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France et politique française - Page 2229

  • Radars, contrôle technique, carburant : trouvez-vous que le gouvernement abuse contre les automobilistes ?

    Radars, contrôle technique, carburant : trouvez-vous que le gouvernement abuse contre les automobilistes ?

    Ne vous inquiétez pas, il a encore de bonnes idées pour faire payer les automobilistes.

    L’avant-projet de loi d’orientation des mobilités, qui doit passer en conseil des ministres le mois prochain, prévoit la possibilité d’un péage urbain pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants.

    Selon l’avant-projet de loi, le montant « est déterminé de manière forfaitaire pour chaque entrée dans la zone soumise au tarif. Pour les véhicules légers, ce montant est au plus égal à 2,50 euros. » Pour les autres véhicules, le tarif peut être jusqu’à quatre fois plus élevé. Ces montants peuvent être multipliés par 2 « dans des unités urbaines de plus de 500 000 habitants ». Soit un maximum de 5 euros pour une voiture et 20 euros pour un camion dans des villes comme Paris, Lyon ou encore Marseille.

    Le texte prévoit également la possibilité d’instaurer des tarifs réduits, voire la gratuité, pour certaines situations particulières, « notamment ceux dont le domicile ou le lieu de travail est situé dans la zone soumise à tarif de congestion ». La gratuité est d’ores et déjà prévue pour les véhicules « d’intérêt général », les ambulances, ceux du ministère de la Défense, ainsi que ceux assurant « un service public de transport », sans que le texte précise à ce stade si cela inclut les taxis et les VTC.

    https://www.lesalonbeige.fr/radars-controle-technique-carburant-trouvez-vous-que-le-gouvernement-abuse-contre-les-automobilistes/

  • Le migrant est l’avenir de Libération, par Francis Bergeron

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    Le manifeste lancé lundi par Libération : « Le migrant est l’avenir de l’homme » entend réinjecter dans l’air du temps un discours qui n’a plus guère la cote, celui selon lequel l’immigration serait « une chance pour la France », selon la formule de Bernard Stasi datée de 1984. A l’époque, ce slogan passait mieux. Mais c’est un discours de ce type que veut réhabiliter le quotidien du milliardaire israélien Patrick Drahi. Libération nous annonce donc que « le migrant est l’avenir du monde ».

    Remarquez que Libération ne parle pas d’« immigrés », de « sans-papiers », de « clandestins », ni même de « réfugiés ». Toutes ces appellations concernent a priori des hommes qui arrivent temporairement dans un pays, qui n’y étaient pas attendus, qui n’y sont pas forcément accueillis dans la joie et l’allégresse. Le mot « migrant », lui, recouvre une tout autre réalité. Il s’agit de populations que des phénomènes climatiques, économiques ou autres, transportent vers de nouvelles contrées, sans idée de retour.

    C’est un peu cette image que Libération veut imposer. L’Europe – la France tout particulièrement –, est une nouvelle « bonne frontière », pour des peuples en transhumance depuis l’Afrique et l’Asie.

    Parce que cet élan vers la vieille Europe a été souhaité, voulu, sans garde-fous, sans limites qualitatives ou quantitatives, il est possible de parler de grand remplacement. Le « pseudo-grand remplacement », comme écrivent parfois nos médias.

    Mais Libération, lui, ne truque pas son discours. Ce grand remplacement, il l’appelle de ses vœux. Pourquoi ? « Pour que la Méditerranée cesse d’être un cimetière. » Nous entrons alors dans le volet culpabilisateur du manifeste de Libération. Depuis 18 ans, 50 000 personnes auraient trouvé la mort en Méditerranée. Ces morts seraient donc, à en croire Libération, un nouveau crime commis par les hommes blancs d’une Europe égoïste. Comme l’écrit Hugues Moutouh dans une récente tribune du Figaro, il s’agit d’empêcher de « traiter du sujet comme il devrait l’être : uniquement sous l’angle politique et non à travers un prisme déformant, exclusivement humanitaire ».

