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France et politique française - Page 2255

  • Islamo-gauchisme à l’Université de Lorraine

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    Faire dialoguer les savoirs, c’est innover. Il faut croire que l’adoption de cette devise moderne par l’université de Lorraine était prémonitoire. La semaine dernière, Le Figaro nous apprenait qu’un enseignant s’est justement permis une innovation : il a tout simplement enseigné le contraire de ce qui était attendu de lui.

    Deux mois après les attentats de Charlie Hebdo, Manuel Valls – qui n’était pas encore candidat à la mairie de Barcelone – avait encouragé les diplômes universitaires portant sur l’enseignement de la laïcité. Regrettant que les imams soient formés à l’étranger, il déclarait : « Il faut des aumôniers et des imams français, francophones, qui apprennent le français, qui aiment la France et qui adhèrent à ses valeurs. »

    Le diplôme universitaire « religions, laïcité et inclusion sociale » de l’Université de Lorraine créé il y a à peine un an devait justement répondre à cet objectif. C’est quelque peu raté puisqu’un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.

    Le Figaro nous apprend ainsi que ce professeur affirmait dans son plan de cours que la prétention de cette loi à lutter contre la soumission des filles visait en fait à détourner la laïcité afin de s’en servir pour « humilie[r] les musulmans, et plus largement les ‘racisés’ ». Et il y affirme que l’islamophobie serait « une nouvelle légitimité pour le racisme et le ressentiment anti-arabe » (Qui fait ici l’amalgame entre islam et arabe ?).

    On pourrait plaider la liberté académique si encore son cours avait pour but de d’aborder de manière critique la législation. Mais son enseignement devait justement produire tout sauf un esprit critique. L’objectif affiché par Manuel Valls était bien d’enseigner la laïcité telle qu’elle est, non de la remettre en question en développant le sentiment victimaire chez les imams.

    Depuis la semaine dernière, on parle de dérive. On nous assure que cet enseignant sera remplacé. Malheureusement, je suis certaine que cela se reproduira. Le problème est plus profond qu’une simple dérive individuelle.

    La devise choisie par l’université de Lorraine en est un signe. Certes, elle n’est pas fausse, mais elle illustre bien le dévoiement actuel de l’enseignement qui vante la multidisciplinarité et qui oublie que pour pouvoir faire dialoguer les savoirs, il faut déjà les maîtriser.

    L’université ne répond désormais plus à sa vocation. Elle fait même l’inverse. Alors que l’université de Bologne, plus vieille université d’Europe et première institution à utiliser le terme latin d’universitas, avait pour prétention d’énoncer la norme – elle avait pour devise Petrus ubisque pater legum Bononia mater (Pierre est partout le père des lois, Bologne en est la mère) – les universitaires d’aujourd’hui, adeptes du courant constructiviste, se targuent de déconstruire toutes les normes.

    À commencer par la langue. La plaquette du diplôme universitaire en question est, par exemple, rédigée en langage inclusif. On apprend, par exemple, que la formation s’adresse à « tout.e citoyen.ne intéressé.e« . Bref, de quoi aider les imams étrangers à apprendre le français.

    Alors qu’à la suite de Bologne, toutes les universités auront la prétention d’être des Alma Mater (mère nourricière), l’on vente désormais les séminaires de type anglo-saxon où, à l’opposé des cours magistraux, c’est l’étudiant qui fait le cours par des exposés, des travaux de groupes, des échanges…

    Au niveau européen, on appelle processus de Bologne une initiative des gouvernements européens conduisant depuis une vingtaine d’année à harmoniser les systèmes universitaires. Une des conséquences de ce processus consiste justement dans l’abandon de la transmission de savoirs pour le développement de compétences.

    Ce processus de Bologne a vu le jour à la suite notamment de la déclaration de la Sorbonne, université elle aussi très ancienne. Dans Soumission, œuvre de fiction de Michel Houellebecq, c’est en 2022 que les islamistes prennent le contrôle de ce même lieu. En 2018, en remettant en cause la laïcité dans un cours visant justement à la promouvoir auprès d’imams, on aura déjà fait un grand pas dans l’irréel.

    Dominique Bilde

    http://www.bvoltaire.fr/islamo-gauchisme-a-luniversite-de-lorraine/

  • Images de la mobilisation de soutien à Jeanine Michel, 83 ans, menacée d’expulsion par le maire d’Arles

    Nous avions évoqué ici la scandaleuse tentative d’expulser Jeanine Michel, une veuve de 83 ans, de son Mas de Bourgogne, alors qu’en parallèle on offre des logements aux immigrés arrivés illégalement chez nous. L’affaire se passe à Arles et relève de pratiques mafieuses à relents maçonniques.

