France et politique française - Page 246
-
Le Bistrot du PdF - Septembre 2024 (avec @DalDec)
-
Tout se ligue contre les commerces de centre ville
Plus 35 % de fermetures de commerces à Bordeaux, entre 2023 et 2024. Mais il n’y a pas que Bordeaux. C’est bien l’ensemble du tissu des petits commerces qui se meurt dans les centres villes. Officiellement, les entrepreneurs ne se relèvent pas de la période Covid. En réalité, toutes les mauvaises planètes sont alignées pour eux. Le « Quoi qu’il en coûte » mal géré, nous l’avons déjà dit au RPF, mais également le trop plein de taxes, de normes, qui rendent difficiles les embauches, les travaux, l’approvisionnement.
-
« Normalement » : ce mot terrible du père de Philippine
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
CRA de Nîmes : un juge remet en liberté pour “raisons médicales” un dangereux migrant tunisien sous OQTF connu au TAJ pour viols… Il en aurait profité pour enlever, séquestrer et violer quelqu’un dans la région de Nantes
Une affaire qui présente des similitudes avec la mort de Philippine qui a bouleversé la France. Amouna.B, un Tunisien de 19 ans sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), est recherché pour enlèvement, séquestration et viol.
-
Quand Lapix s’affole…
Le monde médiatique aux ordres se voit de plus en plus et on en mesure toute la réalité avec le meurtre de Philippine. Immédiatement des contre feux se sont allumés. L’un pour expliquer que les migrants, on ne peut pas les renvoyer à cause du prix que cela nous coûterait. Et on assiste à une Anne-Sophie Lapix, jamais en reste, demander à Bardella où il trouve l’argent pour expulser tout le monde, le tout en ne le laissant pas répondre. On se pince, tellement la réponse est évidente : sur les crédits qui servent à leur entretien. Même si leur expulsion coûte, une fois qu’ils ne sont plus là, ils ne coûtent plus rien.
-
Philippine : Comment nos élus ont organisé l’impunité de masse!!
Condamné à 7 ans de prison en 2019 pour un viol, Taha Oualidat était sorti avant la fin de sa peine, libéré par un juge d’application des peines. Criminel reconnu et en situation irrégulière, il avait été immédiatement placé sous OQTF et envoyé en centre de rétention administrative à Metz, début juin, en attendant son expulsion. Seulement, le Quai d’Orsay a tardé à obtenir le laissez-passer consulaire, indispensable pour l’expulsion vers le Maroc.
-
Gouvernement Barnier : le gouvernement « Titanic » ?
"Avant Emmanuel Macron, c'était de droite ou de gauche, même résultats... Avec Emmanuel Macron, c'est en même temps droite et gauche, mais toujours mêmes résultats".
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés (propos recueillis par Guirec Sèvres).
Que penser des dernières semaines politiques en France après la dissolution et l’attente d’un nouveau gouvernement ?
-
La France et le Maroc ont signé en 2020 un accord pour le retour des mineurs non accompagnés mais il n’est pas appliqué car l’administration française estime que “les structures d’accueil au Maroc ne sont pas adéquates”
A l’époque de son premier viol, Taha O n’a pas été reconduit au Maroc.
La législation française stipule que les services de l’État ne peuvent pas expulser un enfant de moins de 18 ans sauf accord bilatéral spécifique.
-
OQTF trop coûteuses ? Quand Bardella rive son clou à Lapix
-
LA FRANCE ÉCLATÉE…
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Les mois que nous venons de vivre ont été riches en événements. Qu’il s’agisse des deux grandes élections du début de l’été, de la grotesque et coûteuse mascarade censée honorer la culture française lors de l’ouverture des JO ou encore l’interminable tragi-comédie de laquelle est sorti finalement le très consensuel Michel Barnier (qui, à l’heure où j’écris ces lignes, n’a toujours pas arrêté la composition de son gouvernement), sans oublier la multiplications des actes de violence liés, pour une bonne part, au trafic de drogue ou à l’absence totale d’inhibition chez un certain nombre d’individus issus de l’immigration… Tous les indices de la putréfaction avancée du Système se trouvent réunis. Après sept années de "macronie", la France est profondément divisée