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France et politique française - Page 2461

  • Aucun compromis avec ces gens là !

    433590952.jpgJean-François Touzé

    Membre du Bureau du Parti de la France

    Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l'arrivée massive de millions d'immigrés sur notre sol national.

    Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d' une culpabilité coloniale de la France.

    Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l'école, l'armée et la mémoire nationale.

    Ils ont, d'années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.

    Ils ont abaissé jusque à les rendre inopérants les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.

    Ils ont cassé l'Etat, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.

    Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.

    Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.

    Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.

    Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d'Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.

    Mis, ces quarante dernières années, à la tête de l'Etat pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli.

    Ils sont responsables et coupables.

    Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron... Ça suffit !

    Notre combat politique est global, total et illimité jusqu'à ce que soit abattu ce Système mortifère.

    Aucune alliance, aucune union, aucun "consensus républicain", aucun compromis avec ces gens là !

  • Tentative d’attentat à Varces. Pourquoi vouloir cacher l’origine de son auteur à l’opinion publique ? – par Aristide Leucate

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    Il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit.

    Il est, comme ça, des séries noires qui s’apparentent à la fameuse formule, attribuée en son temps à Jacques Chirac, selon laquelle « les emmerdes arrivent toujours en escadrille ». Sauf qu’en d’autres circonstances, c’est-à-dire en dehors de l’égorgement intentionnel d’un gendarme lors d’une attaque terroriste, ces fameuses « séries noires » alimentent habituellement et en abondance la rubrique des faits divers de la presse quotidienne régionale.

    Dans la matinée de ce jeudi, une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA (le fameux et légendaire « 7 » à la fière et indestructible devise « de fer et d’acier ») près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset (Isère), non loin de Grenoble, sans, heureusement, que l’on ait à déplorer de victimes parmi les militaires. Et l’auteur de cet acte a fini par être interpellé par les policiers de la brigade de recherche et d’intervention.

    Comme un air de déjà-vu, si l’on en croit Le Dauphiné qui relate que « le 1er janvier 2016, en début d’après-midi, quatre militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne (Varces), en patrouille dans le cadre de l’opération Sentinelle devant la grande mosquée de Valence, avaient été attaqués par un automobiliste qui, au volant d’une Peugeot 307 SW rouge, leur avait foncé dessus, à trois reprises ».

    Il faut être aveugle ou de singulière mauvaise foi pour ne pas voir dans cette réplique au mode opératoire quasi similaire – de la cible militaire jusqu’au véhicule incriminé qui serait une voiture volée de la marque Peugeot – un acte criminel délibéré s’inscrivant précisément dans le contexte de la récente et meurtrière attaque de Trèbes (Aude). Le suspect ayant même proféré des insultes en arabe, il est encore plus malaisé de ne pas en déduire, avec le plus élémentaire bon sens, que nous ne sommes pas en présence d’un mahométan dans ses grandes œuvres djihadiques.

    En résumé, à écouter les principaux médias télévisés, « l’on ne sait rien du profil de l’automobiliste, mais l’on sait que ces actes n’ont pas de caractère terroriste ». D’une manière générale, ce type de commentaire ressortit bien souvent à l’argument d’autorité – parce qu’émis par un média –, voire à la pétition de principe. La valeur à y accorder est donc à peu près insignifiante ou nulle, tant le recours à des notions comme celle de terrorisme, voire d’attentat, s’avère plutôt délicat au regard de notre Code pénal. En d’autres termes, les journalistes, y compris « spécialisés » (ou peu s’en faut), n’y entendent fifre.

    Il convient, en effet, de se reporter aux articles 421-1 à 421-2-6 pour avoir une idée de ce que la société entend réprimer lorsqu’elle incrimine de la sorte tel ou tel agissement criminel commis « en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ».