    Le 15 septembre, une centaine de personnes est venue soutenir Jeanine. Dont Valérie Laupies, courageuse élue municipale de Tarascon.

    Le reportage en images :

  • Frais bancaires : 6,5 milliards sur le dos des pauvres !

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    Système bancaire ne rime jamais avec philanthropie, loin s’en faut. Que les méthodes soient peu scrupuleuses, tout le monde s’en doutait. Business is business. Mais de là à franchir allègrement la frontière de l’illégalité… Et pourtant, les banques rivalisent d’ingéniosité quand il s’agit de voler de l’argent. Une enquête menée de front par le magazine 60 millions de consommateurs et l’UNAF dévoile les rouages d’un système bancaire prêt à tout pour remplir les caisses, quitte à appauvrir un peu plus ses clients déjà vulnérables financièrement.

    Les pauvres en ligne de mire

    Agios, frais de rejet de paiement, commissions d’intervention… Lorsque le découvert autorisé est dépassé, le couperet tombe et, avec lui, son avalanche de frais liés aux incidents bancaires. Ces sommes montent parfois jusqu’à 700 euros par mois pour les clients les plus en détresse. Difficile, alors, de sortir du cercle vicieux. Mais certaines banques ne s’arrêtent pas là : non contentes de facturer aux clients submergés toutes les lettres de recommandation et autres frais de rejet de chèque sans provision (entre 30 et 50 euros), elles inventent de nouvelles règles de tarification.

    Ainsi, lorsque le solde du compte finit malheureusement la journée en débiteur, la commission d’intervention à 8 euros ne sera pas facturée uniquement sur la dernière opération fatale mais sur toutes celles effectuées au cours des dernières 24 heures. Ce ne sont donc pas 8 euros qui seront facturés au client, mais bien 8 euros multipliés par le nombre d’opérations jugées « débitrices » au cours de la journée. Le groupe BPCE (Caisse d’Épargne et Banque populaire) mais aussi le Crédit mutuel, pour ne pas les nommer, sanctionnent donc le comportement des consommateurs, voire les appauvrissent littéralement. Une folie tarifaire jugée totalement illégale par les deux associations.

    Contrairement aux idées reçues, les victimes principales de ces politiques sournoises ne sont pas les clients en grande détresse financière, protégés par les lois de plafonnement de frais. Pas besoin d’être fiché à la Banque de France pour voir au moins une fois son compte en négatif : la mère de famille célibataire faisant face aux frais de rentrée, le petit chef d’entreprise vivant un mois difficile… Le profil type de la classe moyenne ni riche ni trop pauvre, et surtout bien incapable de se payer le moindre avocat. Selon l’association de consommateurs, ils sont huit millions, en France, à voir leur compte régulièrement dans le rouge. Il suffit d’un rien pour mordre un peu sur le découvert autorisé et se faire immédiatement asphyxier par la banque…

    Et pour cause : les frais liés aux incidents représentent un pactole de 6,5 milliards d’euros chaque année pour les banques. Las, Bruno Le Maire et les principaux représentants des banques ont pourtant eu le culot d’annoncer, début septembre, un plafonnement global de ces frais à 200 euros par mois… Une promesse qui n’engage que ceux qui voudront bien y croire puisqu’aucun contrôle n’est prévu pour sanctionner les mauvais élèves. Comment imaginer une seconde que les banques respecteront cet engagement alors que de nouveaux frais infondés, comme cette règle des 24 heures citée plus haut, font sans cesse leur apparition en toute impunité ?

    De la poudre de perlimpinpin envoyée à la face du gouvernement mais dont les consommateurs sortiront une fois de plus grands perdants.

    Anne de Méric

    http://www.bvoltaire.fr/frais-bancaires-65-milliards-sur-le-dos-des-pauvres/

  • Viktor Orban et l’Union « soviétique » européenne | Par Jean-Michel Vernochet

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    Macron, le 24 août 2017, déclare depuis la Bulgarie que la Pologne « trahit les intérêts européens » (sans préciser lesquels !), ajoutant que l’Union « s’est bâtie sur des valeurs »… Lesquelles précisément, où trouve-t-on le catalogue des ces valeurs ? Sur quoi sont-elles fondées et en quoi sont-elles légitimes ? De la même façon, la Hongrie de Viktor Orban est vouée aux gémonies et ne serait plus un État de droit pour avoir refusé de se plier aux oukases de Bruxelles.

