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France et politique française - Page 2489

  • Éric Zemmour : “Sur les prisons, Macron fait du Taubira en disant le contraire”

     
     

    Emmanuel Macron a présenté mardi 6 mars sa fameuse réforme des prisons, présentée comme une révolution. Mais pour Éric Zemmour, le Président déçoit et fait comme ses prédécesseurs sur ce dossier.

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  • "L’avènement de l’Islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes"

    6a00d83451619c69e201b8d2e0d2e8970c-800wi.jpgDe Mylène Troszczynski, Député européen du groupe ENL :

    "Depuis l’affaire Weinstein, c’est la « Journée de la femme » tous les jours. Et c’est tant mieux ! Lancée en 1911, cette journée est désormais solennisée annuellement à grand renfort de publicité. Souvent détournée à des fins mercantiles ou politiciennes… en général très sexistes, elle est devenue l’occasion d’opérations marketing de grande ampleur. Cette année, Emmanuel Macron ira dans une entreprise « exemplaire » en matière d’égalité professionnelle. Édouard Philippe, quant à lui, organise un comité interministériel spécial « Journée des droits des femmes » au musée Marie-Curie. Il apparaît clairement que c’est un passage obligé.

    Mais en faire un peu trop, n’est-ce pas desservir la cause ? Car qui peut croire que la défense du droit des femmes nécessite en permanence de les opposer aux hommes ? Fonder son action sur un prérequis ségrégationniste, c’est la disqualifier de fait. Or, l’égalité homme-femme passe par la complémentarité et non par l’oppostion. Nous devrions refuser de faire de la femme un homme comme les autres. Loin de toute indifférenciation délétère, la femme devrait pouvoir participer à la vie de la cité en étant considérée avec toutes ses spécificités. Actrice de la vie économique ou leader de l’organisation sociale, son rôle et ses qualités ne sont plus à démontrer. Elle a, d’ailleurs, été un acteur très actif de toutes les réformes de ces quarante dernières années.

    Depuis quelques années se fait malheureusement jour une ombre que les féministes bon teint taisent consciencieusement et qu’il est urgent d’aborder. Il s’agit du droit des femmes des « quartiers » qui recule de jour en jour sous le poids de l’immigration massive et incontrôlée. Ces populations qui ne portent pas sur nous un regard occidental viennent dans notre pays en y imposant leurs interdits. L’avènement de l’islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes qui n’y ont plus guère de droits. Considérées comme de simples marchandises, elles peuvent être mariées, sanctionnées, répudiées… Les contraintes vestimentaires ou religieuses en plein essor que nous pouvons observer ne semblent, curieusement, pas attirer l’attention des plus virulents chantres de la libération féminine. C’est subtil, le féminisme vivre-ensembliste… [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France se défait [2]

    Quelques réflexions, encore, sur la France qui se défait, entre bien d'autres facteurs, par la démographie et l'immigration. Sans-doute est-ce là ce qui se voit, se ressent, avec la plus grande netteté. Et suscite cette « formidable colère » que nous voyons monter partout en Europe.

    Nous ne sommes pas seuls à le penser. Les sondeurs, pourtant si volontiers conformistes, le reconnaissent : malgré la pression des médias, à vrai dire leur propagande, deux tiers des Français considèrent qu’ « il  y a trop d'étrangers en France ». Tout un monde de personnalités, d'auteurs, d'intellectuels, de journalistes, appréciés de l’opinion, tirent la sonnette d'alarme, s'expriment dans les médias, ces derniers ne peuvent plus les ignorer parce que leur audience est grande, que leurs livres connaissent le succès. Et que leur présence sur les plateaux de télévision, ou dans les studios de radio, fait grimper l'audimat. Inutile de citer leurs noms : ils sont connus de tous. En quelque manière, ils ont brisé, sinon l’hégémonie culturelle et politique de la gauche, du moins le mur du silence et du mépris. Au point que les politiques doivent désormais en tenir compte. Ou faire semblant. Ainsi de la déclaration d'Emmanuel Macron, à la suite des élections italiennes dont le résultat le plus clair est l'euroscepticisme et le refus de l'immigration. Largement majoritaires. « Il faudra en tenir compte » a dit laconiquement le Chef de l'Etat. C'est évident ! 