    Or, on ne demande pas à un journaliste de faire office de juridisme patenté, mais de rapporter les faits avec le maximum d’honnêteté et le minimum de parti pris – sauf, en cas contraire, à annoncer préalablement la couleur, le journalisme d’opinion n’étant pas moins acceptable que celui d’investigation.

    De fait, il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit. En l’occurrence, une approche purement factuelle de l’événement n’interdit pas de tirer explicitement les conclusions qui s’imposent d’évidence. Ainsi, sans s’abriter derrière des périphrases et autres duperies euphémistiques, doit-on considérer que l’homme qui voulait écraser des militaires souhaitait symboliquement attenter à l’État et notamment à sa politique – plutôt pusillanime – d’éradication de l’islamisme hors de ses frontières, notamment en Afrique – des éléments du 7e BCA étaient partis combattre au Mali. La parlure arabisante de l’auteur nous renseigne, qui plus est, sur ses origines extra-européennes, ce qui oblige, volens nolens, à un amalgame d’autant plus salutaire qu’il ose montrer l’ennemi en ses multiples avatars (loup solitaire ou chien de meute).

    Pratiquer autrement relève du mensonge par omission, voire d’une dénégation obstinée et suspecte du réel à des fins clairement manipulatoires et dolosives. Tel est, hélas, l’état pitoyable dans lequel se trouve majoritairement le journalisme nord-coréen européen.

    Aristide Leucate

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

  • Un signe

    Par Hilaire de Crémiers

    Le geste héroïque de celui qui est devenu le colonel Beltrame et qui est honoré par la France entière, comme il se doit, ne peut se comprendre dans sa radicalité que si on lui reconnaît son double caractère de chrétien et de patriote. Totalement chrétien, totalement français, tel est le signe donné. 

    Les Français ne sont pas idiots ; ils ont compris ; et ceux qui savent – et ils sont plus nombreux qu’on ne le croit – n’ont pas pu s’empêcher d’immédiatement faire un rapprochement avec le père Maximilien Kolbe qui a échangé sa vie en 1941 dans le camp d’Auschwitz avec celle d’un père de famille condamné sur un choix arbitraire à périr de consomption.

    À Trèbes, Arnaud Beltrame a réussi à sauver une mère de famille.

    Les mêmes Français qui savent leur histoire malgré la pensée officielle, l’ont spontanément rattaché à cette longue lignée d’officiers et de soldats qui ont affronté l’adversaire face à face, dans la pure tradition chevaleresque, et qui sont la gloire de notre nation, tel un Hélie de Saint Marc pour qui Beltrame avait la plus grande admiration.

    L’homme était de cette trempe. Il vivait lui-même de pareils exemples. Il ne voulait servir naturellement que la France à qui il avait voué sa vie et, depuis quelques années, retrouvant la foi catholique, il s’apprêtait à donner surnaturellement toutes les preuves de l’engagement le plus profond que son mariage devait concrétiser au mois de juin prochain.

    Son parcours d’officier était exemplaire. Sorti major de sa promotion « campagne d’Italie », il avait choisi la gendarmerie où le service sur le terrain en France est permanent, et, là encore, il sortit major de l’école de Melun, promotion « capitaine Gauvenet » ; c’était en 2002. Dans toutes ses affectations, il a été reconnu par ses compagnons d’armes, ses supérieurs et ses subordonnés, comme un homme d’exception, toujours le premier au devoir, au service, au dévouement, à l’amitié. Sa carrure physique peu commune, apte à tous les combats et qu’il cultivait, correspondait à sa carrure morale, soignée par lui, et prête, elle aussi, à toutes les épreuves. Tous ses camarades ont parfaitement compris qu’avec une telle droiture, un tel courage, une telle maîtrise de soi, il ne pouvait faire que ce qu’il a fait. Son geste étonnant n’a pas étonné ceux qui le connaissaient.

    Le sacrifice est venu sceller sa vie et lui donner tout son sens. Sa famille, par son admirable discrétion, ne fait que confirmer la qualité de l’homme.