    Les Hongrois doivent en conséquence être sanctionnés et mis au ban de l’Union pour en avoir trahit les « Valeurs » fondatrices ! La Hongrie s’est vue lâchée par le Parti populaire européen (PPE) dont elle est membre, par les Républicains français et aussi, assez curieusement, par le chancelier autrichien Sebastian Kurz appartenant pourtant à cette droite extrême si ordinairement vilipendée. Tous et bien d’autres se seraient ainsi ralliés à la mise en œuvre punitive de l’Article 7. Le Parlement européen, ce 12 septembre 2018, après avoir dénoncé la « menace systémique » que ferait peser la Hongrie sur les valeurs de l’Union soviétique européenne, il revenait aux représentants du peuple européen de réagir en lançant cette procédure, finalement adoptée par 448 contre 197 et 48 abstentions. 

    Les Polonais du parti Droit et Justice se retrouvèrent quant à eux parmi les maigres soutiens des Hongrois, Varsovie étant depuis décembre 2017 également sous le coup d’une même procédure.

    Des valeurs en question

    Question : depuis quand les valeurs des « valeurs » sont-elles des normes juridiques contraignantes, alors que, par exemple, la Déclaration universelle des Droits de l’homme est réputée – à juste titre – n’être que purement déclaratoire ? Et lorsque l’on parle de « valeurs » il est implicitement fait référence à une morale supérieure, quasi transcendante (mais laquelle ? le culte de l’homme divinisé ?), qui justifierait tout et devant laquelle tout devrait s’effacer ou plier. À commencer, dira le St Père, par les « intérêts » des nations cibles de la submersion migratoire.

    À ce stade l’information n’existe plus, elle a laissé place à une propagande éhontée, arme létale contre la pensée et l’intégrité mentale de ceux qu’elle vise. Ainsi l’insupportable matraquage quotidien relatif aux pauvres migrants (on n’ose plus parler de réfugiés, la ficelle malgré sa grosseur a fini par s’user) comme si envahir un pays le portable à la main était un « droit » aussi fondamental que celui d’avorter dans la joie !

    Comme si ces valeurs (équivoques et non définies) étaient des principes irréfragables, et en quoi la disparition de frontières serait-elle une valeur fondatrice de l’Union européenne formalisée dans ou par quel traité ? N’aurions-nous pas été prévenus ? Avons-nous mal lu les indigestes accords de Maastricht et de Lisbonne ? Au demeurant nos gentils migrants (ou envahisseurs, c’est selon) rescapés des flots amers, sont recueillis loin des côtes par des navires spécialement affrétés pour cette mission par des ONG. Associations sergents recruteurs d’un nouveau genre, qui vont jusque dans les villages africains pour y solliciter des candidatures à l’exil doré dans la douce Europe… Avec un risque de naufrage moindre puisque les Aquarius et consorts veillent au grain et croisent en mer sur des routes maritimes bien balisées par les passeurs. Ces organisations dites non gouvernementales sont, à y regarder d’un peu plus près, financées sur fonds publics nationaux et européens… De la pure philanthropie façon Georges Soros, exécutant de haut vol des desseins globalistes de la Maison à l’écu rouge, grand promoteur de révolutions colorés et fervent adepte du regime change… Ou encore, brillant émule de Jacob Schiff, américain issu de germain, autre immense « philanthrope »… bienfaiteur de l’humanité, financeur du Japon dans la guerre de 1904 contre l’empire russe, de Trotsky et de ses sbires new-yorkais protagonistes de la Révolution d’Octobre 1917 !

    Conspiration et paranoïa

    Émettons l’hypothèse aussi conspirationniste que paranoïaque – honni soit qui mal y pense - que Macron n’ait été choisi, nommé et coopté (mais non pas élu au sens primitif) que pour devenir le Merkel français afin d’accomplir au pas de charge le Plan de mutation sociétale, (l’adaptation de l’Hexagonie aux normes du mondialisme politique) et dans ce but, accélérer le changement de population. Un Grand remplacement nécessaire pour casser la matrice ethno-historique, ethno-confessionnelle et culturelle, gréco-latine et chrétienne ayant engendré la civilisation occidentale.