    Nous ne sommes pas seuls non plus en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de l'immigration massive. On sait qu'avec Donald Trump l'Amérique entend à la fois la freiner et la choisir. Ne nous y trompons pas : le slogan « America first » répond au vœu de l'Amérique profonde. Une bonne partie de l'Europe refuse aussi l'immigration massive (les pays de Visegrad, l'Autriche ...). En Allemagne même, un courant grandissant - pas seulement l'AfD - en fait autant. L'Italie à son tour, vient de marquer son choix. A vrai dire, l’afflux massif des migrants est devenu la préoccupation citoyenne centrale en Europe. Elle fait éclater les forces politiques traditionnelles et contredit l’idéologie dominante. Elle la déstabilise. Un grand basculement des politiques migratoires européennes pourrait bien s'imposer à terme... 

    La natalité française - et plus encore celle de nos voisins - faiblit, les démographes s'en alertent ; la proportion de vieillards augmente ; au contraire, les courants migratoires ont été et demeurent massifs. Les jeunes y sont nombreux. Et souvent haïssent la France ou même la combattent. Eventuellement, les armes à la main. La faiblesse de notre démographie autochtone comparée à la puissance invasive des populations immigrées nourrit leur volonté de domination. L'on nous serine que nous avons accueilli ces deux dernières années beaucoup moins de réfugiés ou de migrants que nos voisins. Mais on ne nous dit pas combien s'étaient déjà établis chez nous depuis quarante ans. Les Français le savent. 

    De sorte que le remplacement progressif de ceux que Finkielkraut appelle drôlement les « souchiens » par des populations principalement africaines ou proche-orientales et très généralement musulmanes est en train de s'opérer. A terme donc, si rien n'est fait pour s'y opposer, quelques décennies suffiront pour que, selon la formule du général De Gaulle, la France ne soit plus la France.  Et ce sur le triple plan du peuplement, de la culture et des mœurs qui s'en trouvent déjà lourdement transformés. Ce n'est pas notre vocation ici d'accepter cette perspective d'un cœur léger. 

    On a parfois abusé â l'Action Française de la formule de Bainville : « la France c’est mieux qu'une race, c’est une nation ». Mais il écrivait en un temps où la France n'avait guère connu que des migrations intra-européennes et encore dans des proportions qui n'avaient pas vraiment entamé le vieux fond celtibère et gallo-romain qui constituait l'essentiel de la population française jusqu'à la deuxième moitié du siècle dernier. Bainville et Maurras n'ont pas eu à juger du danger qu'eût représenté pour la France une invasion semblable à celle que nous vivons. Nous doutons fort qu'ils l'eussent acceptée sans broncher. 

    Un courant d'inspiration chrétienne voudrait par ailleurs nous faire accroire qu'une France en grande partie peuplée d'Africains et d'Orientaux, serait acceptable si ces derniers - hypothèse sans vraisemblance - étaient catholiques. Nous ne sommes pas d'accord. Fussent-ils catholiques, nous les préférons chez eux. La France ne serait plus la France si elle avait les couleurs, l'esprit, les mœurs de l'Afrique ou de l'Orient. Ce qui nous en différencie ne tient pas seulement à l'appartenance religieuse.  

    C’est la dose qui fait le poison. La France d'aujourd'hui se défait - entre autres causes - en raison d'une immigration dont la dose excessive devient un poison.  

    Il conviendrait donc si nous voulons survivre de la ramener au minimum incompressible et de la choisir selon nos intérêts et nos besoins. Car une certaine immigration qualitative pourrait être utile à la France et servir son rayonnement. Il faudrait en parallèle définir une politique de remigration efficace et rigoureusement appliquée : expulsion systématique des délinquants étrangers, des naturalisés, ou devenus Français par bénéfice du seul droit du sol, avec déchéance de la nationalité française pour ces deux dernières catégories ; réaménagement des droits sociaux (chômage, sécurité sociale, aides diverses) qui ne pourraient plus être équivalents à ceux des Français ayant cotisé pendant de longues années, ou, si ce n'est eux, leurs parents ou grands-parents. Le bénéfice des droits sociaux pour les nouveaux arrivants pourrait par exemple leur être accordé pro rata temporis de leurs années ou périodes de cotisation ; obligation de respecter les lois et coutumes françaises comme condition de résidence en France ... Une telle politique devrait être, s'il le faut, traduite juridiquement. 

