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France et politique française - Page 1788

  • Plusieurs milliers de patriotes se sont retrouvés samedi et dimanche à Rungis aux Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale

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    Le pari était audacieux mais il méritait d'être pris. Passer nos journées annuelles de un à deux jours, ressusciter un concept, les BBR, qui avait fait la force du Front national au moment de sa percée historique des années 1980 et 1990, réunir près de 30 orateurs, un meeting unitaire avec une intervention de Jean-Marie Le Pen, 80 stands, pratiquement toute la famille nationale pendant deux jours... sans oublier le côté festif avec quatre concerts et un banquet qui s'est terminé en soirée dansante. Tout cela n'était pas gagné.

    Et, finalement, nous avons réussi ! Samedi et dimanche, ce sont près de 3000 nationaux, nationalistes et identitaires qui se sont retrouvés, avec l'enthousiasme des grands jours, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale.

    Une nouvelle page de la grande épopée nationaliste et identitaire a été écrite, un nouvel élan a été donné... de tout cela nous reparlerons très rapidement sur ce site... Photos, films, reportages se succéderont pour mieux vous faire revivre ou découvrir ces très belles 13emes journées de Synthèse nationale...

    Lire Le Parisien de samedicliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La nation jacobine des programmes scolaires de 2019.

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    La France de l’an 2019 n’est plus celle de 1914 ni celle de 1945, ni même celle de Mai 68 : parfois, du coup, nous, Vieux Français, avons du mal à la reconnaître, bercés que nous étions par une histoire qui puisait ses racines dans une France d’Ancien Régime pas encore morte dans les tranchées de Verdun, qui trouvait sa respiration dans les paysages familiers et si divers de ce cher et vieux pays ayant survécu aux tourments des révolutions et des empires, et qui se reconnaissait dans toute une galerie de personnages, héros ou salauds, dont nous étions les héritiers parfois infidèles. Or, ce qui formait une sorte de terreau commun aux Français dans leur être propre et au-delà de leurs préférences, semble se déliter ou s’effacer devant la mondialisation et son revers, les identitarismes agressifs et exclusifs : évoquer les périodes lointaines qui ont fait l’histoire de France semble ne plus rien réveiller au cœur de nombre d’élèves ou d’étudiants, et le frisson qui pouvait nous traverser jadis au souvenir des épopées antiques ou médiévales (ah, Alexandre, Duguesclin, Jeanne…) a laissé la place à une indifférence polie ou une concentration studieuse purement scolaire devant des programmes qui manquent de ce souffle que l’on pourrait attendre de toute œuvre formatrice des intelligences et fondatrices des rêves du lendemain…

    Bien sûr, les nouveaux programmes d’histoire du lycée accordent visiblement plus de place à notre histoire nationale que les précédents, et le thème même de la nation prédomine dans l’étude de la Révolution française et de ses suites, jusqu’au grand cataclysme mondial de 14-18. Mais cela ressemble parfois plus à une autopsie qu’à la reconnaissance de la nation vivante au fil des siècles. Et la nation n’est guère évoquée autrement que sous sa définition et ses lourds oripeaux jacobins, négligeant son caractère pluriel d’avant 1789, un caractère qui a longtemps survécu à travers les langues de France, du breton au basque, et par les cultures locales qui n’étaient pas encore (dé)confites en folklores parfois bien artificiels. Cette réduction scolaire à une Nation idéologique, née des Lumières et codifiée sous la Révolution, explique alors que certains collègues enseignants se croient ainsi autorisés, excusés pourrait-on dire, à faire de 1789 la date de naissance d’une France qui ne serait plus qu’un cadre idéologique dans lequel la Nation servirait désormais de ciment mais aussi bientôt de clé de voûte en remplacement d’une dynastie violemment déposée en 1792 : l’identité nationale est née de la déconstruction de l’unité française qui, en perdant son incarnation royale, cherchait désormais à survivre en se figeant en un bloc « un et indivisible ».

