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France et politique française - Page 1924

  • Roland Hélie : « Les Français sont prêts à remettre en cause le système. »

  • Lundi soir sur LCI, face à Cohn-Bendit : le courage de Caroline-Christa Bernard

    Lors du débat entre le démagogue sulfureux Daniel Cohn-Bendit cliquez ici et le talentueux Eric Zemmour lundi soir sur LCI plusieurs Français étaient invités à prendre la parole. Parmi eux Caroline-Christa Bernard qui, avec courage et lucidité, a remis l'immigrationiste de Franckfort à sa place. 

    Juriste et artiste, Caroline-Christa n'avait pas hésité à répondre à l'appel lancé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, en mars dernier contre la dissolution du Bastion social cliquez là.

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  • François-Xavier Bellamy et les opportunistes

    François-Xavier Bellamy et les opportunistes

    Amusante publication du Point sur la bande d’opportunistes de LR :

     
  • Quand les Verts mettent trop les gaz !

    Par Marc Rousset    

    « Un État qui crée des dettes et imprime de la monnaie sans valeur ment à son peuple et le conduit vers le précipice. »

    Si je vous dis, ex abrupto, que la norme RT2012 (issue du Grenelle 2 de l’environnement) est une hérésie, vous vous direz probablement qu’il faut que j’arrête la consommation de certaines substances.

    Rassurez-vous, il n’en est rien.

    RT2012, c’est l’actuelle réglementation thermique des bâtiments : isolez, isolez, entend-on partout.

    Seulement, il y a un hic : l’application de cette norme (obligatoire pour toute nouvelle construction) fait que pour deux maisons à l’isolation identique, celle qui est chauffée au gaz sera classée « performante » (classe B ou C) alors que celle chauffée à l’électricité sera classée « médiocre », classe E.

    Bilan de l’opération : la plupart des maisons neuves sont, désormais, équipées de chauffages au gaz, et c’est bien là qu’est le hic pour notre beau pays.

    Car on ne produit pas de gaz, en France, alors que, grâce au nucléaire, on produit de l’électricité à ne savoir qu’en faire !

    Quelques chiffres pour fixer les idées.

    La France a importé pour 8,5 milliards d’euros de gaz naturel en 2017, en provenance essentiellement de Norvège (40 %), de Russie (11 %), des Pays-Bas (11 %) et d’Algérie (9 %).

    Le déficit commercial de la France s’est creusé en 2018 pour atteindre environ 60 milliards, en raison essentiellement de la hausse de la facture… énergétique.

    Dans la très sérieuse étude Chiffres clés de l’énergie, édition 2018, du Commissariat général au développent durable, il est montré que 40 % de la consommation d’énergie primaire en France est issue du nucléaire, 29 % du pétrole, 16 % du gaz et que le reste est constitué du charbon et de ces fameuses « énergies renouvelables ».

    La part des « énergies renouvelables » est anecdotique, surtout si on enlève le bois de chauffage – quasiment 100 % de la biomasse solide.

    On notera, également, que ces données sont corrigées des variations climatiques, le « changement climatique » n’a donc rien à voir dans ces chiffres.

    Comme je l’ai déjà écrit, pour moi, la transition énergétique est faite en France depuis belle lurette. Elle remonte aux chocs pétroliers de 1973 et 1976.

    Parfois, je me demande si je ne rêve pas : alors que nous avons, en France, une énergie disponible à profusion, une énergie totalement décarbonée, une énergie qui n’a jamais fait de victimes, une énergie dont la technique de production est totalement maîtrisée, on s’en va acheter du gaz à prix d’or !

    Il y a même des méthaniers qui viennent des États-Unis avec du gaz de schiste.

    Mais il est vrai que lorsqu’on est entré dans l’idéologie « verte », voire la « religion verte » et même « le fanatisme vert », il devient impossible de raisonner. On l’a constaté chez Pascal Praud, la semaine dernière.

    Si l’on veut du « tout électrique », il faut évidemment du « tout nucléaire » ou presque. À mon avis la trottinette à voile ou à vapeur n’a pas un grand avenir. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/14/quand-les-verts-mettent-trop-les-gaz-6150756.html