    Nous savons bien que la France se défait de diverses autres façons. Qu'entre elles, elles interagissent et accélèrent le processus de délitement dont nous parlons. Nous savons encore que le mal est d'abord en nous-mêmes et que les insultes, les hauts-cris, à l'encontre des immigrés ne constituent pas une politique, sont vains et, en ce sens, déplacés.  

    Nous aurons à revenir sur tout cela. 

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie

    Dans une note très récente de votre blog préféré, Michel Janva relate un entretien que Bassam Tahhan, géopolitologue franco-syrien, a accordé à TV Libertés. Celui-ci évoque notamment la fuite d'un rapport diplomatique britannique, décrivant ce que trament cinq pays pour s'assurer à terme d'une recomposition syrienne avantageuse pour l'Occident (TM) et ses complices, et pour compromettre définitivement les efforts russes dans la région. Cette stratégie s'articule ainsi : "1) endiguer l’influence iranienne en militarisant durablement l’Est de la Syrie ; 2) faire échouer le plan de paix russe ; 3) enfin, poursuivre une guerre de basse intensité afin de diviser la Syrie pour aboutir à une partition territoriale et politique" (source: éditorial évoqué ci-après). Sans surprise le régime Macron fait partie de la bande.

    Cette fuite a notamment été révélée sur son site Proche et Moyen-Orient, par le journaliste Richard Labévière, ancien rédacteur en chef de la revue du très officiel IHEDN. Nous reproduisons in extenso cet article ci-dessous, et vous pouvez des commentaires en anglais sur cette affaire ici. Par ailleurs, nous vous invitons à lire le dernier éditorial de Richard Labévière, consacré à l'immense campagne de désinformation qui tente d'enrayer l'offensive du victorieuse du gouvernement syrien et de ses alliés dans la Ghouta.

    Dans un anglais quelque peu familier mais précis, Benjamin Norman – diplomate en charge du dossier Proche et Moyen Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington – rend compte dans un Télégramme diplomatique confidentiel (TD)1 du 12 janvier 2018 de la première réunion du « Petit groupe américain sur la Syrie » (Etats-Unis, Grande Bretagne, France, Arabie saoudite et Jordanie), qui s’est tenue à Washington le 11 janvier 2018.

    Dans ce TD de cinq pages, il dévoile le détail de la « stratégie occidentale » en Syrie : partition du pays, sabotage de Sotchi, cadrage de la Turquie et instructions adressées au représentant spécial de l’ONU Staffan de Mistura qui dirige les négociations de Genève. Un Non Paper (de 8 pages) accompagne ce TD en prévision de la deuxième réunion du « Petit Groupe ». Celle-ci s’est tenue à Paris le 23 janvier dernier, essentiellement consacrée à l’usage des armes chimiques et aux « consignes » adressées par le « Petit Groupe américain » à Staffan de Mistura.

    Assistaient à cette réunion du 11 janvier à Washington Hugh Cleary (chef du Département Proche et Moyen-Orient du Foreign Office) ; Jérôme Bonnafont (directeur ANMO/Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay) ; David Satterfield (Secrétaire d’Etat-adjoint américain chargé du Moyen-Orient) ; le Jordanien Nawaf Tell et le saoudien Jamal al-Aqeel. L’Américain a ouvert la séance en précisant qu’une deuxième réunion aurait lieu à Paris le 23 janvier.