    Le drame de notre société contemporaine naît sans doute dans les affres des déchirements et des illusions de la période révolutionnaire, celle qui court de la Bastille à Waterloo, et les programmes scolaires cherchent à redonner du sens à ce qui en a perdu aux yeux des jeunes générations habituées à une mondialisation intrusive et « ouverte » à tous les vents de la mode et de la « consommation de possession », sans remettre en cause (ni officiellement le permettre) la doxa « républicaine » qui, en jacobinisant la nation, en a fait un monstre idéologique, sans doute aujourd’hui apaisé mais toujours pesant. Le refus répété de la République de reconnaître l’existence d’une pluralité provinciale inscrite dans l’histoire de la « fondation française » se marque jusqu’à l’absence de l’évocation des résistances ou des particularités régionales, dans des programmes « centralistes » qui oublient que la diversité française est, d’abord, « intérieure » avant que d’être issue de « l’extérieur ».

    Que les jeunes générations actuelles connaissent quelques difficultés à saisir la richesse de l’héritage français peut ainsi aisément se comprendre quand le système éducatif officiel ne valorise que ce qui « doit être obéi » quand il faudrait que cela soit, d’abord, « la noble occasion du sentiment amoureux » : à quinze ans ou à vingt ans, une matière scolaire soumise à examen de contrôle ne suscite trop souvent que bachotage ou esprit de compétition, et non esprit de vie et, éventuellement, de sacrifice… Et la « nation enseignée et obligatoire » n’émeut guère quand la nation charnelle et sentimentale, intimement vécue, celle qui vibre sous nos pieds et nous rattache à des ancêtres lointains et si proches, parfois un peu légendaires et imaginaires, cette nation qui porte le nom de France avant que d’être une « idée », même « certaine », nous fait, par l’histoire et le rêve, ce que nous sommes, des Français issus d’une terre d’histoire, et fils d’histoires de terres et de terroirs

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1580:la-nation-jacobine-des-programmes-scolaires-de-2019&catid=53:2019&Itemid=64

  • Mickaël Harpon : un scandale d’État, par Jean Rouxel

    Le 3 octobre, un dénommé Mickaël Harpon, agent administratif à la Préfecture de police de Paris, a assassiné au couteau 4 de ses collègues avant d’être abattu.

    Malgré tous les cris d’orfraies sur le thème « padamalgam », il fut vite évident que l’assassin s’était converti à l’islam radical.

    Il fréquentait la mosquée de Gonesse – dont d’ailleurs l’ancien imam faisait l’objet, depuis 2015 (!) d’une obligation de quitter le territoire.

    Le plus ahurissant, dans cette histoire, est qu’un individu dangereux – dont les collègues avaient repéré d’inquiétants changements – ait pu continuer à avoir accès au cœur du renseignement policier français.

    On ignore aujourd’hui à quoi il a pu avoir accès, mais, potentiellement, il a pu connaître (et éventuellement transmettre à d’autres assassins) les données personnelles de nombreux agents des forces de l’ordre.

    Le laxisme et la peur panique d’être taxé d’« islamophobie » ont causé la mort de quatre personnes et entraîneront peut-être des conséquences encore plus graves dans l’avenir.

    Avec le dossier Harpon, nous disposons de tous les « dysfonctionnements » (comme dirait Christophe Castaner pour minimiser l’effarant scandale) possibles en matière de traitement de l’islam radical par les forces de l’ordre et de renseignement.

    Un homme connu comme dangereux a été laissé en place au cœur même du dispositif policier français.

    Le politiquement correct, l’inertie administrative, le laxisme se sont conjugués pour obtenir ce résultat effrayant.

    Le pire, c’est qu’aucune leçon ne semble jamais être tirée des catastrophes précédentes.