    « Notre Europe vieillissante a besoin d’une population active renouvelée », écrit Libération. Si ce n’est pas du grand remplacement, cela y ressemble terriblement : renouveler la population active ; pousser les Français à ne plus avoir d’enfants… Faire ainsi de la place pour ces jeunes hommes venus de pays aux ressources plus limitées. « Nos budgets sociaux ont besoin de ces actifs cotisants dont le régime de la clandestinité les prive. »

    Une tendance anti-immigration de gauche

    Il s’agit clairement d’un appel à la régularisation générale des clandestins… au nom du renflouement des caisses sociales. Or nul n’ignore pourtant que la paupérisation actuelle et le taux de chômage qui ne se réduit pas ont notamment pour origine, en France, cette immigration non choisie, peu ou pas qualifiée. Régulariser les illégaux, ne pas viser à les renvoyer, serait, aujourd’hui, mettre en faillite l’ensemble de nos régimes de protection sociale.

    Libération se plaint également de l’apparition d’une tendance anti-immigration de gauche, en Europe : « La vieille droite y faisait son ordinaire, rejointe aujourd’hui par une ancienne gauche qui, en Allemagne, en France ou en Italie, espère ainsi sa part de gâteau électoral. »

    Le message de Libération s’adresse en fait à ce peuple de gauche qui met au premier rang de ses préoccupations la survie des systèmes sociaux, au risque de rejoindre « l’orthodoxie identitaire, l’archaïsme culturel, la crispation néo-nationaliste ». Que d’inquiétudes pour le bon vieux Libé !

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/212349/le-migrant-est-lavenir-de-liberation-par-francis-bergeron/

  • Nerfs solides, cuir épais, endogamie et viol démocratique

    agora.jpgA la sortie de son audition hier à Nanterre où il a été auditionné dans la foulée des perquisitions qui ont eu lieu mardi, dans le cadre de l’enquête ouverte sur ses assistants parlementaires européens et ses comptes de campagne, Jean-Luc Mélenchon s’est voulu serein. Il a insisté sur sa probité et celle de son parti. Les médias mettent ce matin  plus spécifiquement en cause  la société Médiascop de Sophia Chikirou, laquelle aurait surfacturé  des prestations au candidat de  LFI lors de la présidentielle. M Mélenchon a réitéré ses propos sur la dimension politique, persécutoire de cette affaire,  pouvoir macronien en comparaison  duquel feu “l’Etat RPR” avec ses magouilles et ses méthodes peu reluisantes,   aurait été de la gnognotte a-t-il affirmé. La veille, interrogé par l’agence Reuters, le député RN Sébastien Chenu a  douté  de la solidité des nerfs de M. Mélenchon après avoir vu les images “dévastatrices” de ce dernier, empêché de pénétrer dans ses bureaux en cours de perquisition.  “ On ne donne pas les clefs d’un pays à quelqu’un qui force des portes”, “quand il prend ses premiers coups, qui sont rudes, il dérape”, “il n’est pas solide parce qu’il n’est habitué en réalité à prendre ces coups-là.” “Il est le miroir de ce qu’a été le Front(National)  il y a trente ans, selon Sébastien Chenu, qui a souligné les similitudes entre la scène de mardi et un déplacement houleux de Jean-Marie Le Pen (…)  à Mantes-la-Jolie en 1997.” Au-delà des similitudes que certains pourront trouver entre les deux tribuns précités, précisons cependant que dès son ascension électorale dans les années 80,   les dirigeants et militants du FN furent  soumis à des persécutions, à des pressions politiques,  psychologiques , physiques même, à des traquenards, des coups tordus (Carpentras, Mantes-la-Jolie en sont deux exemples emblématiques)  autrement  plus importants et violents  que ceux  subis par LFI et son dirigeant.

    Un climat  qui nécessitait en effet  d’avoir le cuir épais et du caractère pour ne  pas courber l”échine devant l’adversaire!  Climat qui  n’est guère plus serein aujourd’hui  pour  l’opposition nationale  au fur et à mesure que ce Système qui vacille sur ses bases,  montre les crocs  et tente désespérément, par tous les moyens,  de freiner la vague populiste… Autant dire que Marine  parle vrai quand elle dénonce  l’acharnement judiciaire contre le RN,  un  “gouvernement des juges. ”  Bruno Gollnisch tiendra d’ailleurs lundi prochain une conférence  de presse dans les locaux du Parlement  européen  à Paris,  au cours de laquelle il apportera de nouvelles révélations  dans l’affaire dite des assistants parlementaires du FN.