    David Satterfield a confirmé que le président Trump avait décidé de maintenir une importante présence militaire américaine en Syrie, malgré la victoire remportée contre l’« Organisation Etat islamique » (Dae’ch) ; le coût de ce maintien étant fixé à quatre milliards de dollars annuels. Il a précisé que cette présence militaire américaine devait prévenir toute résurgence de Dae’ch, mais surtout empêcher les « Iraniens de s’installer durablement et de s’imposer dans la recherche d’une solution politique ». En troisième lieu, il a insisté sur le fait que la première réunion du « Petit Groupe » devait aussi apporter un « appui matériel et politique important à Staffan de Mistura pour « consolider le processus de Genève ». L’ensemble des participants a accueilli très positivement cette mise au point afin de « réaliser des progrès substantiels en Syrie durant l’année 2018 » et de « répondre à la propagande d’une victoire russe ». Ensuite, les participants ont insisté sur le « désir russe d’aboutir à une solution politique » qu’il s’agissait d’utiliser pour rendre « plus opérationnels » les objectifs du « Petit Groupe ».

    CONSOLIDER LE PROCESSUS DE GENEVE

    Les Etats-Unis ont noté qu’ils ne participeraient plus aux réunions d’Astana, ayant réduit « leur participation à un niveau très bas, pour souligner leur engagement envers Genève » ; en des termes définitifs, il est décidé de « tirer un trait conceptuel sur Astana pour revenir à Genève ». Ils ont ensuite estimé que jusqu’à maintenant « Genève restait un échec, malgré les efforts de Staffan de Mistura ». Ils se sont montrés très prudents quant à l’inclusion du cessez-le-feu dans les discussions de Genève : « la vérité étant que nous n’avons tout simplement pas la capacité d’empêcher le régime de grignoter les poches de l’opposition restantes à Idlib et à l’Est de la Ghouta ».

    Lire la suite "Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie"

    Paula Corbulon

     

  • [VIDEO] Vivre ensemble : Chronique d’un échec, avec Paul-François Paoli

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    Fraternité, antiracisme, tolérance… les termes pour inciter au « Vivre ensemble” croissent comme des petits pains. Mais les inventions des idéologues n’y font rien ! Ils ont beau construire des concepts sémantiques, tordre le cou de la réalité, ça ne passe pas.

    Dernier exemple en date, la polémique autour de l’incarnation de Jeanne d’Arc pour les fêtes d’Orléans. Paul-François Paoli est journaliste et chroniqueur au Figaro Littéraire et il vient de publier l’Imposture du Vivre ensemble aux éditions de l’Artilleur.

    Avec lui, TV Libertés revient sur ces termes qui pullulent dans le débat, sans que l’on sache jamais à quelle réalité ils font référence.

  • Pour le journaliste grand reporter Bernard de la Villardière, il existe une caste médiatique qui disqualifie toute opinion divergente

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est par ces mots crus que le journaliste est revenu, dans une tribune publiée dans Le Figaro, sur son passage dans l’émission Touche Pas à Mon Poste, dirigée par Cyril Hanouna et diffusée sur C8.

    Bernard de la Villardière dénonce la confiscation du débat médiatique et l’impossibilité d’aborder certaines questions.
    Il fait référence ici à l’islam. Interrogé sur le hijab, ce voile musulman très couvrant, le journaliste le qualifie de régression. Alors qu’il argumente et s’attache à répondre par des faits, les chroniqueurs bien-pensants hurlent et déforment son propos en l’accusant de vouloir interdire le voile. Le sujet est visiblement tabou, il n’est pas admit la libre confrontation d’opinions.
    Il dénonce les méthodes de diabolisation et d’instrumentalisation qui entraînent la disqualification des opinions dissidentes.
    Le grand reporter pointe du doigt l’absence de pluralité d’opinions des chroniqueurs, les comparants à une meute unanime. Il accuse la chaîne de manipuler les images lorsqu’elle diffuse une musulmane voilée dans le public qui s’offusque : « Je suis au mieux un homme dépourvu d’élégance, au pire un salaud » affirme-t-il. Il déplore un public « aux ordres d’un chauffeur de salles » et regrette le goût pour le buzz et le spectacle de la caste médiatique. Il qualifie d’ailleurs son passage de « traquenard mûrement préparé ».