    C’est un signe pour la France, le signe qu’il lui faut, à cette heure précisément. Il est vain de le dissimuler. Tous les discours officiels, y compris les plus solennels et les plus lyriques, qui exaltent l’acte sans en dire la portée morale et spirituelle, n’en livrent pas la réelle signification. Mais il est vrai que, là aussi, il faut du courage pour l’exprimer, ne serait-ce qu’avec simplicité.

    Eh bien, c’est ce courage dont nous avons besoin. Face à un islamisme barbare qui multiplie les gestes ostentatoires de sa cruauté inhumaine, la France peut et doit opposer un signe révélateur de sa foi, de son espérance et de sa charité. Grâce soit rendue à Arnaud Beltrame. Colonel, merci !   

    Hilaire de Crémiers

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Éric Zemmour : "Les démagogues ne sont pas ceux que l'on croit"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Robert Ménard, européiste, se passera du FN pour les municipales

    Invité sur le plateau de TV Libertés, le maire de Béziers Robert Ménard a annoncé qu’il se passerait du FN et de tout autre parti politique pour tenter de conserver la mairie lors des prochaines élections municipales.

    Au cours de cet entretien, Ménard est revenu sur ce qui le sépare des mouvements nationaux de tous bords : il est européiste et refuse toute remise en cause des institutions européennes. Au passage, il précise qu’il a voté pour Sarkozy aux présidentielles de 2007 et 2012.

    Ménard reconnaît l’échec de son initiative OZ ta droite. Il souhaite une recomposition de la droite mais ne croit pas que Marion Maréchal-Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan y prendront un rôle essentiel.

    Au final, prônant un consensus mou autour d’une soi-disant droite libérale et européiste, Ménard tient un discours qui a de quoi désorienter une grande part de ses électeurs.

  • Des militaires français agressés à Varces, à Castres, à Paris et insultés en langue arabe, d'autres blessés au Mali

    Mais surtout ne pas faire d'amalgame sur la nature de notre ennemi :

    "Le jeune homme recherché depuis ce jeudi 29 mars matin pour avoir foncé en voiture sur des militaires a été interpellé à la mi-journée. Dès 8h du matin, il avait pris pour cible des militaires du 7e bataillon de chasseurs alpins basé à Varces à bord d'une 208 noire. Il avait d'abord insulté deux soldats de retour de leur jogging, avant de foncer sur eux avec son véhicule. Les militaires ont réussi à éviter de justesse la collision et se sont cachés derrière des voitures.

    Il a ensuite pris pour cible un autre groupe de soldats en les insultant cette fois-ci, en arabe, avant de prendre la fuite. La gendarmerie avait alors très vite bouclé le périmètre et confiné les habitants chez eux et les enfants dans les écoles une partie de la matinée. 

    L'homme a été interpellé dans le quartier, réputé sensible, de la Villeneuve à Grenoble. Il a été conduit à la police judiciaire de la ville afin d'être placé en garde à vue, et tenter de connaître les motivations de son geste (...)

    Le maire de la commune de Varces-Allières-et-Risset indique par ailleurs à France Bleu Isère avoir pris une mesure de confinement pour les structures recevant du public et notamment les établissement scolaires. "Ces structures sont à cette heure-ci en situation de confinement, tout est fermé. Il n'y a plus d'intrusion dans les bâtiments et cette situation va perdurer, jusqu'à nouvel ordre. Les enfants sont dans des lieux sécurisés et fermés", a expliqué Jean-Luc Corbet."

    Hier, nous apprenions que 5 soldats français ont été blessés par un tir de mortier à Kidal au Mali et qu'un homme avait foncé le 26 mars en voiture sur une section du 8ème RPIMa à Castres.