    Jean-Luc Mélenchon  est  une victime collatérale, par  symétrie en quelques sorte,  des tentatives desBruxellois de mater un peuple français qui rue de plus en plus fortement dans les brancards. Le dirigeant de LFI,  ont rapporté avec une certaine  gourmandise des médias qui lui font un peu payer son mépris pour la caste journalistique,  serait  désormais contesté en interne. Comme de juste,  ce serait   sa violence populiste, telle qu’elle s’est manifestée notamment  par son comportement lors des perquisitions évoquées plus haut,  qui gênerait un nombre croissant de ses sympathisants.

    La parole a été  ainsi donnée  ces dernières heures   à Clémentine Langlois, une ex-candidate LFI qui a créé un petit Collectif des insoumis démocrates (sic, les autres ne le sont pas?) qui s’insurge contre  le centralisme/dirigisme  des décisions  au sein de ce parti. Mais aussi contre les mauvaises manières de M Mélenchon au moment ou il tente de rassembler autour de lui  des figures de l’aile gauche du PS qui viennent d’en claquer la porte, comme  la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et le  député européen Emmanuel Maurel.   Les médias font aussi état d’un ras-le-bol de députés comme  Clémentine Autain ou François  Ruffin (qui se positionnerait pour l’après-Mélenchon) mais qui n’oseraient pas encore sortir  du bois. A dire vrai, on peut ne pas aimer M. Mélenchon  mais Mme Autain, MM. Coquerel, Ruffin,  Corbière n’ont pas  son épaisseur…

    A ce tableau des critiques qui pleuvent sur LFI s’ajoutent les accusations d’homophobie et de complotisme  proférées par certains macronistes  contre  le jeune  Juan Branco.  Ex candidat LFI  dans le 93  lors des dernières législatives, par ailleurs avocat de M.  Mélenchon  (et de Julian Assange), M. Branco s’est fait connaître par le combat qu’il a également mené, à l’instar  notamment de Marine le Pen et de  Bruno Gollnisch au parlement européen,   contre la loi Hadopi . Il lui est reproché depuis mardi d’avoir analysé la nomination au poste de secrétaire d’Etat auprès de Jean-Michel Blanquer du socialiste strauss-kahnien Gabriel Attal,  élu en 2017 député sous les couleurs de LREM,  sous l’angle d’une “promotion-canapé.” M Branco en veut pour preuve le fait  que M. Attal  est pacsé   avec Stéphane Séjourné,  conseiller politique d’Emmanuel Macron et du  secrétaire d’État/porte-Parole Benjamin Griveaux. ” Tout Paris le sait, dit-il sur twitter,  mais il paraît que ces choses là ne se disent pas. Il ne faudrait pas brusquer notre si chère endogamie”

    M. Branco analyse aussi sous l’angle de “l’entre soi, du  népotisme, de l’ endogamie”,  la nomination au poste de secrétaire d ‘Etat à la transition  écologique de la très controversée  ex (?) lobbyste Emmanuelle Wargon,  fille de feu Lionel Stoléru,  qui fut  député et secrétaire d’Etat   de VGE  et de François Mitterrand.  Loin des “fantasmagories complotistes”, explique-t-il,  la jeune garde macroniste  consisterait  en  “un petit cercle d’ami(e)s plutôt incompétents qui par sociabilités successives ont pris le pouvoir de l’Etat. “

    Ce constat sur  l’existence de réseaux dont les happy few se cooptent  et se font la courte échelle n ‘est ni nouveau, ni très original, quand bien même émane-t-il d’un militant comme Juan Branco, lui aussi issu du sérail. Idem pour son analyse de ” la couardise des journalistes qui, le sachant, mais craignant le procès d’intention alors qu’ils ont pour rôle d’exposer les puissants, ont renoncé à leur mission, jouant d’inventions pour masquer au lecteur la réalité de ce qui devant leurs yeux se jouait. ” “L’élection de Macron écrit-il encore,  ne doit qu’à ça: une complaisance terrible face à un individu qui avait utilisé tous les leviers invisibles de la petite société parisienne pour se hisser à sa tête et s’imposer au pays. Le viol démocratique qui s’en est suivi aurait pu être évité. “

