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Tout le monde ne connait pas encore assez Manon Aubry, cette eurodéputé de La France Insoumise, qui déteste les Français et ne perd jamais une occasion de cracher sa haine, que ce soit contre les patriotes, les Français ou Israël.
Elle a démontré à plusieurs reprises qu’elle ne supporte pas le contradiction, qu’elle ne supporte pas le pluralisme, qu’elle ne supporte pas le débat et éructe ses insultes dès qu’elle n’est pas d’accord avec un des ses opposants (ennemis à abattre ?).
Les policiers ont procédé à des arrestations après avoir mis la main sur un chauffard qui, dans sa fuite, a répandu ce lundi son butin. Ces individus de 23 à 43 ans sont soupçonnés d’appartenir à un réseau d’importation de drogue.
Ce ralentissement, lié à la baisse de demande dans les secteurs agricole et BTP, inquiète les syndicats et sous-traitants locaux.
le 20/12/24
La dernière fois qu'une telle situation s'est produite, c'était lors de la crise des subprimes en 2007-2008.
Voir le géant Manitou impacté aujourd'hui est un signal avant-coureur particulièrement inquiétant. À Ancenis et dans les villes alentour, l'économie locale dépend presque entièrement de cette entreprise, véritable pilier qui fait vivre une ville entière et soutient un réseau impressionnant de sous-traitants. Avec l'un des taux de chômage les plus bas de France, cette région pourrait être gravement touchée si Manitou venait à flancher. Si Manitou tombe, c’est tout un écosystème qui vacille.
Marine Le Pen, dans une interview au Parisien, affirme se préparer à l’éventualité d’une présidentielle anticipée. Selon elle, Emmanuel Macron serait en position de faiblesse tant sur le plan institutionnel qu’international.
Rejeté et ignoré, incapable de nommer le Premier ministre de son choix, Macron doit partir.
52 % des Français veulent désormais son départ et le jugent entièrement responsable du chaos institutionnel actuel qui s’éternise depuis des mois.
La capitulation de Macron face à un Bayrou déterminé qui s’est imposé à Matignon en dit long sur l’impuissance du chef de l’Etat, devenu une véritable potiche sans aucun pouvoir depuis la dissolution kamikaze de l’Assemblée.
Jeudi, Emmanuel Macron venait apporter un message de soutien de la nation tout entière à nos compatriotes mahorais. Et, malheureusement, comme souvent avec lui, les choses se sont gâtées. Cette journée, sans doute harassante pour le Président, après des heures de vol, s’est achevée par ce qu’on pourrait appeler un « pétage de plombs présidentiel », laissant ainsi une image bien différente de celle publiée sur le compte X d'Emmanuel Macron.
Bayrou consulte les chefs de partis pour constituer son gouvernement, sauf LFI et RN. Le centriste dispose de 36 députés et compte sur sa position pour dégager une majorité, en comptant rallier donc la droite et une partie de la gauche. Le pari est risqué, pour ne pas dire suicidaire. On voit mal les communistes, 17députés, ne pas se liguer avec les LFI, 70 députés. Les 140 RN, avec Ciotti, n’auront que peu de mansuétude à l’égard du maire de Pau qui les ostracise une fois de plus. Que dire des écolos, 38 députés, qui ne devraient pas accorder une grande confiance à ce nouveau gouvernement, surtout si les noms qui circulent pour y entrer sont confirmés. Bertrand, Darmanin, Borne… on voit mal comment les 66 socialistes, pourraient défendre ces faux nouveaux venus et leur programme qui ne devrait pas être bien différents, en matière budgétaire au moins, du précédent… ce que nous écrivions précédemment au RPF. Le projet de budget Barnier risque bien d’être ressorti à la virgule près.
Alors qu’Emmanuel Macron se trouve à Mayotte pour gérer les terribles conséquences du cyclone Chido, la France sera représentée par le chancelier allemand Olaf Scholz au Conseil européen des 19 et 20 décembre. Une situation inédite qui interroge, notamment au regard d’un ordre du jour où dominent les discussions sur un nouveau paquet d’aides financières et militaires à l’Ukraine, alors même que la Cour des comptes européenne, par la voix de son président Tony Murphy, a déjà mis en garde contre une absence de planification et de contrôle dans les dépenses engagées pour Kiev - 160 milliards d’euros pour la seule aide financière depuis le début de l'invasion russe.
L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel : tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance. Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.
François Bayrou sera-t-il l’homme des premières coupes claires dans le fonctionnement de l’Etat ? Ses précédentes alertes sur l’endettement public offrent au Premier ministre l’occasion de passer à l’acte. Lui-même a d’ailleurs admis, mardi devant l’Assemblée nationale, qu’ « il n’y aura pas de redressement sans faire des économies ». Toutefois, son idée saugrenue, lundi soir, d’utiliser un Falcon de la République pour aller présider dans un aller-retour le conseil municipal de Pau n’a pas donné l’exemple de la tempérance budgétaire ni de la lucidité sur les priorités. C’est à Mayotte, dévastée par les ouragans, que l’hôte de Matignon, en quête de proximité avec les gens, aurait été sans doute plus utile.