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France et politique française - Page 2225

  • Des crédits d’impôts pour encourager l’immigration clandestine

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Contre l’avis du gouvernement, les députés de la majorité La République En Marche ont voté, mercredi dernier, un amendement permettant l’instauration d’un crédit d’impôt pour les foyers accueillant des réfugiés. D’un montant de 5 euros par nuit, dans la limite de 1500 euros par an, cette mesure est censée permettre aux immigrés arrivés en France, de mieux s’imprégner de la culture et de la langue françaises en vivant auprès d’une famille, plutôt qu’ en centre d’accueil. D’une pierre, deux coups : l’État pourrait ainsi se décharger partiellement du financement de l’hébergement des réfugiés, actuellement estimée à 17 € par nuit et par personne, tout en poursuivant sa politique d’accueil des clandestins.

    Le député La République en Marche du Val d’Oise, Aurélien Taché, a justifié cette mesure en déclarant « Les Français qui sont d’accord pour s’engager dans une démarche de solidarité, il faut qu’il y ait une reconnaissance de cet engagement-là ».

    https://fr.novopress.info/

  • Ces fâchés avec ces fâcheux chiffres sur l’immigration…

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    Même le journal Libération a été forcé de le reconnaître, sûrement la mort dans l’âme : le très vertueux Clément Viktorovitch a laissé paraître un défaut à sa cuirasse étincelante ! Panique à bord chez les disciples de la religion du vivre ensemble : leur porte-étendard favori a dit un mensonge, sur le plateau de l’émission « Punchline » de CNews. De surcroît, sur un sujet qu’il affectionne tout particulièrement : les chiffres de l’immigration, qu’il brandit et manipule toujours avec l’exaltation de celui qui, seul, croit détenir la vérité.

    C’était le 20 septembre dernier, face à Charlotte d’Ornellas – qu’il se vantait pourtant d’avoir mouchée sur Twitter quelques heures après sa passe d’armes, ce qui lui avait valu les louanges de l’intelligentsia parisienne : « Bizarrement, les débats sur “l’immigration massive” changent de tonalité quand on commence à déconstruire les “fake news” et à demander des chiffres précis… »Seulement voilà, pris à son propre jeu, le jeune chroniqueur a fait preuve d’une très grande désinvolture à l’endroit de ces mêmes chiffres censés disqualifier Charlotte d’Ornellas, en affirmant qu’un tiers des entrées légales sur le sol français concernait les étudiants Erasmus, originaires des pays membres de l’Union européenne. Jean-Yves Le Gallou est monté au créneau sur TV Libertés en pointant les mystifications et les errements de Clément Viktorovitch concernant les chiffres réels de l’immigration légale. Et Libération a dû donner raison à Jean-Yves Le Gallou : « Seuls les ressortissants de pays tiers (extra-européens) sont concernés par les titres étudiants. » En substance, ces 80.000 étudiants (c’est leur nombre) ne sont pas des Erasmus (qui, eux, n’ont pas besoin de titre de séjour puisque appartenant à l’Union européenne), mais des jeunes gens en provenance du reste du monde…

    Nous voilà donc rassurés : Clément Viktorovitch n’est pas un archange descendu d’un ciel afin de sabrer la foule des affabulateurs terrestres. Bien que pleine de précautions oratoires et d’affectation chevrotante, sa parole n’est pas d’évangile. N’en déplaise au parterre de ses fidèles et aux partisans du sans-frontiérisme, le vicaire à la voix doucereuse peut, lui aussi, commettre une bévue – ou dire un gros mensonge. Lui qui semblait très désireux de se bâtir une iconographie immaculée, vouant un culte à la pure argumentation et à la précision des chiffres, voilà qu’il s’est emmêlé les pinceaux dans son entreprise préférée : parer la Vertu des couleurs de la Vérité. Hélas, le vernis a craqué.

