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France et politique française - Page 2485

  • Chez LR il est désormais permis d'évoquer des alliances avec le FN

    6a00d83451619c69e201b8d2e1bef9970c-800wi.jpgThierry Mariani ne sera pas sanctionné pour son appel à des alliances avec le Front national. Dimanche, lui-même se demandait s’il n’allait pas carrément être exclu du parti. 

    "Thierry Mariani a le droit d’avoir un point de vue mais sa position est isolée, il ne peut pas parler au nom des Républicains".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Front National : le nouveau nom sera “le marqueur d’une transformation”, estime l’historien Jean Garrigues

    Pour Jean Garrigues, historien spécialiste de la politique, le nouveau nom d’un parti peut incarner un changement de direction.

    Pour l’historien Jean Garrigues, spécialiste d’histoire politique, “c’est quand même très, très important (…) Le nom est une identité qui a longtemps été idéologique, puis qui est devenue une identité d’objectif politique“.

    Les partis politiques, surtout ceux de droite, sont habitués au changement de nom. La création du RPR par Jacques Chirac en 1974 “avait marqué quelque chose qui voulait rassembler, donc ça peut être l’indication d’un rebond“, explique Jean Garrigues. Mais pour le Front national, “ce sera plutôt le marqueur d’une transformation, d’une nouvelle époque, plus que le catalyseur d’un nouveau départ“.

  • La France rurale, principale victime du racket fiscal anti-automobiliste

  • 263 bébés sauvés de l'avortement

    La coordination internationale des 40 Days for Life informe qu'au samedi 10 mars, 263 bébés à naître ont été sauvés de l’avortement !

    Shawn Carney, président des 40 Days for Life, raconte cette belle histoire qui montre que ces 40 jours pour la vie sont aussi 40 jours de miracles :

    "Il y a une bonne raison pour que la prière et le jeûne soient les fondements des 40 Days for Life : c’est le combat spirituel. L’avortement est un mal. C’est une attaque barbare à la fois sur le corps et l’âme de tous ceux qui y sont impliqués. Nous ne parlons pas très souvent des choses telles que celle que vous allez lire, mais nous avons connaissance de bien des cas ou des protestataires sont venus [contrer les vigiles des 40 Days for Life] avec des images sataniques et ont même invoqué le démon. 

    Après qu’un homme et une femme eurent déposé une de leurs amies devant un Planned Parenthood en vue d’un avortement, place Margaret Sanger à Manhattan, ils s’en prirent aux participants à vigile et les insultèrent. Ils dirent même qu’ils allaient leur jeter un sort.

    Alors qu’ils continuaient à jurer, une femme quitta Planned Parenthood et se dirigea droit vers l’un des volontaires [de la vigile]. « Avez-vous des informations pour les gens qui veulent garder leurs bébés ? », demanda-t-elle. « Je veux garder mon bébé. Je hais cet endroit. Je veux mon bébé ! ». Évidemment, les participants à la vigile proposèrent immédiatement leur aide et mirent la jeune femme en contact avec les Sisters for Life qui gèrent des foyers d’accueil pour les femmes qui veulent garder leurs bébés. « Au milieu de tout ce chaos, déclara le volontaire, Dieu œuvre ». Dieu œuvre, c’est sûr… et Il savait qu’en ce jour, une femme aurait besoin de l’aide de quelques bonnes religieuses."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Contre l'implantation des éoliennes, Alban d'Arguin fait un tabac en Haute-Saône.

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    Alban d'Arguin, "l'homme tranquile qui fait la chasse aux éoliennes et qui rassemble des foules", selon l'expression d'un observateur avisé, peut se targuer d'avoir parfaitement répondu à cette définition vendredi soir à Fallon en Haute-Saône cliquez ici où il donnait une conférence sur l'escroquerie éolienne.

    Près de 200 personnes, parmi lesquelles de nombreux élus locaux, sont en effet venues écouter son réquisitoire argumenté contre ce fléau dangereux, onéreux et, surtout, inutile.... Il faut dire que Fallon, situé entre Vesoul et Montbelliard, est particulièrement menacé puisque un projet d'implantation d'un parc éolien (projet soutenu par quelques édiles locaux peu scrupuleux) risque fort de défigurer définitivement cette charmante petite commune jusque là si paisible et entourée paysages bucoliques.  

    Mais les saccageurs ont sous-estimés la détermination des habitants qui n'entendent pas voir leur ravissant cadre de vie sacrifié (en échange de quelques promesses de pitoyables subventions hypothétiques) sans réagir. Une association particulièrement dynamique, présidée par M. Luc Vermot-Desroches, a été créée. Parmi ses animateurs, on retrouve notre ami Daniel Cavaloti, très apprécié dans la région, qui a eu la riche idée de faire inviter Alban d'Arguin pour présenter son livre "Eoliennes un scandale d'Etatcliquez ici afin d'éclairer les habitants de Fallon, d'Abbenans, l'autre commune menacée, et ceux des villages avoisinants sur ce qui les attend.