    Cette phase IV du grand projet mondialiste consiste à détruire les nations et en finir avec l’État nation… « le verrou qu’il convient de faire sauter » ainsi que le confessait Edmond de Rothschild dans le numéro 775 du 18 juillet 1970 de« L’Entreprise », la future revue l’Expansion. De la sorte que, dans une remarquable continuité d’esprit et d’action, M. Macron a pour sa part été nommé - ce n’est pas une supposition mais une affirmation – avec l’objectif prioritaire de réaliser en France ce qu’a si bien accompli frau Merkel en Allemagne… 8 millions d’immigrés depuis 2011 ayant franchi les frontières de l’Allemagne réunifiée et pas seulement 1 million en 2015 comme le susurrent les médias. Des masses humaines qui inéluctablement vont essaimer à travers le sous-continent.

    Éléments de preuve

    M. Macron devient le 26 août 2014, ministre de l’Économie dans le gouvernement Valls II. Deux ans plus tard, le 30 août 2016, il démissionne de ce poste pour se consacrer à son mouvement politique En marche qu’il a créé à Amiens le 6 avril précédent. Le 8 mars 2016 le Journal officiel publie une loi - N°2016-274 - dont la caractéristique est d’être fortement incitative à l’immigration sauvage… Que la presse persistait encore à cette date à présenter - contre toute vraisemblance - comme exclusivement composée de victimes fuyant les désastres de la guerre… en particulier des Syriens tentant d’échapper à la barbarie d’Assad le boucher.

    Une dénomination qui a fait long feu : on parle maintenant à tout va de « migrants » parce que le mensonges à ce sujet doivent encore être badigeonnés d’une pellicule de recevabilité. Au reste, en tant que détenteur du portefeuille de l’Économie, M. Macron ne pouvait ignorer l’existence et la teneur d’un texte dont la rédaction (soumise à une omerta sans faille, le Front national ne faisant pas exception) avait coïncidé avec son arrivée à Bercy… Lors du vote final de cette loi à l’Assemblée nationale, l’hémicycle était quasiment vide : un seul député de l’opposition [un Républicain] pour une dizaine de socialistes, tandis que les deux députés d’extrême droite brillaient par leur absence… Ceci en dit long sur la nature du système !

    Insistons sur l’idée que le fantoche Macron n’a été propulsé au sommet que pour exécuter en France l’un des volets d’un authentique ethnocide visant à terme l’ensemble du monde blanc… les May, les Merkel, le Canadien Justin Trudeau, nouvel ami du sieur Macron, accomplissant chacun leur part du travail dans leurs pays respectifs. Comprenons que les stratèges de la gouvernance mondiale en gestation, sont les Machiavéliens que décrivait en 1949 James Burnham, ancien compagnon de route de Léon Trotsky (et néoconservateur avant la lettre). Des gens qui sont des prévisionnistes hors pair et des adeptes de la planification tout en s’inspirant des travaux de Gustave Le Bon sur la psychologie sociale appliquée à la manipulation des masses.

    Parmi les pionniers dans le développement moderne de cet art de la guerre, mentionnons le soviéto-français Serge Tchakhotine avec « Le Viol de foules par la propagande » 1939, et le neveu de Freud, Edward Bernays « Propaganda » 1928. Le monde étant petit, le commissaire européen Pierre Moscovici est né d’un père psychanalyste dont la carrière doit beaucoup à l’exploitation de l’œuvre de Gustave Le Bon. Ces gens ayant sur l’indigénat européen N coups d’avance, nous sommes perpétuellement condamnés à nous échiner - en vain - à démêler les fils du réel… Reste que nous flottons dans un éther ne pouvant jamais atteindre le plancher des vaches - même s’il nous saute au visage et aux yeux - parce que nos regards sont en permanence brouillés par des considérations sidérantes et incapacitantes : le terrorisme intellectuel des droits de l’homme, le lourd héritage d’une charité chrétienne à présent largement dévoyée et même – last but not least - la Shoah désormais mobilisée et mise à contribution à la suite du Vatican pour mieux nous culpabiliser et nous tétaniser en faveur de l’accueil ad libitum !

    Nous broyons le vide pour essayer de comprendre les événements qui nous affectent, tout en refusant de tirer les conclusions des faits qui pourtant devraient nous sauter aux yeux et s’imposer à tous.

    Est-il un instant envisageable de mettre en équation « intérêts » vitaux et « valeurs » ?

    À entendre saint Macron nous assener que : La Pologne « décide d’aller à l’encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets… [or] l’Europe s’est construite pour créer de la convergence… elle s’est construite sur des libertés publiques qu’enfreint aujourd’hui Varsovie [lire en ce mois de septembre 2018, Budapest]… Ce détachement à l’égard d’une Europe qui n’ose plus avoir de l’ambition donne place à ceux qui foulent au pied les valeurs européennes ». Nous devrons comprendre qu’effectivement la Pologne et la Hongrie défendent des intérêts nationaux qui ne coïncident pas ou plus avec ceux de l’Europe soviétisée… Cette Europe si pétrie de Valeurs libérales !