    Une réalité bien perçue  également  par un très grand nombre de nos compatriotes,  de tous bords politiques. Pour le reste, chacun aura compris que la volonté du RN  de rendre au peuple ses droits et  ses libertés, de redonner à notre pays sa respiration démocratique  n’ a pas grand chose à voir avec les vœux qui sont ceux de l’extrême gauche communiste ou socialo-trotskyste. Mais nous ne nous sentons pas obligés de dire que M Mélenchon et ses amis ont tort quand ils disent qu’il fait jour à midi. 

    https://gollnisch.com/2018/10/19/nerfs-solides-cuir-epais-endogamie-et-viol-democratique/

  • Le libéralisme libertaire, nouvel opium du peuple

    La super classe mondiale ne tient pas le haut du pavé que par la force, sa puissance financière et la sujétion des médias qu’elle lui procure. Il lui faut un corpus idéologique pour justifier sa domination et provoquer l’adhésion : c’est le libéralisme libertaire.

    Pas de domination sans consentement des dominés, et c'est d'autant plus vrai que l'oligarchie au pouvoir est numériquement dérisoire par rapport à la population mondiale, ou du moins occidentale, qu'elle soumet. La force d'un appareil répressif est bien sûr nécessaire et peut suffire un temps, mais aucun système politique et social ne peut survivre sans l'adhésion, au moins passive, d'une masse suffisamment importante de personnes. Et afin de fabriquer ce consentement, pour paraphraser Noam Chomsky, il faut un ciment doctrinal. La force de celui qui tient le système actuel est qu'il n'a justement pas les attributs classiques d'une idéologie : c’est le libéralisme libertaire.

    Alliance de la carpe et du lapin, le libéral libertaire ? Apparemment, tout oppose les deux termes. Le libéral est traditionnellement de droite et se préoccupe d'économie, c'est un partisan de la loi du marché et de son extension perpétuelle. Le libertaire est de gauche et se soucie de libérer l'individu de toute forme de norme et d'autorité, mais il réclame souvent, pour ce faire, la protection des « droits à » par l'État. Le libéral libertaire, à la fois partisan de la loi du marché et des "avancées sociétales"... vote Macron.

    Mais cela ne fait pas une idéologie et en effet le libéralisme libertaire n'est pas un système structuré, avec théoriciens, dogmes figures de proue. Presque personne ne s’en réclame vraiment, sauf Daniel Cohn-Bendit. Il est d'ailleurs le symbole de cette génération de Mai 68 qui, en prenant le pouvoir, a jeter ses idéaux anticapitalistes aux orties et s'est convertie à un libéralisme qui lui permette d'assumer ses désirs personnels. Le « jouir sans entrave » ? C'est un marché colossal.

    Un système très adaptable

    Pour les libéraux libertaires, seuls existe l'individu et l'humanité. Tout le reste (nation coutumes, tabous...) n'est que contingence qu'il convient de déconstruire, de dépasser, au nom d'une part de la satisfaction des moindres caprices de l'individu (notamment sur le plan des mœurs et de l'identité) et de l'extension du marché. L'ensemble des relations sociales et politiques est vu sous le prisme de la relation contractuelle, ce qui explique au passage la judiciarisation croissante des rapports humains dans ce système de pensée. C'est le marxiste Michel Clouscard qui le premier perçu ce phénomène d'autodéfense du capitalisme au sortir de Mai 68 et a forgé le concept de « libéral libertaire ». Un concept et non une idéologie structurée donc, tant le libéralisme libertaire est une dynamique, un mouvement fluide. Et c'est là l'une de ses forces dans son rôle de contrôle des populations ce mode de pensée sait merveilleusement s'adapter aux circonstances, contourner les obstacles que dressent devant lui les traditions et coutumes, frontières et autres réglementations contraignantes.