    Et le 23 mars dernier, une autre agression contre un militaire de l'opération Sentinelle avait eu lieu :

    "Un légionnaire a été attaqué par un individu alors qu’il patrouillait en Gare de Lyon à Paris dans le cadre de l’opération Sentinelle. Plusieurs coups de poing dans le dos. Selon nos informations, un individu a soudainement attaqué la patrouille composée de quatre militaires en frappant à de nombreuses reprises l’un d’eux et en criant « Allah Akbar !Enculés de militaires ! ». Remis à la police. Le légionnaire n’a pas été blessé et l’agresseur a été maîtrisé et amené au sol par les militaires.

    Selon certaines sources, les agressions et attaques verbales contre nos militaires sont quotidiennes. Jusqu'où l'Etat va-t-il tolérer cela ?

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • NON, MONSIEUR BILGER, GÉRARD COLLOMB N’EST PAS UN EXCELLENT MINISTRE DE L’INTÉRIEUR !

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    Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.

    Intervenant sur Radio Classique ce mardi 27 mars, Philippe Bilger a déclaré que Gérard Collomb était un excellent ministre de l’Intérieur si on veut s’en référer au fond, qu’il propose d’excellents projets de loi et qu’il est totalement conscient des dangers… Les bras m’en sont tombés !

    Il avait pourtant bien commencé son intervention en indiquant qu’il était possible de rechercher une qualification pénale pour les fichés S et, tout à coup, patatras ! Je ne sais pas ce qui lui a pris de subitement tresser des lauriers à notre ministre de l’Intérieur ! Il ne s’agit pas, pour moi, d’avoir une posture systématique d’opposition à Gérard Collomb, mais de regarder lucidement son action et, surtout, son inaction.

    Vingt attentats ont été déjoués en 2017 et deux depuis le 1erjanvier 2018, selon les déclarations récentes du ministre. Très bien, heureusement que nous obtenons quelques résultats, mais sur combien en préparation ? Ces chiffres sont relatifs. Les événements de Carcassonne sont venus fracasser cette autosatisfaction affichée en mettant en lumière l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.

    Qu’a fait Gérard Collomb pour faire arrêter les jeunes du quartier Ozana où résidait Radouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, qui ont crié leur soutien au terroriste face aux policiers venus sécuriser le quartier ? Rien. D’une façon plus générale, que fait-il pour reconquérir les zones de non-droit, quartiers où pullulent les trafics, les bandes de délinquants et où s’est imposé un islam radical qui nous mine ? Rien. Le concept de police de sécurité du quotidien censé ramener la sécurité ne fonctionnera pas dans ces conditions. Emmanuel Macron a même précisé que cette réforme « ne consistera pas à remettre en place des postes de police dans les quartiers » Alors ?

    Qu’a fait Gérard Collomb pour réduire les failles juridiques persistantes dans notre dispositif législatif antiterroriste, sur les interceptions de sécurité, les saisies judiciaires, le nécessaire croisement des fichiers judiciaires et de renseignement ? Rien, comme son prédécesseur… Pourtant, ces failles ont été décrites par les chefs de nos services de renseignement lors de leur audition par la commission d’enquête parlementaire sur les moyens mis en œuvre par l’État après le 7 janvier 2015.

    Que fait Gérard Collomb pour faire respecter la laïcité alors que l’état des lieux décrit dans le rapport du préfet Clavreul, paru en février, dresse un constat alarmant de la laïcité en France et du vivre en commun collectif ? Rien, ou plutôt si ! Il rouvre les mosquées salafistes fermées pendant la période de l’état d’urgence. Quand on sait combien il est difficile de savoir ce qui se passe à l’intérieur de celles-ci, les fermetures devraient être définitives. Chassez le naturel, il revient au galop.

    On sait que certains terroristes, qui ont agi notamment au Bataclan, s’étaient infiltrés parmi les « migrants », mais on continue à développer une politique migratoire mortelle pour la France. « La menace terroriste reste très élevée », précise notre ministre, mais il contribue à l’aggraver en ne faisant rien pour interdire le retour de ces djihadistes, et on s’apprêterait même à favoriser leur recueil sur notre territoire, selon M. Castaner. Je m’arrête là faute de place dans ce billet, mais non, Gérard Collomb ne mène pas la guerre intérieure qui nous est déclarée.

