisiens du gestionnaire de fonds BlackRock par des militants écolos d’Extinction Rebellion est une manifestation supplémentaire du sectarisme de ce mouvement plus rouge que vert. Il désigne l’Occident, le capitalisme et le mâle blanc comme des ennemis. Le fondateur d’Extinction Rebellion, Roger Hallam, dont la section française a pu bloquer impunément la place du Chatelet à Paris durant cinq jours en octobre, a qualifié la Shoah, le 20 novembre, de “simple connerie de plus dans l’histoire humaine”. L’outrance a été pardonnée par les sermonnaires. Or c’est vers ce gauchisme frustre que penche Macron.

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