    Richard Dalleau monde&vie 27 septembre 2018

  • Le vrai problème pour l’entreprise, c’est la réforme de l’Etat

    Le vrai problème pour l’entreprise, c’est la réforme de l’Etat

    Jeudi 18 octobre se tenait la 16e opération « J’aime ma boîte ». A l’origine de cette journée festive lancée sous Jacques Chirac, Sophie de Menthon, la présidente d’Ethic, pour Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance. Extrait d’un entretien qu’elle consacre à Minute :

    […] Lorsqu’un inspecteur du travail se présente dans votre entreprise et sort tout de suite son carnet à procès-verbaux parce que l’extincteur n’est pas à l’endroit où il devrait être, on est très loin du « droit à l’erreur » adopté l’été dernier par le Parlement, mais qui s’avère une vaste blague quand vous vous retrouvez face à l’administration. Il y a un abyme, ou plutôt un mur, semblable au Mur de Berlin, entre ce que le chef de l’Etat voulait et la réalité. Avec le Code du travail tel qu’il est, vous pouvez coincer n’importe quelle boîte aujourd’hui.

    Il faut le simplifier ?

    Ne me parlez pas de simplification : dès qu’ils se mettent à simplifier, ils vous sortent dix pages de plus ! Commençons par arrêter les effets de seuil, qui sont notre spécialité, et diminuons les strates de la fonction publique, dont le statut doit évoluer.

    C’est-à-dire ?

    Je l’ai dit au président de la République cet été : il faut, de façon urgente, dire quelles sont les missions régaliennes de l’Etat. Il fut un temps où une mission de l’Etat consistait à faire des sandwiches dans le TGV ! Aujourd’hui, peut-on m’expliquer pourquoi, pour tondre la pelouse de la préfecture, il faut être fonctionnaire ? Pourquoi le gars qui tond la pelouse de la préfecture doit-il avoir un statut à vie ? Voyons ce qui relève des missions régaliennes et ce qui n’en relève pas, et qui peut être délégué au privé.

    Quel rapport avec la santé des entreprises ?

    Le rapport est que le vrai problème pour l’entreprise, c’est la réforme de l’Etat. Dans un sondage que j’avais fait réaliser auprès des chefs d’entreprise, il leur avait été demandé ce qu’ils voulaient pour leur boîte. Massivement, ils ont répondu que ce qu’ils voulaient, c’est la réforme de l’Etat. Qui paye les fonctionnaires, le train de vie de l’Etat, qui se heurte à lui et à eux, sinon les entreprises ? Il ne s’agit pas du tout de priver les Français d’un service au public ; il s’agit de redonner au privé ce qui peut lui être donné. D’une part parce que c’est bon pour l’emploi, d’autre part parce que dès qu’il y a mise en concurrence, les choses sont mieux faites. Dans le même temps, bien sûr, il faudra en profiter pour revaloriser les fonctionnaires, et revoir les systèmes de primes et de promotions. Les fonctionnaires aussi aiment leur boîte, et même légèrement plus que dans le privé ; certains participent à notre opération, notamment dans les hôpitaux, mais doivent se cacher de leur encadrement. Il y a tout un travail à mener dans ce domaine où s’exprime un sentiment d’être reconnu comme une entreprise.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-vrai-probleme-pour-lentreprise-cest-la-reforme-de-letat/

  • Trump face à l’affaire Khashoggi – Journal du vendredi 19 octobre

    International / Trump face à l’affaire Khashoggi
    Alors que la mort du journaliste saoudien Jamal Khashoggi ne semble plus faire de doute, Donald Trump fait preuve d’une étonnante retenue à l’égard de Riyad…

    Politique / Mélenchon a pris ses gouttes
    Mélenchon reprend ses esprits. Après avoir été dépassés par les événements, le leader de la France Insoumise déploie une défense plus apaisée pour se laver des accusations qui lui sont faites. Pas sûr que cela suffise.

    Union Européenne / L’Italie dans le collimateur de l’UE
    La commission européenne sort le bâton contre l’Italie. Alors que Pierre Moscovici est en déplacement à Rome pour plusieurs rencontres, il a soulevé les nombreux désaccords de Bruxelles face au gouvernement de Matteo Salvini…

    International / Canada : La fumette de Justin Trudeau

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/10/19/26325/trump-face-a-laffaire-khashoggi-journal-vendredi-19-octobre

  • Pour Radio France et Éric Fassin, dans les sciences sociales le racisme anti-blancs n’existe pas

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    « Je rentre dans les crèches et je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands » rappait Nick Conrad, artiste jusqu’alors pratiquement inconnu. Face à la tempête médiatique, le rappeur s’était défendu en expliquant qu’il avait voulu « inverser les rôles de l’homme blanc et de l’homme noir ».