  • Festival de hargne

    cinema.jpgLe rituel est bien rôdé, bien établi, il ne souffre pas d’exception. Le traditionnel festival de hargne contre l’opposition nationale qui se tient toujours en période électorale s’étale  dans les gros médias à quelques jours du scrutin européen. Nous assistons à une avalanche d’articles et autres reportages pour expliquer à quel point les députés FN puis RN sont non seulement des filous qui détournent l’argent de l’Europe (le feuilleton de l’affaire dite des assistants parlementaires a  débuté sous l’ère Hollande-Taubira-Schulz) mais en plus des nuls, des tocards, des feignants, des schizophrènes incapables même de voter les textes qui vont dans leur sens… Certes,  tirer à boulets rouges sur le RN c’est aussi essayer de sauver la candidate Nathalie Loiseau qui désespère même ses amis, lesquels ne cachent pas en privé et/ou en off leur consternation. Il y a fort à faire pour aider la candidate du parti macroniste qui a aussi reçu le soutien de vieux chevaux de retour comme Alain Juppé, Pierre Méhaignerie, Françoise Grossetête (vice-présidente du PPE), Daniel Cohn-Bendit ou  Jean-Pierre Raffarin. Ceci explique peut-être cela…

    A quelques heures du débat qui l’opposera ce soir sur BFMTV à Jordan Bardella, la tête de liste controversée de l’attelage LREM/MoDem,/Agir/Les Radicaux tape toujours sur le même clou. Elle se drape dans son rôle de représentante officielle des lobbies progressistes, d’ultra de la collaboration atlanto-bruxelloise. Interrogée par Le Monde, Mme Loiseau a rappelé que sa priorité était de combattre les défenseurs de l’Europe des patries, des identités et des  souverainetés nationales (ce qu’elle qualifie comme E. Macron et tous les bien-pensants sous le terme d’extrême-droite). Une sale engeance nationale  qu’elle désigne comme les «représentants de Vladimir Poutine au Parlement européen » … une attaque neuve, transgressive et originale !

    Ce qui frappe en fait dans la campagne de Mme Loiseau c’est la vétusté, la pauvreté des arguments recyclés  déjà depuis des années: une bribe de BHL par là, un morceau d’édito du Guardian , de l’Obs ou du New York Times par ci, quelques vieux restes de formules désuètes empruntées à Jacques Delors ou à Hillary Clinton pour lier le tout… Comme c’est affligeant et comme cela en dit long sur le niveau (ou le désarroi) des communicants macronistes ! Ce sont les mêmes, peut-être, qui lui ont soufflé de dire, lors son passage au Grand Jury RTL dimanche dernier que si elle était opposée à l’entrée de la Turquie dans l’UE c’est parce que… «la Turquie de Erdogan est populiste» ! Le fait que ce grand pays musulman soit culturellement, ethniquement, géographiquement non européen n’est donc pas une cause première et nécessaire aux yeux de Mme Loiseau… A ce degré de politiquement correct et d’à plat-ventrisme progressistes on touche vraiment le fond.

    En ce début de festival de Cannes, la hargne du camp du Bien s’est aussi déchaînée contre Alain Delon, à l’occasion,  rapportait Le Figaro de la remise d’une Palme d’or d’honneur  dimanche prochain pour l’ensemble de sa carrière. A l’initiative de Margherita B.,  «18.000 internautes, pour la plupart venus du monde anglo-saxon, États-Unis, Royaume-Uni et Australie, mais aussi de France et de Belgique, ont signé le texte en quelques heures»,  «contre cet hommage rendu au plus grand acteur Français…». Une pétition «pour dénoncer (l’) homophobie, (la) misogynie et (le) racisme» attribués à l’acteur, «l’accointance d’Alain Delon avec Jean-Marie Le Pen», accusé «de s’être «aligné avec le Front National, raciste et antisémite et d’avoir clamé qu’être homosexuel est «contre-nature». «Si la pétition a été attribuée à l’association américaine Women and Hollywood dans les médias, sa fondatrice Melissa Silverstein affirme ne pas en être à l’origine, bien qu’elle défende la même position. »

    «Alain Delon a le droit de penser ce qu’il pense, a répliqué Thierry Frémaux, le délégué général en charge de la sélection cannoise, lundi, regrettant également que ce qu’Alain Delon a dit ici et là soit globalisé» (sic). «Il invite ses détracteurs à faire la part des contradictions d’une existence, (…) en l’occurrence, d’un homme qui est parti très tôt à la guerre et qui est d’une autre génération». Des propos confus qui, à dire vrai, note Bruno Gollnisch,  ne veulent pas dire grand chose mais qui traduisent bien l’embarras de la grande famille du cinéma qui concentre toutes les tares et les diktats idéologiques de nos sociétés occidentales… quand elle n’en est pas elle même  le vecteur.

     Le Figaro relève encore que «L’essayiste et chroniqueur Éric Naulleau a identifié (dans cette affaire) un retour du maccarthysme et la chasse aux sorcières, qui sévissaient aux États-Unis dans les années 1950 contre les Américains soupçonnés de communisme.»