    Que l’on n’ait pas vu la dangerosité de l’islam radical en 1980 pouvait se comprendre. Qu’on fasse mine de l’ignorer au sommet de l’État en 2019 est proprement ahurissant. Je sais bien que l’on ne peut pas juridiquement s’en prendre à un simple suspect. Mais, précisément, il est urgent de changer la loi pour qu’il devienne impossible à un homme potentiellement dangereux d’exercer des missions régaliennes.

    Et il devient également nécessaire de préciser à quelles conditions les musulmans peuvent s’installer chez nous (on se souvient que les musulmans « modérés » ont choisi l’État islamique contre leurs voisins chrétiens en Irak et en Syrie. Pourquoi en irait-il autrement chez nous ?).

    Il n’est pas supportable que la seule réponse aux attentats, entre deux processions à la bougie et à l’ours en peluche, soit de dire sur tous les tons que « cela n’a rien à voir avec l’islam ».
    Oui, nous avons un problème – qu’il faut regarder en face – avec l’islam, idéologie totalitaire !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Agnès Buzyn et La Poste ne savent même plus parler français…

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    Les récriminations de l’ancien instituteur socialiste du village contre le massacre du français et la théorie des retraités « privilégiés ». Très instructif.

    https://www.bvoltaire.fr/agnes-buzyn-et-la-poste-ne-savent-meme-plus-parler-francais/

  • PROTECTION DE L’ISLAM CRIMINEL : LA STRATEGIE DU POUVOIR S’ECROULE (Suricate)

    Une des pires choses qui pouvait arriver à un journaliste, à un activiste de gauche, à une membre du gouvernement, au président de la République, aux associations pro-islamistes, c’est que la réalité leur saute à la figure. Depuis des jours ils ramaient comme des malades pour convaincre les Français de la vilenie d’Eric Zemmour et de l’innocence de l’islam dans le dernier attentat sanglant à la Préfecture de Police de Paris (PPP).
    En même temps, l’activiste élyséenne Sibeth Ndiaye tentait une fois de plus de dissuader les Français d’écouter ou de lire les ré-informateurs de l’opposition et de suivre religieusement les cafouillages et les mensonges de la presse officielle.
    Et voilà que le Parquet anti-terroriste déclare qu’il s’agit bien d’un attentat islamiste, très modèle Daesh (1) de surcroît, et avec préméditation.

    egorgement-300x196.jpgTrop d’indices concordants : le Parquet n’avait pas le choix

    Il y eut l’ineffable Castaner, ci-devant ministre de l’Intérieur, pour venir minimiser l’affaire devant les caméras, il doit aujourd’hui choisir de se défendre soit pour ses mensonges, soit pour son incompétence.

    Puis l’humoriste Sibeth Ndiaye fit son numéro habituel de haine anti blogs et sites de réinformation, grâce auxquels les médias peuvent enfin s’informer sur les faits et rectifier les fake news qu’ils ont publiées dans les premières heures.

    D’abord le Parquet anti-terrorisme décide de ne pas suivre la piste de l’acte terroriste. Des problèmes de Mickaël Harpon avec sa hiérarchie furent évoqués, un dépit amoureux, des problèmes psychiatriques… mais les indices s’accumulant : rapidité d’exécution, précision des coups mortels, égorgement, montrent, sinon un professionnel, au moins un homme bien entraîné. Ses liens avec la mosquée salafiste de Gonesse sont alors révélés, sa radicalisation remontant à une dizaine d’années. Le Parquet décide alors de requalifier le massacre de la PPP en acte terroriste avec préméditation.
    Il ne pouvait guère faire autrement : il ne faut pas prendre les policiers pour des imbéciles comme le fait la gauche.