    Des « idées claires », mais pas pour les Blancs

    Régissant à cette polémique, dans Les idées claires, émission hebdomadaire (10 octobre 2018) co-produite par les médias publics France Info et France Culture, le professeur de sociologie à l’université Paris-VIII, Éric Fassin répondait à la question « Le racisme anti-Blancs existe-t-il ? » : « Le racisme anti-Blancs n’existe pas pour les sciences sociales, ça n’a pas de sens. » Concédant que les « insultes » et les « agressions » existent, le sociologue considère qu’on ne peut cependant pas appeler cela du racisme. « Si on commence à reprendre à son compte le discours de l’extrême-droite qui nous dit qu’au fond tous les racismes se valent, on est en train de nier la réalité de l’expérience d’une partie importante de nos concitoyens et concitoyennes », estime-t-il.

    Éric Fassin argumentait sur France Culture : « Être minoritaire ce n’est pas seulement une question statistique, ce n’est pas « combien il y en a », ce sont des rapports de pouvoir. » Pour les sciences sociales, le racisme, c’est à la fois des agressions et des injures, mais avant tout une expérience sociale de discrimination, qui favorise les risques face à l’emploi, face au logement, face à la police, ce dont les Blancs ne souffrent pas.

    Les sciences sociales au service de l’idéologie racialiste

    Depuis une dizaine d’années, dans les départements universitaires français de Sciences humaines, nombre de chercheurs reprennent les grandes théories des gender studies ou des racial studies élaborées aux États-Unis. Ils expliquent que ce qui compte, ce n’est pas l’expérience individuelle, mais l’expérience collective. Ce n’est pas le réel, mais les représentations mentales et sociales.

    Le concept de « construction sociale » ou d’« inconscient collectif » permet d’attribuer toute pensée déviante à un groupe social. On vous enferme dans un groupe d’appartenance – supposé ou réel – en vous attribuant une identité négative ou positive, qui détermine votre pensée. Ainsi, tous les « vieux mâles blancs hétérosexuels » deviennent nécessairement racistes et sexistes. A l’inverse, si vos ascendants furent esclaves, colonisés, exterminés ou si vous êtes née femme, vous êtes à jamais victime. Les indigénistes recourent systématiquement à l’essentialisation pour stigmatiser les « oppresseurs ». Essentialisation qu’ils ne manquent cependant pas de dénoncer dès qu’il s’agit des « victimes ».

    Conclusion : pour une bonne partie sciences sociales, comme pour Radio France, les Blancs sont par essence des oppresseurs, jamais des victimes. Vous êtes prévenus.

    Article paru sur le site Ojim daté du 17 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212336/pour-radio-france-et-eric-fassin-dans-les-sciences-sociales-le-racisme-anti-blancs-nexiste-pas/

  • Le discours d'Alain Escada, Président de Civitas, à la 12e Journée de Synthèse nationale

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    Cette journée a pour thème “Ne laissons pas mourir la France”.

    Et il y a de quoi s’inquiéter, il est vrai.

    Il y a bien sûr la submersion migratoire combinée à la dénatalité des Français de souche à qui l’AFP vient encore ces jours-ci d’affirmer qu’ils doivent faire moins d’enfants pour diminuer leur empreinte carbone et combattre le réchauffement climatique.

    Il y a aussi le niveau inquiétant de nos gouvernants. Qui aurait jamais imaginé qu’un chef de l’Etat organise une fête dans la cour de l’Elysée autour d’un personnage central qui arbore un t-shirt sur lequel est inscrit “Fils d’immigré, noir et pédé” ? Il y a encore ces images du chef de l’Etat dans les Antilles et comme dit l’humoriste métisse Fabrice Eboué, “Dès que Macron voit des Noirs torse nu, il s’émoustille”. Mais, en politique, le désespoir est la pire des sottises, disait Charles Maurras.

    Je voudrais donc vous parler de deux échéances, les élections européennes d’abord, les élections municipales, ensuite.