    Dorénavant, gageons que notre père la morale mettra un peu d’eau dans son venin lorsqu’il prendra la parole sur les plateaux de télévision. On ne peut pas toujours avoir raison sur tout. Même quand on enseigne la sophistique – pardon, la rhétorique ! – à Sciences Po Paris.

    Thomas Clavel

    http://www.bvoltaire.fr/ces-faches-avec-ces-facheux-chiffres-sur-limmigration/

  • "Interdit d'interdire : montée des nationalismes" avec François Bousquet

  • Sympathiques juges… un trafiquant de drogue remis en liberté

    Sympathiques juges… un trafiquant de drogue remis en liberté

    Qui jugera les juges défaillants ?

    Un homme, condamné en première instance au mois de juin dernier à 6 ans de prison ferme assortis d’une période de sûreté des deux tiers, a finalement été remis en liberté sine die le 7 octobre dernier. Le détenu a ainsi pu recouvrer la liberté de manière inespérée après un « oubli  » des juges de la cour d’appel de Paris.

    Ces derniers devaient statuer sur son sort dans un délai de quatre mois après l’appel déposé par son avocat, Me Yves Levano, le jour de la condamnation en première instance de son client, intervenue le 7 juin dernier devant le tribunal correctionnel de Créteil (Val-de-Marne). Finalement rejugé le 3 octobre, Lamin M., né en Gambie, a vu les juges de la cour d’appel mettre leur décision en délibéré à la date du 7 novembre prochain. Soit au-delà du délai de quatre mois impartis… […]

    https://www.lesalonbeige.fr/sympathiques-juges-un-trafiquant-de-drogue-remis-en-liberte/

  • De la France Interdite à l’islamisation des banlieues, le fantasme devenu réalité décrit par des journalistes

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    Le 17 octobre 2018, sort un livre écrit par des étudiants en journalisme, traitant de l’islamisation d’une partie des habitants du département de Seine-Saint-Denis. Si les constats réalisés sur le terrain par les apprentis journalistes sont intéressants et argumentés, ils ne viennent que confirmer de nombreuses investigations réalisées ces dernières années. Illustration.

    « No go zones »

    En 2015, la chaine américaine Fox News consacrait un reportage aux « no go-zones » à Paris. Ce reportage était en de nombreux points caricatural et s’appuyait sur des données inexactes. Cela a amené nombre de médias français à écarter le sujet d’un revers de main dédaigneux. Il aura cependant eu au moins un mérite : celui de s’interroger sur l’existence de parties du territoire français sous l’emprise de l’islamisme, ces « endroits où l’on ne va pas », traduction littérale de « no go zones ».

    D’autres travaux d’investigation de terrain plus rigoureux ont été réalisés depuis plusieurs années. Nous en présentons quelques uns.

    En 2002 parait chez Pluriel l’ouvrage collectif « Les territoires perdus de la République ». A partir de l’exercice quotidien de leur métier, des professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne dressent le constat d’une décrépitude des valeurs républicaines et d’une offensive islamiste dans certains quartiers.

    En 2016, Géraldine Smith publie chez Stock le livre « Rue Jean Pierre Timbaud, une vie de famille entre bobos et barbus ». Son auteur, une journaliste, a selon Marianne enquêté « sur l’islamisation du quartier où elle a habité, celui de la rue Jean-Pierre-Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris ». Un récit au quotidien tout en nuance sur la confrontation d’idéaux libéraux-libertaires à la réalité d’un quartier en pleine transformation. Le livre se termine par un constat d’échec et le départ de la famille du quartier.

    Trappes, Saint-Denis, Sevran

    En 2017 aux éditions du Toucan, le journaliste Alexandre Mendel publie une enquête intitulée « Partition », un livre accréditant « l’émergence de frontières invisibles qui divisent le territoire, géographiquement et culturellement ». Il écrit notamment : « À Trappes, Saint-Denis, ou encore Sevran, la mixité n’est plus la règle, elle est l’exception. On enferme ses enfants dans des écoles coraniques, où on leur apprend, à coups de hadiths, à haïr l’Occident et à ne vénérer que l’islam des ancêtres. On ne se marie plus que religieusement, on vit sa polygamie, on répudie les femmes, dans le dos de la République. La présentation de ce livre lors de sa sortie n’a pas dépassé le cercle des médias dits de droite, à l’image du sort réservé à « La France interdite », véritablement ostracisé par les médias mainstream malgré des ventes déjà conséquentes.