    Comme je l’indiquais dans mon dernier article que Minurne a publié, il y a trop de signes montrant que le tueur, Mickaël Harpon, n’était pas un malheureux sourd-muet mais un homme entraîné à tuer vite et de manière à ce que ses victimes (cinq et non quatre) n’aient pas la possibilité de crier, de donner l’alerte, de résister comme des policiers aguerris comme le sont ceux de la préfecture. Or, le seul moyen d’obtenir ce résultat, c’est d’égorger, car même un coup direct au cœur n’empêche pas un cri, un râle, quelque chose qui alerte dans le bureau voisin.Et où apprend-t-on à égorger vite et bien ?

    Des prétendues mosquées où l’on apprend à tuer, il y en a plusieurs en France, soigneusement éparpillées dans tout le pays et quelques-unes en région parisienne. Il est difficile d’affirmer que la mosquée de la Fauconnière à Gonesse où résidait Mickaël Harpon en fait partie, mais de nombreux éléments plaident en ce sens.

    Le site internet de la mosquée de Gonesse en apprend beaucoup (4)

    En se rendant sur le site de cette mosquée, on voit que parmi les prêcheurs invités se trouve Youssef Baouendi, dirigeant le Bureau de l’organisation de la Ligue islamique Mondiale basé à Mantes-la-Jolie. L’imam de la mosquée de Gonesse, le marocain Hassan El Houari, est membre du Conseil théologique des musulmans de France, composé à sa grande majorité de prédicateurs de la mouvance Frères Musulmans. S’il invite Youssef Baouendi, ce n’est pas par hasard.

    Officiellement  « la LIM s’efforce de faire connaître la charia et de répandre l’enseignement islamique à travers la construction d’écoles et d’instituts musulmans, avec appuis et apports». Appuis et apports de qui ? Ce n’est pas dit. Et selon ses nouveaux statuts de 2016 la LIM « contribue à faire vivre le message de l’Islam, dans le sens qui est le sien : celui de l’équilibre et de la modération, combattre les mouvements qui prônent la violence, s’engagent dans le terrorisme, et pratiquent l’exclusion, pour construire un monde de paix, de justice, et de coexistence harmonieuse».
    Taqyya quand tu nous tiens !

    La Ligue a statut d’observateur (catégorie A) à l’ONU. Elle est accréditée par l’UNICEF. Elle a statut d’observateur à toutes les conférences de l’Organisation de la Conférence Islamique (Frères musulmans). Elle est membre fondateur de l’International Supreme Council for Dawah and Relief, une organisation islamiste radicale créée par l’Arabie saoudite.

    La LIM est considérée par les gouvernements européens comme une organisation gouvernementale internationale.

    En réalité, selon la Commission d’enquêtes judiciaires du Sénat américain, c’est une instance salafiste wahhabite  dont le siège est à La Mecque et qui dépend directement de l’État saoudien

    Elle prêche peut-être la paix et la coexistence harmonieuse, mais « en même temps », elle finance des mosquées et des mouvements islamistes extrémistes. C’est ce que Mohammed Sifaoui, appelle La Taqyya dans son dernier livre.

    Hassan el Houari invite aussi à la mosquée de Gonesse, à laquelle la municipalité socialiste vient de donner un terrain de 5000 m2 pour la remplacer par une grande mosquée, Ahmed Jaballah, ex président de l’UOIF et membre du Conseil européen de la fatwa (CEFR) et de l’Union internationale des savants musulmans (UISM, tous deux présidés par Yousef Al Qaradâwi, le guide spirituel des Frères Musulmans (2).
    Sans oublier Larbi Becheri également membre du CEFR et de l’UISM et responsable de l’École de charia des Frères Musulmans en France. Ni Ounis Guergah, diplômé en charia de l’Université de Médine, membre du CEFR et de l’UISM, professeur de théologie musulmane et directeur des études à l’IESH de Paris, la « Faculté d’études islamiques » comme l’annonce un panneau indicateur (3).