    Macarthysme contre un acteur auquel il est reproché son patriotisme et l’affirmation de sa préférence hétérosexuelle en des termes un peu rudes ? Certainement, mais surtout confusion bien dans l’air du temps ou les inquisiteurs néo-puritains confondent sciemment l’homme et son oeuvre au nom de leurs critères moraux. En quoi les idées, la vision du monde, les valeurs de Delon l’homme privé, retranchent quoi que ce soit ou contamine le talent, le charisme hors-norme de Delon l’homme de cinéma à qui l’on rend hommage? A ce compte-là,  faut-il épurer des cinémathèques ou des bibliothèques les cinéastes et les écrivains racistes? Pasolini ou Gide pour cause de pédophilie? Drieu au regard  de ses sympathies nazies ou Aragon du fait de son stalinisme ? Là aussi, l’opposition nationale ne s’était pas trompée quand elle mettait en garde, il y a plus de vingt ans déjà, contre l’avènement sur nos rivages de ce totalitarisme soft ou mou en provenance des milieux progressistes américains. Nous y sommes et il n’est guère étonnant que ces sectaires-là combattent aussi  farouchement le RN

    https://gollnisch.com/2019/05/15/festival-de-hargne/

  • Question sur notre présence en Afrique

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    Le billet de Patrick Parment

    La mort de deux soldats français en Afrique pose la question de savoir ce que nous faisons sur ce continent et surtout qu’ambitionnons-nous ? Il y a des restes de la Françafrique me direz-vous, correspondant à une zone d’influence. Mais est-ce toujours le cas à l’heure où le continent fait l’objet des ambitions des Chinois et des Américains qui se livrent une sourde bataille.

    Il est bien fini le temps que l’on a appelé colonial et qui consistait à apporter les bienfaits de notre civilisation en pacifiant les rapports entre les ethnies, en les dotant d’infrastructures diverses (routes, ponts, bâtiments) et surtout à mettre en place un système de santé - n’en déplaise aux tenants d’une chimérique « décolonisation » - et non à les dépouiller de leurs ressources, vu qu’à l’époque, il n’en était guère question. La grande erreur de la colonisation a été d’avoir dressé une géographie des frontières qui ne tenait pas compte de l’essence même de la réalité africaine, l’appartenance ethnique. Or, cette réalité d’hier est aussi celle d’aujourd’hui. Il est d’autres fractures, religieuses celles-là, entre chrétiens et musulmans par exemple. On retrouve en général les premiers dans l’orbite des pouvoirs, ce qui ne manque pas d’engendrer des rancoeurs.

    Tout cela pour dire que dans ce que l’on a appelé le colonialisme, il y avait avant tout de l’humain avec ses vertus et ses défauts. Ce n’est plus le cas dans le cadre de la Françafrique qui est devenu un concept purement économique. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où tous les protagonistes, occidentaux ou chinois, n’ont d’autre motivation que l’appropriation des ressources dont le continent est riche : pétrole, uranium, métaux rares, etc.

    C’est triste à dire, mais tous les efforts consentis pour faire décoller l’Afrique n’ont pas donné de grands résultats. La grande erreur, sans doute, est d’avoir greffé des concepts occidentaux comme la démocratie ou les droits de l’homme sur des populations pour qui cela n’a aucun sens. Egalité, fraternité, parité, liberté, n’ont pas la même signification en Afrique. Et encore moins le rapport au temps, historique en Occident, ahistorique (au sens splenglérien du terme), en Afrique. Tout l’argent versé (et tous les Etats ne sont pas pauvres) n’a bien souvent servi que les intérêts de la caste au pouvoir et nourri leurs comptes en Suisse. Le mot répartition n’a semble-t-il guère de sens ici. Même un esprit éclairé comme Houphouët-Boigny a servi ses intérêts et ceux de son clan comme en témoigne la surréaliste cathédrale de Yamoussoukro. On a laissé des fous furieux ramener leur pays à l’âge de pierre comme c’est le cas au Zimbabwé, comme c’est le cas en Afrique du Sud avec l’ANC au pouvoir qui est en train d’appauvrir à grande vitesse ce qui était hier encore le pays le plus prospère d’Afrique. La comparaison entre le niveau de vie des Noirs hier et celui d’aujourd’hui, l’atteste malheureusement.

    Aussi, à coups de milliards, Chinois et Américains sont en train d’inaugurer une autre forme de colonisation qui est proprement une autre version de l’esclavage. Car l’objet de ces attentions est économique avant d’être humain.

    C’est la raison pour laquelle on se pose la question de savoir qu’elle est la finalité de notre présence en Afrique, mais surtout notre intérêt à intervenir militairement. S’il s’agit de contenir les flux migratoires, alors c’est toute l’Europe qui est concernée et pas seulement la France. C’est donc des « casques bleus » européens qui devraient opérer et pas seulement l’armée française. D’autant que l’Europe dispose encore d’une belle force de frappe économique pour contraindre les pays du pourtour méditerranéen comme de l’Afrique subsaharienne à contenir les flux migratoires.