    Si l'on en juge par les applaudissements, le nombre de livres vendus et par les témoignages, parfois émouvants, du public, cette conférence à été appréciée et à permis à un grand nombre de participants de mieux comprendre ce qui se trame dans leur dos... 

    Après la réussite de la réunion de Vervin (Aisne), au début du mois de février cliquez ici et avant celle de Bordeaux le 26 avril prochain cliquez là, cette étape en Franche-Comté prouve que les Français sont de plus en plus nombreux, surtout lorsqu'ils sont directement concernés, à prendre conscience de la supercherie dont ils sont les victimes.

    Le combat contre les éoliennes n'est pas seulement un combat pour préserver la beauté de la France, c'est aussi et surtout un combat contre les prédateurs de la finance apatride qui s'enrichissent sur le malheur de nos compatriotes. C'est donc au nom du "beau", du "bien" et du "vrai" qu'il doit être mené. Tels sont les axes du livre d'Alban d'Arguin.

    Synthèse nationale

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    Alban d'Arguin, Mme Edwige, conseillère municipale, et le Président Luc Vermot-Desroches présentant la réunion.

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    Notre ami Daniel Cavaloti, avec son franc parlé, répond à un participant aveuglé par les promesses du consortium éolien.

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    Parmi les nombreux élus présents dans la salle, Christophe Devillers, conseiller municipal de Romchamp et délégué départemental du Parti de la France (ici avec Roland Hélie) est venu en "presque voisin"...

    Dans quelques jours, le film de la conférence d'Alban d'Arguin sera en ligne...

  • CES MIGRANTS QUI FONT LA FINE BOUCHE À CALAIS

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    C’est le bouquet ! Selon les sources, les 350 à 600 migrants du Calaisis – malgré le énième démantèlement de la jungle en octobre 2016 – qui, c’est ce qu’on nous a dit, ont souffert mille morts, et de la faim en particulier, durant leur fuite de pays en guerre, ne veulent pas manger les repas distribués par l’État. Pourquoi ? Pas à leur goût, pas assez épicés, contraires à leur religion ? Pour le savoir, revenons un peu en arrière.

    Étape numéro 1 : le 23 février, le Premier ministre Édouard Philippe annonçait que l’État – comme s’il ne subventionnait déjà pas les associations en place – allait prendre en charge le coût des repas destinés aux migrants. L’objectif étant « d’essayer d’éviter que se reconstituent des situations qui ne sont pas satisfaisantes et essayer de trouver des solutions durables », avait-il expliqué. À savoir empêcher la création de nouveaux camps, encouragée quand ce sont les associations d’aide aux migrants qui s’occupent précisément des repas. Bon.

    Étape numéro 2 : ça se présente mal. Le 5 mars, l’association L’Auberge des migrants (pour Le Huffington Post) liste différents inconvénients inhérents à cette décision. Pas assez de points d’eau, changement dans les repas et leurs horaires – un petit déjeuner avec fromage à la place d’un second vrai repas par jour conjugué au fait que les migrants ont tant d’obligations auxquelles ils ne peuvent se soustraire – et la distance à parcourir pour aller se restaurer. Et nous qui pensions ces grands gaillards en pleine forme après avoir traversé tant de contrées, les voilà fatigués d’avance par… quatre kilomètres à pied, juste le temps qu’il faut pour se mettre en appétit !

    Étape numéro 3 : stupeur ! Le 6 mars, il n’y a quasiment pas un migrant affamé à venir prendre ses repas ! Cette fois, c’est la présence des « grillages et de la police » qui leur coupe l’appétit. « C’est la prison, nous ne sommes pas des criminels, quand les associations nous donnaient à manger, il n’y avait pas de policiers », se plaint Mohammed. Les grillages ? Installés « à l’initiative » d’un propriétaire privé – qui a aimablement mis à disposition son terrain – pour, justement, sécuriser les migrants en train de manger… La présence de la police ? Indigne, s’offusquent neuf associations. Non, mais, c’est vrai, quoi, vous vous verriez, vous, casser la croûte sous le regard des flics ? Le résultat ? Pas question de prendre les repas gratuits, « on se débrouille entre nous », dit Jakson. On se vraiment demande pourquoi l’État se décarcasse…

    Étape numéro 4 : grandiose ! Le food-truck flambant neuf, fier de son énorme logo « Préfet du Pas-de-Calais », stationné pourtant tout près de l’ancienne jungle, peut aller se rhabiller et les salariés de La Vie active avec : ils se tournent les pouces toute la journée, pas un migrant ou presque ne pointe le bout son nez, incommodés, cette fois, par la présence… des journalistes du Monde, selon l’association.

    Sauf que la réalité est encore ailleurs : une bonne part des Érythréens, Éthiopiens et Afghans du Calaisis, comme Oromo arrivé il y a quatre mois, excluent tout bonnement d’accepter… « des dons d’un ennemi qui nous pourchasse » !