    Hassan El Haroui lui-même a des prêches « de paix » :  » Combattre les incroyants est la plus grande des causes. En fait, c’est la meilleure chose qu’une personne peut rechercher.
    Allah dit, Coran, 4:95 : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux-sauf ceux qui ont quelque infirmité- et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense, et Allah a mis les combattants au dessus des non-combattants, en leur accordant une rétribution immense. »
    Dans un prêche de septembre dernier, il réclamait l’éradication de l’État français et la création d’un État musulman régi par les lois de l’islam.

    Avec d’aussi excellents professeurs, on comprend que le pauvre Mickaël Harpon ait basculé dans le crime islamique.

    Il est inquiétant de voir que les services de renseignement de la PPP tolèrent en leur sein des musulmans fréquentant les mosquées compatibles avec la pensée salafiste et « salafiste-réformiste » des Frères Musulmans.

    La forte emprise des Frères musulmans sur la France

    L’emprise des Frères musulmans sur la France est très forte ; elle est surtout très organisée et en passe de contrôler le pays dans quelques années. Mohamed Sifaoui est un journaliste franco-algérien connu pour son courage à infiltrer les réseaux islamistes et criminels. Son franc-parler lui vaut souvent des ennuis. Il est depuis janvier 2018 directeur de la revue Contre-Terrorisme. Dans son dernier livre, Taqiyya, il fait une description glaçante de l’entrisme des Frères musulmans dans les institutions françaises et jusqu’au sommet de l’État où le Frère Hakim el Karoui a su devenir l’ami et confident du Président Macron, qui n’y voit que du feu et le croit modéré et musulman bien français.

    Dans Taqiyya on comprend que si la stratégie des Frères musulmans consiste essentiellement dans une entreprise d’infiltration, d’entrisme, et que sa tactique relève donc principalement de la dissimulation, la taqiyyales attentats terroristes collectifs ou individuels comme celui qui vient d’ensanglanter la PPP ne sont pas sans lien avec la doctrine islamiste globale à laquelle se rattache celle des Frères musulmans.

    On découvre un réseau fait de liens d’amitié et d’allégeance, de clientélisme et d’intérêts divers, de circuits de formation comme l’IESH, et on découvre l’ampleur des champs d’intervention et le nombre d’organisations et d’associations fréristes de toute nature qui irriguent la France.
    Sifaoui rapporte un propos saisissant d’un responsable du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman : « …si des personnes liées à l’UOIF sont éparpillées sur le territoire national, ce n’est pas le fruit du hasard. Si Abdelhaq Nabaoui est en Alsace, Amar Lasfar dans le Nord, Tareq Oubrou à Bordeaux ou Azzedine Gaci dans la région lyonnaise, à Villeurbanne, c’est aussi pour se répartir les rôles et être présents localement. Si les pouvoirs publics prétendent ignorer cela, c’est qu’ils vous mentent ».

    Ils mentent peut-être, ils font surtout preuve d’une méconnaissance dramatique, voire criminelle, de ce qu’est l’islam conquérant et de qui sont les personnages sulfureux qu’ils fréquentent et en lesquels ils ont confiance. C’est Juppé avec Oubrou, Macron avec El Karoui… Des naïfs qui se font rouler dans la farine de blé dur islamiste. « Pendant ce temps en France, l’installation de la pensée des Frères musulmans s’opère en silence », par l’action de nombreux immigrés accueillis comme « réfugiés politiques » ou « étudiants » qui diffusent leur doctrine dans les banlieues qui deviennent depuis quelques années, notamment par le regroupement familial, des espaces de repli identitaire et de fermentation anti-occidentale, explique Sifaoui.

    Suricate 6 octobre 2019

    1 : Daesh, dans ses dernières déclarations, recommandait à ses fidèles d’attaquer et de tuer des militaires des policiers, des gendarmes…

    2 : Si Youssef al-Qaradawi a choisi de ne pas être officiellement le guide suprême des Frères musulmans, il en est pourtant le leader incontesté. Déclaré persona non grata dans de nombreux pays, condamné à mort en Égypte pour des liens supposés avec le Mossad, recherché par Interpol, notamment pour apologie du terrorisme et appel au meurtre des homosexuels, le prédicateur égypto-qatari vit des jours tranquilles et luxueux au Qatar où il s’est réfugié.