    La même année parait chez Albin Michel, un ouvrage collectif intitulé « Une France soumise ». Alors que « Les Territoires perdus de la République » pointait le communautarisme dans des écoles de banlieue, les auteurs du livre font le constat que ce sont maintenant de véritables territoires qui vivent en circuit fermé. « Cette enquête révèle le fossé existant entre une partie des élites médiatiques et la masse du peuple français, classes moyennes et populaires confondues. Le discours formaté des élites apparait de moins en moins audible » affirme un de ses auteurs.

    Le Monde comme Le Figaro

    En février 2018, deux journalistes du Monde, Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, font selon L’Express, dans le livre « La communauté » (Albin Michel), « un récit implacable de la manière dont la commune de Trappes (Yvelines) est passée en un demi-siècle des “cocos” aux “barbus” ».

    En mars 2018, un reporter du Figaro, Manon Quérouil-Bruneel, raconte dans « La Part du ghetto » (Fayard) le quotidien d’une cité de Seine Saint Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme, immigration continue, les aspects les plus sombres de la banlieue sont passés en revue. Au tournant des années 1990, « le mythe du bon immigré a fait long feu. La religion est progressivement devenue un étendard, une cuirasse identitaire qui a fait voler en éclats le « vivre-ensemble ».

    En juillet 2018, un rapport sénatorial pointe le développement du salafisme en France. Le nombre d’adeptes de ce courant rigoriste de l’islam – 40 à 60 000 – ne ferait qu’augmenter. Des sénateurs relèvent l’existence de « zones ghettoïsées», nous apprend RT France.

    En septembre 2018, un rapport de 617 pages de l’Institut Montaigne dresse le constat de l’expansion de l’islamisme en France. L’auteur du rapport publié par le think tank libéral estime que « la séparation devient viable ». « C’est toute la vie quotidienne qui est peut être « halalisée », et qui connaît une progressive codification : des normes religieuses sont appliquées à l’alimentation, aux vêtements et à toutes les pratiques sociales, qui ont pour objectif une coupure nette avec le reste du monde ».

    La grande frayeur de Gérard Davet : « donner raison à Zemmour »

    Le 17 octobre 2018 paraît chez Fayard le livre « Inch’allah, l’islamisation à visage découvert », écrit par 5 étudiants au Centre de Formation du Journalisme et « coordonné » par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Le 15 octobre, les reporters du Monde viennent présenter sur France Inter leur livre sur « l’islamisation de la banlieue».

    Interrogé par Nicolas Demorand et Léa Salamé, Fabrice Lhomme affirme : « il y a une volonté dans une petite partie des musulmans (…) pour que l’islam en Seine Saint Denis et ailleurs, devienne la norme sociale dans la vie publique ».

    En réaction à un auditeur en ligne qui affirme : « J’ai l’impression d’entendre Zemmour », Gérard Davet estime que « c’est effectivement le danger, nous on amène des faits, rien que des faits ». Léa Salamé commente : « des faits qui ressemblent aussi à ceux que relate Eric Zemmour quand on lit le suicide français ». Gérard Davet perd pied et botte rapidement en touche en indiquant que « le livre fourmille de révélations, de chiffres importants qui montrent que quelque chose se passe ».

    Une préoccupation des deux coordonnateurs de l’enquête constitue le sous-titre de l’émission sur le site de France Inter : « il ne faut pas laisser ces questions [de l’islamisation] aux extrêmes ».