    Il n’est pas, Monsieur Bilger, un excellent ministre de l’Intérieur.

    http://www.bvoltaire.fr/non-monsieur-bilger-gerard-collomb-nest-excellent-ministre-de-linterieur/

  • Les panneaux anti-djihadistes de Génération Identitaire à la barre

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    Une enquête a été ouverte après la découverte de sept panneaux de signalisation aux abords de Toulouse, portant l’inscription « djihadistes » barrée d’un trait rouge.

    La direction départementale de la sécurité publique de Haute-Garonne a immédiatement ouvert une enquête pour incitation à la haine raciale.
    A travers cette action, le groupe Génération Identitaire souhaite lancer une alerte pour demander à Jean-Luc Moudenc, le maire LR de Toulouse, de s’opposer au retour des djihadistes partis combattre en Irak et en Syrie.

    Depuis plusieurs jours, ils multiplient les actions pour dénoncer le risque d’attentats que représente ces individus.

    La dénonciation du djihadisme semble donc être devenue aujourd’hui une forme d’incitation à la haine.

    https://fr.novopress.info/

  • La désinformation par le détail : l’arbre qui cache la forêt

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    Bernard Plouvier

    La sous-culture mondialiste, répandue par les seuls media de masse qui comptent (télévision, radio et blogs du net) est une tyrannie de l’éphémère, envisagé comme l’essence même de la vie contemporaine. Le culte de l’actualité combat victorieusement la réflexion sur les causes et les conséquences des événements. Toute crise génère une formidable émotion, entretenue par les media, puis le soufflé retombe et l’on passe à autre chose, en alternant savamment courts instants de tristesse et longs moments de gaité.

    Rien ne doit perturber l’optimisme des consommateurs. Rien ne doit troubler la quête effrénée des petits instants de bonheur, qui est la traduction comportementale de cette vie consacrée à l’évanescent et que l’on peut définir comme « un nihilisme de la réplétion » (une expression empruntée à Cioran). Contrairement à ce que certains philosophes ont écrit, il ne s’agit pas du règne des abstractions remplaçant les despotismes trop visibles du monde politique dont le XXe siècle a montré tant d’exemples. C’est le triomphe du matérialisme, du sentimentalisme et de l’irréflexion, le règne du néant spirituel et de la sous-intellectualisation.

    Les hasards de l’actualité d’un début de printemps glacial illustrent remarquablement cette dérive. Un énième attentat de mahométan dérangé du cerveau a été l’occasion pour un officier supérieur de gendarmerie de se substituer à une faible femme, otage du fou d’Allah. 

    C’est une occasion inespérée pour nos princes de détourner l’attention de l’opinion publique du vrai problème et de faire monter la pression sentimentale, en orientant les trémolos, les pleurs et les gémissements, par l’organisation d’une grandiose cérémonie. On transforme la hideuse réalité de notre France envahie, meurtrie, salie par des fous furieux, en un grand spectacle où l’héroïsme d’un très honorable citoyen, fonctionnaire d’élite et homme de grand courage, sert d’alibi au silence sur le fond du problème.

    Une fois éteints les lampions de la fête de l’union nationale autour de la personne du héros, on oubliera le véritable danger : celui de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale par des extra-européens et le risque ultra-prévisible – quoi qu’en disent de grands experts, nobles universitaires et démographes patentés – de substitution de population dominante d’ici 50 ou 100 ans. Et pour des raisons de simple arithmétique couplée à une triste réalité sociologique.