    3 : L’IESH, Institut Européen des Science Humaines, plus connu en Arabie comme « La maison d’Allah en France » et un organisme d’enseignement de l’islamisme financé par les inscriptions des étudiants, Qatar charity et de nombreux milliardaires du Golfe. Son trésorier est, selon les Renseignements Généraux, un militant islamiste convaincu.

    4 : Sources Le ParisienObservatoire de l’islamisation

    https://www.minurne.org/billets/21675
  • Radicalisation islamiste : Christophe Castaner se surpasse !

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    Le Castaner Show n’en finit plus de tourner à guichets fermés. Dernière prestation ? À l’Assemblée nationale, ce mardi 8 octobre dernier, devant la commission des Lois, à l’occasion de laquelle le ministre de l’Intérieur inaugurait un nouveau spectacle, encore en plein rodage et relatif au dépistage des « signes de radicalisation islamiste ».

    Et notre premier flic de France de détailler ces derniers : « Une pratique religieuse rigoriste, particulièrement exacerbée en matière de ramadan, c’est un signe qui doit permettre de déclencher une alerte sur ces sujets. […] Un changement de comportement dans l’entourage, le port de la barbe, qu’il fasse la bise ou qu’il ne la fasse plus, même si, pour ce sujet, nous avons des informations très contradictoires concernant l’affaire qui nous préoccupe. »

    Bref, le dossier avance à grands pas, malgré ces « informations très contradictoires »… Le problème, c’est que si tous ces terroristes sont sous influence salafiste, tous les salafistes ne sont pas des terroristes et que le salafisme, justement, pousse généralement ses fidèles à se retrancher d’un monde impie par nature. On notera, encore, qu’en matière de terrorisme islamiste, ce dernier a évolué depuis les attentats de 2015 ; voire ceux du 11 septembre 2001.

    À l’époque, en effet, ces terroristes demeuraient à peu près encore des « professionnels ». Ils étaient en immersion, sortaient en boîte de nuit et buvaient ostensiblement de l’alcool, ce qui est un peu l’élémentaire bréviaire de ce genre d’activités. Au siècle dernier, les agents soviétiques infiltrés aux USA ne se promenaient pas avec l’insigne du parti à la boutonnière et optaient plus pour le whisky que la vodka…

    Mieux, si l’on peut dire en la circonstance, le terrorisme d’alors obéissait à des objectifs précis – libération de prisonniers politiques, par exemple – et était généralement diligenté par des États tiers. Aujourd’hui, rien de tout cela. C’est comme s’ils mettaient tout en œuvre pour se faire repérer, tandis que leurs actions sont singulièrement contre-productives quant à la cause qu’ils prétendent défendre.

    Ce qui explique, aussi, que les forces de l’ordre chargées d’évaluer leurs propres services soient obligées d’un peu fonctionner au doigt mouillé. Non sans raisons, M’Jid El Guerrab, député du Parti radical de gauche [autre forme de radicalité, mais d’un genre différent, NDLR], pose la questions : « Un signalement d’une faible intensité, c’est quoi ? Qui évalue le signalement ? […] Pendant le ramadan, il y a une pratique un peu plus forte de la religion, puisque le soir, tous les musulmans qui sont un peu pratiquants se rendent à la mosquée pour prier. Donc, il y a de fait une pratique exacerbée de la religion pendant le ramadan. Quant au port de la barbe, je constate que vous en avez une. Si vous étiez musulman, j’espère que vous ne seriez pas signalé ! » Il est un fait que…

    On sait que Christophe Castaner est capable du meilleur comme du pire, mais c’est indubitablement dans le pire qu’il est le meilleur. Là, on sent qu’il ne maîtrise pas tout à fait son sujet ; pas plus que les autres, d’ailleurs, depuis qu’il a débarqué place Beauvau par on ne sait quel enchantement. Lui aussi aurait sûrement besoin d’un brin d’évaluation.