    Gérard Davet ajoute : « Le sujet est complétement pollué par les batailles idéologiques. Vous avez des gens qui parlent de ça sans arrêt (…). Ils se saisissent de ce sujet Ils vous balancent des choses avec des clichés incroyables. Ils ne connaissent pas le terrain ».

    Si effectivement, « quelque chose se passe », nos deux reporters n’en oublient pas pour autant de décerner des labels d’honorabilité. Il y aurait d’une part les enquêteurs de terrain, dotés d’une légitimité que leur conférerait leur statut, et de l’autre les politiciens « des extrêmes », qui n’auraient aucune légitimité à parler de ce phénomène en pleine expansion, et encore moins à vouloir le traiter.

    Pourtant, l’abondante production éditoriale à ce sujet ne semble en rien freiner l’expansion du radicalisme islamique et du séparatisme religieux. Ce qui rappelle humblement que les journalistes sont là avant tout pour rapporter la réalité comme l’a fait Laurent Obertone dans son ouvrage La France Interdite (Ring), largement boycotté par les médias.

    Article paru sur le site Ojim daté du 19 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212379/de-la-france-interdite-a-lislamisation-des-banlieues-le-fantasme-devenu-realite-decrit-par-des-journalistes/#more-212379

  • Education / Le naufrage de l’école – Journal du lundi 22 octobre 2018

    Education / Le naufrage de l’école
    C’est une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit un élève d’origine étrangère pointer une arme sur son professeur, en classe, dans une école de Créteil dans le Val-de-Marne… Face à cela, le ministre de l’éducation nationale plaide pour l’interdiction du téléphone portable dans les établissements scolaires !

    Société / En Marche vers la PMA (et la GPA)
    Grande offensive médiatique et politique en faveur de la PMA et de la GPA. Dans l’impasse politique, le gouvernement pourrait bien se rabattre sur les questions dites sociétales… au risque de faire renaître les oppositions du quinquennat précédent.

    International / Immigration : Trump à l’épreuve de la réalité
    Alors que des milliers de Honduriens tentent de gagner les Etats-Unis, Donald Trump tente de faire face à une vague migratoire sans précédent. Un enjeu de taille à deux semaines des élections de mi-mandat.

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Gouvernement Philippe II (suite) : Et ceux-là, qu’est-ce qui leur vaut d’être nommés ministres ?

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    Nos amis Catherine Rouvier et Georges Michel ont dit ici et  ce qu’il fallait de notre gouvernement remanié, toutefois j’aimerais revenir sur messieurs Fesneau, Riester et Attal, respectivement nommés ministre en charge des Relations avec le Parlement, ministre de la Culture et secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale. Pour faire vite : un Modem, un LR Macron-compatible et un petit jeunot socialiste issu d’une gauche caviar comme on n’en fait plus (en tout cas, pas ouvertement).

    Marc Fesneau, Beauceron de Marchenoir, est un poulain de Jacqueline Gourault. Ce proche de François Bayrou, président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale, s’est fait une place comme défenseur de l’immigré clandestin, félicitant en séance son collègue Aurélien Taché (LREM) pour ses propositions audacieuses. Des propositions qui passent par l’abolition du délit d’aide aux immigrés clandestins, la fin de la préférence nationale dans la fonction publique ou encore la « simplification des procédures administratives d’octroi d’autorisations de travail aux étrangers ainsi que la suppression de la taxe versée par les employeurs pour l’embauche de réfugiés ». On ne pense pas que son entrée au gouvernement le fera changer d’optique… À suivre, donc.

    Franck Riester, maintenant. Il est pour moi, je le confesse, un parfait inconnu. J’étais donc curieuse de savoir ce qui lui valait le poste glorieux de ministre de la Culture. Françoise Nyssen avait au moins pour elle une maison d’édition de grand renom ; lui, je ne sais pas. On ne trouve à son palmarès qu’un Rapport sur la création musicale et diversité à l’ère numérique, puis des fonctions de rapporteur à l’Assemblée du projet de loi Hadopi 1 et Hadopi 2. C’est maigre pour une telle fonction.