    Étape numéro 5 : alors, dans sa grande mansuétude, afin que ces clandestins cessent de prendre en charge eux-mêmes leurs repas et ne souffrent pas de stress, sous-préfecture et associations ont décidé, dans un premier temps, pour gagner leur confiance – très important, d’obtenir la confiance -, le retrait des barbelés et une présence policière plus discrète, lit-on dans Le Monde.

    À quand la sous-préfète en soubrette pour prendre les commandes de ces messieurs ?

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-fine-bouche-a-calais/

  • Le Bastion social : des « zadistes » conséquents par Xavier EMAN

     

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    Il existe, dans les milieux identitaires, anti-mondialistes « de droite », écolo-patriotes et nationalistes-révolutionnaires un intérêt – légitime – voire une fascination – ambiguë parfois – pour l’extrême gauche radicale, ses actions et réalisations, de Notre-Dame-des-Landes au barrage de Sivens en passant par les réseaux d’AMAP et les modes de vie « alternatifs ». Impliqués depuis plus longtemps dans les combats sociaux, écologistes et anti-capitalistes qu’une droite radicale longtemps thatchéro-reagano-occidentaliste (et qui tend malheureusement, dans certaines de ses formes, à la redevenir…), les « bolches » ont indiscutablement des méthodes et des modèles d’action qu’il n’est pas inutile – et même important – d’étudier, ni indigne, parfois, de saluer.

    Pour autant, afin de ne pas tomber de l’analyse honnête à l’approbation excessive, il convient de conserver à l’esprit plusieurs éléments. Tout d’abord, la très large complaisance médiatico-étatico-judiciaire dont ils bénéficient. Même s’ils leur arrivent – lorsqu’ils dépassent le cadre qui leur a été assigné – de subir ponctuellement des accès de répression violente aux conséquences parfois dramatiques (Rémi Fraisse) – qui sont autant de piqûres de rappel des limites à ne pas dépasser… -, leur quotidien militant est globalement et généralement toléré, accompagné, pour ne pas dire célébré quand il n’est pas subventionné.

    Ensuite leur aveuglement complet, pour ne pas dire leur cécité totale, sur les problématiques migratoires, pourtant nœud causal de la mondialisation et du nouveau totalitarisme libéral, en fait, malgré toute la sympathie que peuvent susciter certaines de leurs initiatives, au pire les alliés objectifs, au mieux les idiots utiles, du système qu’ils prétendent combattre.

    Face à cette impasse, des jeunes gens, partageant une large part de leurs aspirations affichées (autonomie, justice sociale, anti-capitalisme, localisme…), se dressent sous la bannière du « Bastion social », débarrassant la lutte sociale de ses scories « sans-frontiéristes », « bien pensantes » et « xénophiles »…. Ils reprennent à leur compte le vieux slogan soixante-huitard « Vivre et travailler au pays » mais sans y ajouter, comme s’en sentent désormais obligés les révolutionnaires homologués « au pays de son choix », pour bien préciser que tout le monde peut vivre n’importe où et qu’un être humain n’est qu’un individu sans racine ni culture que l’on peut balader sur une planisphère au gré de ses « envies » ou des besoins du marché… Ils veulent défendre « les nôtres avant les autres », ce qui n’a jamais induit la haine ni le mépris de ces « autres » que l’on place simplement au second rang de ses naturelles préoccupations, et veulent remplacer l’internationalisme par l’inter-nationalismes, la négation des différences et des particularités par la fierté des racines et le respect des héritages.

    Curieusement, ils rencontrent beaucoup moins de soutien, d’encouragement, de marques de sympathie et de bienveillance que leurs homologues dreadlockeux… Parce qu’ils n’ont pas les bon « looks », pas les bons référents culturels et historiques, pas les bon itinéraires, pas les bonnes gueules… Préjugés et discriminations pourrait-on dire pour sourire en reprenant le vocabulaire consensuel… En réalité, ce qu’on leur reproche, c’est d’être vraiment radicaux parce que cohérents, combattant avec la même force les causes et les conséquences d’un état de faits sur lequel d’autres se content de pleurnicher.

    Et lorsque, dans la journée même de la décision judiciaire, à Lyon, une impressionnante armada de flicaille toujours aux ordres et enthousiaste à servir les pires salopes se rue à l’assaut d’un immeuble public vacant squatté par le Bastion pour y loger des nécessiteux français, c’est sous les encouragements et applaudissements de cette fameuse « extrême gauche activiste » qui se prétend anti-système et révolutionnaire… Cette seule scène suffit à tout comprendre, à tout saisir. Longue vie au Bastion Social !

    Xavier Eman

    • D’abord mis en ligne sur moy que chault, le 1er février 2018.

    http://www.europemaxima.com/le-bastion-social-des-zadistes-consequents-par-xavier-eman/