    Alors, que faire de ce ministre de l’Intérieur aux airs d’élève décrocheur ? Le maintenir en place ? Le débarquer ? Ou peut-être lui faire conclure un mariage forcé avec Nathalie Loiseau, la brillante tête de liste LREM qu’on sait, aux dernières élections européennes, son équivalent en jupe, mais sans barbe ? À l’Élysée, on s’interroge. Dans les académies de médecine et les cabinets de psychiatrie, aussi.

    Nicolas Gauthier

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/215784/radicalisation-islamiste-christophe-castaner-se-surpasse/

  • Préfecture de Paris : l’Etat infiltré ? avec Xavier Raufer – Le Samedi Politique

    L’attaque au cœur de la Préfecture de Police de Paris est une démonstration criante des failles de l’Etat. Mickaël Harpon, informaticien à la direction du renseignement, a assassiné 4 fonctionnaires de police au couteau. Comment un tel drame a-t-il pu avoir lieu ?

    Converti à l’Islam depuis une dizaine d’années, l’individu avait montré des signes de radicalisation auprès de ses collègues. Pourtant, aucun rapport n’a été transmis. Aucune enquête n’a été menée.

    Habilité Secret Défense, à quelles activités Mickaël Harpon a-t-il pu s’adonner ? Prises de renseignements, fichiers de policiers, d’agents infiltrés, installation de logiciel espion… Tout est possible et les réponses sont pour l’heure inconnues.

    Le criminologue Xavier Raufer revient sur une attaque sans précédent au sein de l’institution de la Préfecture de Police, regardée dans le monde entier.

    https://www.tvlibertes.com/prefecture-de-paris-letat-infiltre-avec-xavier-raufer-le-samedi-politique

  • L’Acte 48 des Gilets jaunes a rassemblé des milliers de manifestants samedi à Toulouse

    Plusieurs milliers de gilets jaunes se sont rassemblés samedi à Toulouse à l’occasion du 48e acte du mouvement contestataire, soit la manifestation la plus importante depuis plusieurs semaines. Un rassemblement marqué par de nombreux affrontements avec les forces de l’ordre, qui ont interpellé 17 personnes et fait un usage massif de gaz lacrymogène et de canon à eau. Ailleurs en France, quelques centaines de manifestants ont battu le pavé à Metz, Paris, Bordeaux, et Lille notamment.

    BFM

  • Il faut sauver l'hôpital

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    La romancière Marie Desplechin n’est pas vraiment notre tasse de thé. Disons plutôt que son œuvre ne correspond pas aux critères que nous recherchons en littérature. On pourrait aisément la classer du côté de la gauche bobo. Mais, à l’image de nombre de nos concitoyens, de nos frères Gaulois, on a tous été confrontés à la réalité de l’hôpital où l’on a pu constater l’extraordinaire dévouement du personnel hospitalier, du brancardier au grand patron, du chef de service aux infirmières. Or, l’Etat maltraite depuis trop longtemps cette institution où le moindre syndicaliste de la CGT serait en grève illimitée depuis longtemps. Sauf qu’à l’hôpital on ne prend pas les « usagers » en otage. Et on fait le gros dos face aux horaires infernaux, aux rémunérations aléatoires, aux conditions de travail souvent limites. C’est la raison pour laquelle on souscrit aux propos de Marie Desplechin, prononcés au CHU de la Pitié-Salpétrière à Paris devant plusieurs cadres et soignants du « collectif inter-hôpitaux » réunis en assemblée générale pour la première fois. A la différence de nos adversaires, nous ne sommes pas sectaires.  

    A lire ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/13/il-faut-sauver-l-hopital-6182607.html

  • Un vrai résumé du 6 octobre ? Celui de CNews !