    Alors, cet homme ne faisant pas mystère de son orientation sexuelle, je me demande si nous ne serions pas, une nouvelle fois, victimes du cliché « Il faut un homo à la Culture ».

    Je me souviens de la confidence d’un proche de Jacques Toubon rapportant cette sortie de Jacques Chirac, avec le « franc-parler » qu’on lui connaît. S’adressant à son fidèle bras droit : « Trouve moi un homo pas trop de gauche pour s’occuper de Beaubourg. » C’est ainsi que Jean-Jacques Aillagon, passé de prof d’histoire en Corrèze à directeur des Affaires culturelles à la mairie de Paris, devint président du Centre Georges-Pompidou, puis ministre de la Culture sous Raffarin. Cela, avant de s’envoler à la tête du château de Versailles où il nous offrit, en autres, les délires de Jeff Koons…

    Reste le petit dernier, Gabriel Attal, 29 ans, soit, à ce jour, le plus jeune ministre de la VeRépublique. Ascension fulgurante, là encore : militant au PS à 17 ans, membre du cabinet de Marisol Touraine à 23, député LREM à 27, porte-parole du mouvement depuis janvier dernier et ministre depuis deux jours. Avouez, le gamin a les dents longues !

    Voilà, donc, Gabriel Attal secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale. Avec quelles compétences, pour un tel poste ? Mystère. On sait seulement (Wikipédia) qu’« en 2002, à l’âge de 13 ans, ses parents l’emmènent à une manifestation contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle ». C’est là que « sa vocation politique est née ». C’est du dur !

    Papa est avocat, maman travaille dans une société de production, Gabriel va… à l’École alsacienne. On rigole : c’est là où tout le gratin, ministres et « cultureux » de la Mitterrandie, mettait ses enfants. École privée ultra-chic du VIe arrondissement. Comme dit la fiche : « Les élèves de l’École alsacienne sont souvent issus des couches les plus favorisées de la population en raison du caractère sélectif des procédures d’admission et de son implantation géographique. »

    Et c’est pour ça qu’on le met à l’Éducation ?

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/gouvernement-philippe-ii-suite-et-ceux-la-quest-ce-qui-leur-vaut-detre-nommes-ministres/

  • I-Média n°220 : Mélenchon est-il un méchant con ?

    Mélenchon est-il un méchant con ?
    Perquisition de l’appartement de Jean Luc Mélenchon et des locaux de la France Insoumise, de nombreux journalistes dénoncent la violence du député, un éclat de trop ou une justice aux ordres du pouvoir politique ?

    Le zapping d’I-Média
    Dimanche 14 octobre, élection régionale en Bavière. Pour beaucoup de journalistes, les résultats montrent la percée des verts, et de « l’extrême droite », l’AFD. Certains journalistes n’hésitent pas à faire le parallèle entre les années 30 et la percée de l’AFD.

    Balance ton post, balance ton contrevenant.
    Balance ton post, la nouvelle émission de Cyril Hanouna ferait dans le sulfureux. L’animateur phare de la chaine C8 a invité dans son émission une femme en burqa, et Emile Duport, un IVG sceptique. Devinez quel invité a fait réagir les journalistes et le gouvernement.

    Les tweets d’I-Média
    Le conseil d’Etat retoque une décision du CSA contre Zemmour. La radio RTL avait été mise en demeure par le CSA suite à une chronique d’Eric Zemmour pour un « éloge à la discrimination ». La plus haute juridiction administrative a considéré que le principe d’égalité devant la loi, qui interdit tout forme de discrimination, n’interdit pas toute critique à son égard.

    L’enquête Inch’Allah, des journalistes avec un train de retard
    Deux journalistes du Monde Davet et Lhomme, publient une enquête sur l’islamisation de la France. Inch Allah une enquête décrite comme rigoureuse, mais une enquête presque plus évoquée sur la forme que sur le fond.