    En 2019, nous serons invités à voter pour élire les députés du Parlement européen. Et je voudrais vous mettre en garde contre un piège qui nous est tendu. Vous aurez probablement tous appris la nouvelle : l’américain Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump, veut s’occuper de nous et coordonner les populistes de toute l’Europe en vue de nous libérer de l’influence de George Soros. Je ne voudrais pas être désagréable mais la dernière fois que les Américains sont venus nous “libérer”, ils ne sont jamais vraiment repartis, ils nous ont imposé pour des décennies leur “american way of life”, leur coca-cola, leurs hamburgers, leur cinéma hollywoodien, l’OTAN, et des accords économiques à leur avantage. Alors, permettez-moi de douter de l’altruisme de Steve Bannon.

    Surtout quand on apprend la suite.

    Car si Steve Bannon sillonne l’Europe pour proposer à Marine Le Pen, à Matteo Salvini et à tant d’autres leaders politiques de rejoindre son club baptisé sobrement “Le Mouvement”, au bout de quelques recherches, on s’aperçoit que Steve Bannon n’en est pas le fondateur mais simplement le représentant de commerce.

    Figurez-vous que c’est à Jérusalem, en décembre 2016, qu’a été imaginé ce projet, en marge du Sommet de Jérusalem des Leaders internationaux. Un mois plus tard, en janvier 2017, l’un des participants, l’avocat belge Mischaël Modrikamen, ancien président de la synagogue libérale de Bruxelles, déposait les statuts de la Fondation Le Mouvement dont Bannon assure la promotion. Les statuts de la Fondation Le Mouvement désignent Mischaël Modrikamen comme président. Deux autres personnes sont fondatrices : Yasmine Dehaene, son épouse, par ailleurs co-organisatrice du Sommet de Jérusalem des Leaders Internationaux, et Laure Ferrari, une amie très très intime de Nigel Farage.

    Mieux encore, la presse israélienne a relayé un discours de Mischaël Modrikamen, président de la Fondation Le Mouvement, promue par Bannon, au cours duquel il déclare qu’ “Israël est une lumière pour les Nations”. Voilà résumé le programme proposé aux populistes d’Europe…

    Cerise sur le gâteau : Mischaël Modrikamen est aussi le président du parti populaire belge dont l’ancien vice-président est son ami Joël Rubinfeld, président de la Ligue belge contre l’antisémitisme (l’équivalent de la LICRA) et vice-président du Parlement juif européen.

    Voilà donc la nature du Mouvement que nous propose Steve Bannon pour sauver l’Europe et la France.

    Et si Marine Le Pen se dit réservée, Louis Aliot se déclare pourtant très favorable à ce que le Rassemblement National rejoigne la Fondation Le Mouvement. Et je rappelle que Louis Aliot se propose généreusement pour conduire la liste du Rassemblement National aux européennes.

    Serions-nous condamnés à n’avoir le choix :
    • entre le plan A de George Soros et le plan B de Jacques Attali incarné par la Fondation Le Mouvement,
    • entre les médias appartenant à la famille Rothschild, ceux appartenant à Bertelsman et ceux appartenant à Patrick Drahi,
    • entre Cyril Hanouna et Michel Drucker
    • entre Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Eric Zemmour ?

    Et je précise immédiatement que je préfère écouter Zemmour que BHL et que j’ai même un incontestable plaisir à l’écouter clouer le bec d’un chantre du vivre ensemble ou d’une virago du féminisme. Mais lorsque j’ouvre le dernier livre de Zemmour intitulé “Destin français” et que j’y trouve un chapitre sur Saint Louis que Zemmour appelle le “roi juif”, je me dis qu’il y a un sérieux problème. Confirmé par sa conclusion qui lie le sort de la France à celui d’Israël.

    Or, nul ne peut servir deux maîtres à la fois.

    Et ce n’est pas parce que nous refusons à juste titre l’immigration de grand remplacement et l’islamisation de notre pays que nous avons à livrer celui-ci à l’influence d’Israël.

    Je rappelle que l’acte fondateur de la France est le baptême de Clovis par l’évêque Saint Rémi, instaurant le principe que le roi de France est le « Lieutenant du Christ ». Ce n’est pas une circoncision par un rabbin ou un imam.