    En France, la folie furieuse féministe s’abattit après les événements de 1968, dont elle fut un des acquis, apportant la légalisation, puis le remboursement, de l’avortement de complaisance (qui, pratiquement, ne touche que des Françaises de souche européenne), la multiplication des allocations de tous genres aux parasites et aux associations qui prônent les droits des minorités aux dépens de la majorité des citoyens, la non-application des peines prononcées par les magistrats, ce qui définit les régimes de barbarie… on croyait jusqu’alors que le rôle premier d’un magistrat était d’être « au service des victimes », c’est assurément une vieille lubie de « réactionnaire ».

    Saturée de slogans, de romans et de navets cinématographiques lui démontrant que la mère de famille est une « femme exploitée » et que seule la salariée, la commerçante ou la fonctionnaire « s’épanouit », la Française de souche européenne a opté pour la stérilité volontaire ou l’enfant unique - pour les plus prévoyantes : deux rejetons, par l’effet d’une assurance sur le mauvais sort, puisqu’un accident ou une maladie implacable peuvent faire disparaître le premier bambin.

    De façon parallèle, les médecins ont assisté, à partir des années 1980, à une flambée de tabagisme et d’alcoolisme féminins, à une augmentation considérable de la prise de tranquillisants, puis d’antidépresseurs, enfin, dans les années 1990, au recours à la cocaïne chez les femmes hyperactives et d’autant plus angoissées. La femme moderne était née, jouant à l’homme bis, alors qu’elle n’est pas faite pour tenir ce rôle, ni physiquement, ni surtout mentalement. Les couples ont explosé, car madame a prétendu ravir la prééminence à monsieur. De nos jours, un couple français autochtone sur deux explose dans les cinq années qui suivent sa constitution, qu’elle soit officialisée ou non.

    Or, c’est une évidence : sans couple stable sur le long terme, pas de famille possible. Le féminisme a engendré le suicide démographique de l’Europe, sans faire pour autant le « bonheur » de la femme.

    En France, la fécondité de la Française de souche européenne est de 1,6 enfant (ce qui est insuffisant pour renouveler la génération adulte), celle des Maghrébines est de 2,9, celle des Noires africaines de 4,2. Il s’agit de statistiques publiées en 2012, et la seule certitude que l’on aie en 2018 tient à la fécondité autochtone qui reste très basse.    

    De 1995 à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque de drépanocytose ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne, plus exactement d’origine africaine.

    Pour les naissances de l’année 2016, l’on sait (par le rapport de l’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant, consultable sur le Net) que 73,6% des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4% des naissances qui offrent ce risque. Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en-dessous des 20% et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9%. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4% (Hauts-de-France) à 26,1% (Centre).

    À l’évidence et sauf à nier les faits, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille ou Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’ilots de résistance au métissage et au brassage de populations.

    Les États multinationaux ne sont que des coexistences fragiles et instables de communautés non miscibles, surtout lorsque s’y mêle le fanatisme religieux. On ne peut les maintenir en survie artificielle que par la dictature ou grâce à une croissance économique durable. À quoi bon faire courir le risque d’un éclatement qui génère morts et destructions, alors qu’il est si simple de faire respecter le sage principe du chacun chez soi, ce qui définit l’État national.

    La réalité, dans son essence et sa matérialité, de l’Europe occidentale contemporaine est plus que triste. Il s’agit beaucoup moins de la fin, au moins temporaire, des États nationaux, broyés et mixés dans des organismes supranationaux, que de la fin programmée de la race européenne, et c’est bien plus grave.

    Le crépuscule de notre Occident est fait de veulerie, de dévirilisation, de soumission à la propagande officielle et aux politiciens collaborateurs de la toute-puissance de l’islamo-pétrodollar.

    Il est évident qu’il faut impérativement multiplier les sources de ré-information pour les moins sots de nos contemporains, de même qu’il faut se tenir prêt, physiquement, mentalement et matériellement, pour répondre à l’insurrection des envahisseurs s’il leur prend la fantaisie de la déclencher, au lieu d’attendre patiemment la conquête démocratique du pouvoir par l’effet du nombre.