    Parce que c’est bien là que le bât blesse : M. Orban serait un démocrate illibéral ! Valeurs ne n’oublions pas qui supposent a priori la disparition des nations et des peuples qui la composent. Qui ne voit que la bureaucratie bruxelloise (vampirique et parasitaire), ne représente qu’elle-même et les intérêts messianiques ou les appétits de puissance d’une poignée d’oligarques membres de l’État profond internationaliste, mais surtout en aucun cas les intérêts primordiaux de sécurité et de prospérité des pays réels vivant sur le Vieux continent… Lesquels se trouvent de plus en plus étroitement soumis au terrorisme de la « correction politique », à la pression lancinante des administrations fiscales et à la dictature hygiéniste.

    Du mépris à tous les étages

    De ce point de vue, les intérêts concrets, matériels et moraux des peuples européens ne comptent pas ou n’existent pas face aux intérêts éthiquement supérieurs guidant les bureaucraties européistes… celles-ci n’existant que pour réaliser la République universelle et accomplir un fumeux idéal de paix dans, et par, la fusion magmatique des nations et subséquemment, afin de parvenir à l’assomption eschatologique de l’humanité souffrante. Des chimères qui se nourrissent du sang et de l’âme des hommes. Ce pourquoi, gageons que bientôt le système en perte de vitesse, après avoir livré sans répit une guerre médiatique et juridique de tous les instants à la dissidence intellectuelle et politique (en condamnant depuis des lustres à la mort sociale - quand ils ne sont pas durement frappés par des lois scélérates - les déviants et autres esprits rétifs à la zombification de masse), devrait très vite durcir sa répression contre les récalcitrants à l’invasion et au suicide collectif…

    Soit tous ceux qui s’opposent aux dérives totalitaires du politburo bruxellois (le directoire non élu de l’Union dite européenne, l’Eurasia orwellienne) et ses vingt-huit Commissaires politiques. Le discours du sieur Macron prononcé à la Villette le 1er mai 2017 était sur ce point assez explicite : « Ils sont là, ce sont eux nos vrais ennemis, puissants, organisés, habiles, déterminés. Vous les croisez dans les rues, dans les campagnes, sur la Toile, bien souvent masqués, aussi haineux que lâches. Vous les connaissez. Le parti des agents du désastre, les instruments du pire : l’extrême droite française ». La France profonde en quelque sorte.

    Et à Paris, le 29 juin 2017, lors de l’inauguration de la Station F, laquelle rassemblait un millier de start-up, il vise cette fois la France d’en-bas : « Une gare, c’est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien ». Un aveu d’indicible mépris pour la plèbe, dédain qui ne doit rien à la maladresse. D’abord parce que ces petites phrases assassines à répétition sont très vraisemblablement des éléments de communication concoctés par les spin doctors (communicants de choc) élyséens et délivrés avec une délectation sensible. De la même façon la plupart des bourdes de son prédécesseur n’en étaient pas, mais formaient de sournoises réjections soigneusement calculées et pesées.

    Saluons au final la grande cohérence et la réelle continuité du discours macronien qui se réduit à quelques éléments de langage, toujours les mêmes et invariablement insultants que le roitelet Macron ressasse inlassablement, de préférence depuis l’étranger, son lieu de prédilection pour cracher dans la soupe hexagonale … On se souviendra de sa dénonciation des « crimes contre l’humanité » liés à la colonisation dénoncés à Alger le 14 février 2017 (ce qui le conduit aujourd’hui – en toute logique – à réhabiliter un militant communiste traître à sa patrie parce qu’affidés aux égorgeurs du FLN).

    Résistance à la zombification

    De la même façon, le 8 septembre 2017, dans les jardins de l’École française d’Athènes, il réaffirmait sa volonté de réforme mais en des termes singulièrement déplaisants : « Je serai d’une détermination absolue, je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes ». À qui s’adressait-il donc ? Aux « gaulois » moqués récemment à Copenhague, au vulgum pecus, aux sans-dents chers au gugusse Hollande, au pékin de base, aux « gens de rien » ? Tous des fainéants, des cyniques, des populistes en puissance… Ajoutant : « Je l’ai souvent dit et je le disais il y a quelques semaines en Roumanie. D’aucuns faisaient semblant de découvrir cette forme de provocation que j’assume. La France n’est pas un pays qui se réforme. Il ne se réforme pas… parce qu’on se cabre, on résiste, on contourne. Nous sommes ainsi faits ». Le « nous » est évidemment de trop. Une clause de style qui ne dissimule pas le vrai sens de la phrase et la destination du trait venimeux.