    Par ailleurs, il ne semble pas que dans ces pays de l’Afrique subsaharienne on protège des intérêts nationaux comme ceux des Bolloré et autre Total. Mali, Niger, Tchad, Mauritanie ne sont pas, que je sache, des terres de grand business à l’exception, peut-être, des mines d’uranium du Niger. Certes, ces pays ont pour langue officielle le français et le franc CFA pour monnaie. Mais est-ce suffisant pour envoyer nos soldats au casse-pipe au nom de la lutte contre Daech et sur un territoire gigantesque en grande partie désertique. On saisit mal l’intérêt. Le bilan économique est maigre. D’où ma question : qu’est-ce qu’on fout là ? Il est bien évident que d’un point de vue européen, la question serait tout autre. Il marquerait l’existence d’une Europe  de la puissance et donc décidée à en découdre avec les Américains et les Chinois. Ce qui n’est pas le cas.

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  • Nous sommes le seul pays, avec la Corée du Nord, la Chine et Cuba, où l’appartenance catholique est toujours suspecte

    Nous sommes le seul pays, avec la Corée du Nord, la Chine et Cuba, où l’appartenance catholique est toujours suspecte

    Extrait d’un long entretien donné par Jean-Marie-Guénois dans Valeurs Actuelles :

    […] Pourquoi Emmanuel Macron, qui s’était rendu au pied de Notre-Dame de Paris le soir de l’incendie n’a pas même pas prononcé, lors de sa conférence de presse du jeudi, le mot catholique ? Indignant certains.

    Oui, et en premier lieu l’archevêque de Paris, Monseigneur Aupetit. Cela montre que le président ne peut pas aller trop loin, sinon il serait accusé de collaborer avec les « affreux » cathos ! Le catholicisme est un marqueur très fort. Et c’est une particularité très française de s’en tenir à distance : nous sommes le seul pays, avec la Corée du Nord, la Chine et Cuba, où cette appartenance est toujours suspecte pour une certaine intelligentsia ! Au pied de Notre-Dame, le président a d’abord joué un registre christique, avec des accents étrangement mystiques en promettant de reconstruire la cathédrale en 5 ans, comme le temple de Jérusalem en trois jours dans le nouveau testament. Mais il a calé sur la vérité des mots. Ce ne pouvait pas être un oubli pour un discours aussi préparé. Quand on parle de Notre-Dame de Paris, comment peut-on ignorer le mot catholique, ou le mot christianisme.

    Est-ce que Macron parvient à renouer le lien blessé entre l’Eglise et l’Etat ?

    C’est une vraie question un an après son discours aux Bernardins mais je ne suis pas certain qu’il y parvienne. Les questions de bio-éthique arrivent. D’autre part, s’il instrumentalisait « Notre-Dame » comme un objet politique marketing pour les JO, ou comme gage d’efficacité comme conducteur des travaux – avec l’argent de donateurs qui plus est ! -, pour un second mandat, les catholiques le sentiraient et ne supporteraient pas une telle instrumentalisation. On ne joue pas avec les symboles religieux. Le sacré n’est pas le politique. Le politique n’est pas le sacré. Et cette distinction souveraine n’est pas seulement propre aux catholiques.

    Sa volonté de renforcer la laïcité contre l’islam politique, ne risque-t-elle de retomber sur les catholiques ?

    Ce serait une injustice profonde pour les chrétiens car les protestants et les orthodoxes sont aussi concernés. L’Eglise disait déjà sous Hollande qu’elle ne voulait pas être une « victime collatérale » de l’islam politique. Si cela devait arriver, ce ne serait pas lié à Macron mais à une interprétation radicale de la laïcité qui arroserait tout sur son passage, comme un bombardier, sans faire de distinction. Cette politique peut d’ailleurs se produire dans tous les partis. […]

  • Deux nouveaux sites d’hébergement pour immigrés clandestins à Paris

    clandestins-migrants

    15/05/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La maire de Paris, Anne Hidalgo, a annoncé mardi dernier qu’elle allait faire une proposition au préfet pour la mise en place de deux nouveaux sites d’hébergement et d’accueil d’immigrés. Ceux-ci se trouveraient dans les XIIe et XVIIe arrondissements, où la nouvelle n’est pas forcément bien accueillie par les élus, alors que la situation de crise s’éternise.

    Le maire du XVIIe arrondissement, Geoffroy Boulard, n’a pas été consulté pour cette multiplication de capacité d’hébergement et s’insurge : « Le débat n’est pas de savoir si on est pour ou contre les migrants, ce n’est pas le sujet. Ce terrain n’est pas du tout approprié. Aujourd’hui, c’est une décision solitaire, qui n’a pas du tout été mûrie ».

    https://fr.novopress.info/