    Et qu’on ne vienne pas me dire que la solution à tout cela, c’est la laïcité. Dans quelques semaines, les ayatollahs de la laïcité mèneront une fois de plus la guerre aux crèches de Noël. Mais les mêmes se précipiteront pour fêter Hanouccah ou la fin du Ramadan. Leur laïcité, c’est une parodie de religion dont le dogme essentiel est l’anti-christianisme et qui s’est marquée dans le sang par le génocide vendéen, lorsque l’armée de la république organisait les noyades de Nantes ou embrochait les bébés vendéens au fil de la baïonnette.

    Chers amis, comprenez-moi bien.

    Il ne tient qu’à nous de nous libérer de ces chimères et de reprendre notre destin en main.

    Pour cela, il faut déjà cesser de déléguer à des personnes qui servent manifestement d’autres communautés le monopole de représenter publiquement et médiatiquement notre courant de pensée, notre culture, notre patrimoine, notre civilisation.

    Qu’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, la France est une terre catholique, dont les cathédrales font la renommée, dont près de 5.000 communes portent le nom d’un saint ou d’une sainte, et dont des dizaines de milliers de calvaires rythment nos promenades et longent nos routes.

    La France se redressera lorsque le peuple de France s’en rappellera et le revendiquera.

    Par deux fois, en 1789 et en 1968, la folie révolutionnaire française s’est exportée à travers le monde.

    Si la France redevenait fidèle à son baptême, à sa mission, son influence salvatrice s’exporterait également, cette fois pour le bien du monde mais à l’inverse du plan du nouvel ordre mondial et de son messianisme judéo-maçonnique.

    Si Civitas devait trouver les moyens financiers suffisants, nous déposerions une liste aux européennes pour proclamer haut et fort ces vérités.

    Mais une autre échéance est à placer dans notre viseur. Je veux parler des élections municipales de 2020. Car l’enjeu local est essentiel à notre projet de reconquête. Et il faut s’y préparer dès maintenant.

    C’est un enjeu à notre portée, qui s’inscrit dans un retour au réel, à l’échelon le plus naturel de la vie politique, au plus près du quotidien des Français.

    Oui, je prêche pour profiter utilement de ces élections municipales pour organiser des villages gaulois et catholiques, des îlots de résistance, où sauvegarder nos traditions et nos coutumes, et à partir desquels il faudra envisager de rayonner pour organiser la reconquête de notre sol, la patrie, la terre de nos pères.

    C’est au niveau local, sur le terrain, particulièrement dans la France rurale, que se situe notre plus grande opportunité. Il faut s’en saisir avant qu’il ne soit trop tard.

     

  • Avorter, c’est tuer cet enfant né avant la fin du délai légal en Angleterre

    Avorter, c’est tuer cet enfant né avant la fin du délai légal en Angleterre

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    Marche Pour La Vie@MarchePourLaVie

    Angleterre : William est né à 23 semaines, soit 2 jours avant le délai légal d' !
    « Les gens avortent jusqu’à 24 semaines, et regardez William, un bébé bien vivant, donnant des coups de pieds et complètement formé » Anita, maman de Williamhttps://www.mirror.co.uk/news/uk-news/mum-gives-birth-two-days-13418378 

    https://www.lesalonbeige.fr/avorter-cest-tuer-cet-enfant-ne-avant-la-fin-du-delai-legal-en-angleterre/

  • Un nouveau site de diffusion de l’islam radical prônant le djihad découvert près de Dunkerque

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Mardi dernier, le préfet du Nord a ordonné la fermeture du centre chiite Zahra dans la ville de Grande-Synthe, près de Dunkerque, pour une durée de 6 mois.

    Il accuse le lieu de culte de contribuer à « la diffusion de l’islam radical chiite à l’échelle européenne ». Selon le préfet Michel Lalande, le lieu de culte diffuse « des messages légitimant ouvertement le djihad armé ».

    Il ajoute qu’il « se livre en permanence à une propagande », incite « à la haine, à la discrimination et à la violence ». En plus de diffuser le terrorisme islamique, le centre possédait des armes illégales.

    https://fr.novopress.info/212339/un-nouveau-site-de-diffusion-de-lislam-radical-pronant-le-djihad-decouvert-pres-de-dunkerque/