    M. Macron n’y va certes pas par quatre chemins quand il exprime sa rancœur et son impatience à l’égard des Français peu empressés à le suivre sur les sentiers de perdition où il les engage à le suivre. Au fond Macron est frustré dans son désir de satisfaire ses commanditaires en réformant le pays contre vents et marées. Notons que cela fait cinquante ans que l’on réforme à tour de bras avec le succès que l’on voit ! De ce point de vue, M. Macron n’a fait qu’emboîter le pas aux Pompidou (lui aussi directement issu de l’écurie Rothschild), Giscard, Mitterrand, Chirac et Sarkozy lorsque ce dernier, le 17 décembre 2008 à l’École polytechnique de Palaiseau, tançait vertement ceux qui se refusaient au métissage décrété obligatoire. Mixité sociale et raciale qu’il entendait imposer, si besoin par la force de la loi. Bref, lieux analogues, même ton tranchant dans la forme et sur le fond même thématique : « Fermez-la, le progrès est en marche ; j’incarne ce progrès et sa vérité ». Grande transformation dont M. Macron serait le grand prêtre et Attali son prophète… Sarkozy après Palaiseau, joignant le geste à la parole, durant les cinq années de sa présidence, aura ouvert les portes de l’Hexagone à plus d’un million d’immigrés et autant d’illégaux. Comprenons que cette politique génocidaire pour nous, représente en fait pour nos cryptarchies avides de planétarisation, une urgence primant à l’absolu sur toutes autres considérations, notamment budgétaires !

    Enfin, faut-il croire M. Macron lorsqu’il affirme que, les Français étant fermés aux réformes, il se propose d’engager : « Une transformation profonde de la France… sans brutalité, avec calme, avec explication, avec sens… La capacité de la France à se transformer, c’est sa capacité démontrée à transformer l’Europe dans le même temps » ? Car si les Orban et les populismes actifs se multiplient en Europe, M. Macron risque fort d’être de plus en plus profondément déçu… Pour ce qui nous concerne, nous resterons évidemment réservés quant à l’absence de brutalité dans la conduite des Affaires de M. Macron comme en témoigne le choix de ses intimes prompts au coup de poing… M. Benalla par exemple !

    Un dernier mot pour rappeler que si Macron est un imposteur, l’édifice démocratique est également en soi une imposture en soi, de plus en plus visible, de plus en plus criante. À ce titre Macron aura eu l’immense mérite de déchirer le voile de Maya et de jeter une lumière crue sur l’imposture structurelle du système.

    - Jean-Michel Vernochet  16 septembre 2018
    Geopolintel.

    https://www.leretourauxsources.com/blog/viktor-orban-et-lunion-sovietique-europeenne-par-jean-michel-vernochet-n2586

  • La conférence d'Alain Escada sur la préférence nationale dite à Chambéry

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  • Contre le règne des partis, quelles institutions ?

    Les partis politiques sont épuisés, si l'on en croit le nombre d'adhérents à jour de leur cotisation, et l'opposition, sous ses diverses étiquettes, ne semble pas mieux se porter que le mouvement du président actuel : la seule évocation du cas du parti des Républicains, qui est censé regrouper les restes des formations qui se réclamaient du gaullisme et de la droite conservatrice ou libérale, est éloquent, comme le démontre un article paru dans le quotidien L'Opinion ce lundi 24 septembre 2018, sous le titre « A Paris, à peine 6 % des adhérents LR ont moins de 30 ans » : sur 6.099 adhérents parisiens (pour une métropole de plus de 2 millions d'habitants...), certains arrondissements comptent moins d'une dizaine de membres anté-trentenaires ! Et pourtant, ce parti est considéré comme le parti modéré le plus représentatif de la Droite et celui qui peut être appelé à diriger à nouveau le pays dans quelques temps. Mais que dire, aussi, du Parti Socialiste, encore au pouvoir il y a deux ans, ou des autres partis dits de gouvernement ? Quant aux partis contestataires, leurs effectifs ont fortement diminué depuis leurs échecs respectifs de l'année 2017, année durant laquelle le « dégagisme » a porté M. Macron à la présidence de la République, sans troupes véritables mais avec des ambitions certaines.