  • Matteo Salvini déploie la police à la frontière franco-italienne pour éviter le renvoi de migrants en Italie

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    Le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini a annoncé le 20 octobre qu’il envoyait des policiers italiens pour patrouiller à la frontière avec la France.
    Cette mesure découle du renvoi de migrants dans la ville italienne Claviere la semaine dernière, par les autorités françaises.

    https://fr.novopress.info/212370/matteo-salvini-deploie-la-police-a-la-frontiere-franco-italienne-pour-eviter-le-renvoi-de-migrants-en-italie/

  • Résister au grand effacement de l’histoire de France, par Guillaume de Thieulloy

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    Comme je l’avais évoqué récemment, je reviens sur le dernier livre d’Éric Zemmour : « Destin français ».

    Disons-le tout net : c’est un excellent cru !

    D’abord, parce qu’il a été écrit comme un livre et non comme un recueil de chroniques et qu’il se lit donc avec plaisir.

    Ensuite, parce que ce livre signe une intéressante évolution d’Éric Zemmour.

    On sait que le journaliste était très attaché à la figure du général De Gaulle. Ce qui peut naturellement se comprendre quand on voit les successeurs du général, mais ce qui ne peut occulter la responsabilité de ce dernier dans l’actuelle décadence de la France. En particulier, comment oublier les guerres civiles auxquelles le général présida ?

    Bien sûr, il ne s’agit pas de faire porter à l’intéressé toutes les turpitudes des communistes en 1944 ou des politicards de la IVe République en 1958.

    Il n’empêche que le Général ne sut pas tendre la main aux soutiens du Maréchal – dont l’écrasante majorité n’avait rien à voir avec la collaboration – pour rebâtir la France.

    Pour sa propre légitimité, il choisit de se mettre dans la main des communistes, les laissant maîtres de la sordide épuration et les laissant prendre, entre autres, le contrôle de l’Éducation nationale, ce dont nous subissons encore les conséquences.

    Quant à l’abandon sanglant de l’Algérie et des populations qui avaient cru en la France, il restera une tache indélébile.

    Ce qui n’empêche pas d’admirer l’œuvre de restauration de l’État, la politique d’indépendance, le scepticisme devant les différents « machins » multinationaux.

    Mais, ici, Zemmour plonge aux sources de la France et, sans rien renier de son admiration pour De Gaulle, la nuance nettement – notamment par un éloge de Pétain comme « bouclier ».

    À l’exact rebours de l’histoire telle qu’elle est enseignée par l’Éducation nationale, il assume sa fierté d’être Français ; j’oserais presque dire, sa piété filiale – vertu qui apparaît si désuète à nos oligarques, mais sans laquelle aucune civilisation ne peut tenir.

    Il met en scène des grands hommes, les héros de notre longue histoire, alors même que l’histoire biographique et l’histoire chronologique semblent si « ringardes » pour nos dirigeants.

    Et c’est là que se trouve la troisième raison d’apprécier ce livre. C’est en effet un ouvrage de résistance à la dissolution de la France.

    Comme le fait remarquer Zemmour lui-même, « le grand effacement de notre histoire accompagne le grand remplacement des populations ».

    C’est pourquoi s’attacher à notre histoire n’est pas seulement un acte culturel louable, c’est aussi, c’est surtout un acte de résistance politique.

    Si nous ne voulons pas que la France disparaisse, la première des choses à faire est de l’aimer, dans son histoire, ses paysages, son identité charnelle.

    Je sais bien que ces expressions donnent de l’urticaire à ceux qui prétendent nous gouverner et qui, pour la plupart, croient, comme Emmanuel Macron, qu’il n’existe pas de culture française. Mais c’est la réalité et c’est pourquoi le livre de Zemmour est si important : il nous rappelle la grandeur de la France, que nos pseudo « élites » ignorent. Et il rend ainsi possible la renaissance de la France que nos pseudo « élites » veulent à tout prix empêcher.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/212361/resister-au-grand-effacement-de-lhistoire-de-france-par-guillaume-de-thieulloy/