    Et pourtant ! La démocratie représentative contemporaine accorde aux partis une place prépondérante, au point que l'on peut supposer que, dans ce système, la démocratie est bel et bien, et uniquement, le règne des partis et de leurs servants, mais aussi de leurs financiers et commanditaires. Cela peut pourtant sembler exagéré et illogique au regard de la faible adhésion à ces partis et de la vacuité de leurs programmes, réécrits à la veille de chaque élection, au gré d'une adaptation permanente qui apparaît plus comme une nécessité électorale que comme un engagement vraiment politique... Il y a de quoi être perplexe devant les réunions d'avant-campagne durant lesquelles il est fait appel aux propositions des militants, celles-ci étant, en définitive, supplantées par des textes rédigés par des comités d'experts ou des technocrates, voire par des communicants pour lesquels la forme importe plus que le fond : en fait, il s'agit de conquérir le pouvoir, parfois sans idée précise de son exercice, ce que signalait, en son temps, François Mitterrand dont le livre fameux (et terriblement bien écrit tout autant qu'injuste pour le fondateur de la Cinquième République...) « Le coup d’État permanent » trouvera sa meilleure illustration durant le double septennat (1981-1995) de l'ancien lecteur de L'Action Française et rédacteur du bulletin royaliste L'Action angoumoise des années 30...

    Le ras-le-bol français s'exprime souvent par une forme, plus verbale qu'active, d'antiparlementarisme et d'antipartisanisme qui, pour être compréhensible, n'en est pas moins proprement inefficace, et cela depuis fort longtemps, ne trouvant pas de débouché politique et confinant à une forme de désespérance qui, en définitive, permet au système d'éternellement perdurer sans trop d'inquiétude... L'abstention, que certains revendiquent comme une forme d'action politique de désaveu du système politicien, si elle peut être parfois fort sympathique et légitime, reste désespérément sans effet sur les politiques menées et les institutions : elle est juste révélatrice du malaise, et elle est évoquée en début de soirée électorale pour être totalement oubliée la minute d'après... Constatons qu'elle représente presque 60 % aux élections européennes sans que cela n'empêche ni la légitimation des élections ni les déclarations de victoire des partis, ni les élus de se déclarer les seuls représentants de la Vox populi, ceux ne votant pas (ou plus) étant renvoyés à leur « absence » et au silence.

    La tradition royaliste ne refuse pas les partis, mais elle s'inquiète du règne de ceux-ci sur l’État, règne consubstantiel à la démocratie représentative : c'est une des raisons fortes de la nécessité royale pour la magistrature suprême de l’État, ainsi libérée des jeux de partis et des alliances politiciennes par la transmission héréditaire, la naissance ne s'achetant pas et le nouveau-né ne se choisissant pas plus que le jour de la mort de son prédécesseur n'est connu, a priori, de celui-ci et des autres... Cette « incertitude temporelle » qui est bien encadrée par des lois fondamentales de succession tout en restant profondément liée à la nature de l'homme elle-même, est sans doute une manière simple, la plus naturelle qui soit, de ne rien devoir aux partis et d'être le recours à ceux-ci lorsque la situation leur échappe et que le pays est menacé. 

    Ainsi, au regard de l'histoire tragique de la France au XXe siècle, s'il y a bien eu un de Gaulle en juin 1940 pour dépasser la défaite, il a manqué un roi en novembre 1918 pour gagner cette paix qui aurait permis d'éviter les malheurs du printemps 1940, malheurs dont les partis se sont vite exonérés en refilant le pouvoir défait à un vieux maréchal qu'ils étaient allés chercher dans son ambassade de Madrid...

    Bien sûr, la Monarchie n'est pas un « sceptre magique », mais elle autorise à penser à une forme de démocratie qui ne doive pas tout aux partis, et qui n'en soit pas la prisonnière et, parfois, la victime expiatoire.

     http://nouvelle-chouannerie.com/

  • I-Média n°217 : Y-a-t-il un racisme anti-blanc ?

    Nick Conrad, Y’a-t-il un racisme anti blanc ?

    « Je rentre dans les crèches, je tue les bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents », ce sont les paroles du rappeur Nick Conrad dans sa chanson PLB. Les journalistes tombent des nues, le racisme anti blanc existe.

    Le Zapping d’I-Média

    Frédéric Taddeï est arrivé sur RT France jeudi 27 pour son émission quotidienne Interdit d’interdire. Sur France Inter, au micro de Sonia Deviller, l’ancien journaliste de France télévision souligne l’absence de débat à la télévision française. Pour exercer ce qu’il a fait pendant dix ans, Frédéric Taddeï est donc obligé de s’exiler sur une chaine Russe.

    Mariage homo, PMA homo, En marche, en avant !

    Le conseil national d’éthique rend son rapport et se déclare favorable à la PMA pour les couples homosexuels. Enfin ça bouge ! se réjouie libération. Une fois de plus, le débat est truqué, biaisé par les accusations d’homophobie.

    Les tweets de la semaine

    La parodie dans le viseur de plusieurs députés LREM. Le « Journal de L’Élysée », un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés. Ils réclament la suppression du compte twitter et accusent le compte de propager des fakenews. Mais dans cette histoire, il est à se demander si les députés ne parodient pas la démocratie.

    Ornellas, Bastié, Consigny, Moix, la semaine de Clash et bad buzz,

    Une semaine de clash et de bad buzz dans les médias, des pseudo « dérapages » qui fixent bien la ligne rouge à respecter pour exister dans la sphère médiatique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/28/25986/i-media-n217-y-a-t-racisme-anti-blanc

  • DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018 : TOUS À RUNGIS (94) POUR LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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    NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !

    Chaque jour qui passe confirme nos pires craintes, Macron et sa clique ne sont que les petits serviteurs du mondialisme. Ils ne sont que les exécutants serviles de la finance arrogante chargés de liquider ce qui s’appelle encore « la France »…

    Leurs objectifs : la destruction des nations et des civilisations et l’édification d’un vaste espace aux dimensions planétaires dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs interchangeables juste bons à enrichir les multinationales. Ils veulent un monde uniformisé, sans identités et privé de libertés. Un monde issu du grand brassage des populations déracinées. Un monde dans lequel les Soros et autres Attali seraient les maîtres à penser incontestés… Un monde dans lequel la Goldman Sachs et les autres institutions financières apatrides feraient la pluie et le beau temps…

    Eh bien, il se trouve que ce monde-là, nous n’en voulons pas. Un peu partout en Europe et ailleurs les peuples se réveillent. En Hongrie, en Autriche, en Flandre bien sûr, mais aussi en Italie, en Allemagne, en Grèce et même en Suède, la riposte populaire s’organise et s’amplifie. De manifestations en élections, les mouvements de résistances nationales et identitaires commencent à faire trembler la trahison.

    Aujourd’hui, deux conceptions de l’Europe s’affrontent : celle de la soumission, incarnée par Macron, la Merkel et leurs semblables d’un côté et, de l’autre, celle des Droites nationales, sociales, populaires et identitaires qui n’entendent pas laisser l’hégémonie mondialiste asservir les peuples.

    La France ne doit pas rester en dehors de cette nouvelle croisade salvatrice. Avec les autres peuples d’Europe nous devons entamer la reconquête de notre continent menacé. Les forces nationales et identitaires doivent se rassembler, nous avons perdu trop de temps. Assez d’égarements, assez d’aveuglement, reprenons en mains notre destin, ne laissons pas mourir la France !

    C’est dans cet esprit que nous organisons notre 12eJournée nationaliste et identitaire à Rungis le dimanche 14 octobre 2018. Nous comptons sur votre présence à tous…

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

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  • Le chef de la police de Rodez poignardé par un individu interpellé 42 fois pour violence

    Le chef de la police de Rodez poignardé par un individu interpellé 42 fois pour violence

    Le criminel qui a poignardé le chef de la police à Rodez avait été interpellé 42 fois pour des faits de violence.

    Alexandre Dainotti, réputé violent, avait menacé à plusieurs reprises le maire de Rodez Christian Teyssèdre et proféré des menaces de mort à l’encontre de fonctionnaires de la ville. D’après la mairie de Rodez, il a tendu jeudi matin un guet-apens à Pascal Filoé : alors que celui-ci quittait la mairie pour se rendre à une réunion, l’homme, qui l’attendait dans une ruelle, lui a sauté dans le dos. Il a alors été frappé à coups de couteau, à 9 reprises. Pire : placé en garde à vue, le suspect se serait vanté d’avoir tué sa victime.

    Dainotti n’a jamais été sanctionné ou verbalisé par les agents municipaux. Un jour, il a croisé le maire et Pascal Filoé dans une rue, et les a menacés tous deux de mort.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-chef-de-la-police-de-rodez-poignarde-par-un-individu-interpelle-42-fois-pour-violence/