    Mais Bernard de la Villardière relativise l’impact médiatique de l’émission indiquant avoir reçu un grand nombre de messages de soutien de ses confrères.
    Oui et il a obtenu également un large écho favorable sur les réseaux sociaux. Il fait d’ailleurs remarquer que la chaîne C8 a supprimé la rediffusion en ligne de l’émission. Enfin, il révèle la portée du lynchage dont il est victime puisque, d’après lui, l’équipe de Touche Pas à Mon Poste aurait demandé sa tête à la direction de M6 au motif qu’il était atteint d’islamophobie. Cette islamophobie le journaliste définit comme une « maladie imaginaire mise au point par les officines de la propagande islamiste. »

    https://fr.novopress.info/

  • Rappel : Quand Libé, Le Monde et la gôche morale défendaient la pédophilie

    libération_pedophilie_mariage_pour_tous-Patrick-Peccatte1-350x360.jpgA la fin des années 70, les mêmes bien-pensants progressistes qui soutiennent actuellement la loi pour l’homoparentalité, le mariage homo et la PMA (procréation médicalement assistée), défendaient, au nom de la liberté, de l’égalité et contre les vilains réactionnaires, la pédophilie. 24heures actu a retrouvé les signataires et leurs revendications concernant la sexualité avec les enfants. Quand l’histoire se répète. 
    Libération, le Nouvel ObsLe Monde, le PS : tels sont les actuels défenseurs des lois prométhéennes sur la négation de l’altérité via l’homoparentalité. En 1977, c’étaient déjà les mêmes qui signaient des pétitions pour soutenir la pédophilie, au nom de la liberté et du progrès. On ne change pas une équipe qui gagne ! 
    Les leçons de morale sont toujours les mêmes : seuls les obscurantistes, les réacs, les fachos peuvent vouloir ralentir l’inéluctable chemin vers la modernité, le progrès, le lucre, et la jouissance sans entrave.
    Ainsi, Le Monde publiait, le 26 janvier 1977, une célèbre lettre ouverte aux Parlementaires, relayée, évidemment, par Libération, pour défendre dans « l’affaire de Versailles », 3 hommes qui étaient accusés de pédophilie, pour avoir couché avec des mineurs et pris des photos de leurs intimités. Les intellectuels progressistes parisiens s’étaient émus de cette entrave à la jouissance et à la consommation du corps. Comment une société peut-elle être heureuse si l’on fixe des limites morales au plaisir sexuel ? 
    Le texte ignoble précisait ainsi que les enfants étaient « consentants », avant d’aller encore plus loin dans le progrès sociétal : « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ? » et « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Ça a le mérite d’être clair ! 
    Voici donc la liste des 60 signataires de cette pétition, qui font quasiment tous partie des fervents défenseurs du mariage pour tous et qui continuent à militer, sans honte, pour la marchandisation du corps. On y retrouve évidement toutes les idoles de nos bons vieux bobos soixante-huitards et quelques socialistes devenus ministres entre-temps. Une liste à garder en mémoire : 

  • Réforme de la SNCF : Macron ira-t-il jusqu’au bout ?

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    Par André Noël, journaliste ♦ Macron ira-t-il jusqu’au bout dans sa volonté de réformer la SNCF ? Cette volonté de réformer ce mastodonte ingérable et coûteux qu’est la SNCF traduit une bonne intention. Le premier ministre a raison de dire que cela ne peut plus durer : 45 milliards € de dettes qui augmentent de trois milliards € par an, sans compter les intérêts qui in fine seront réglés par le contribuable. Et dans une société où l’on ne parle que d’égalité et dont, par conséquent, on essaie, dans tous les domaines, d’extirper les inégalités, il est de plus en plus intolérable que le statut des cheminots soit à ce point exorbitant du droit commun appliqué aux autres salariés.

    Mais nous parlons d’intention ! Or, pour ce qui est de la SNCF, il y a toujours loin de la coupe aux lèvres, de l’intention à l’exécution. Macron ira-t-il jusqu’au bout ? Déjà, dès le début, sa réforme est a minima (voir ci-après.) Il paraît qu’il va négocier, via son ministre du travail.

    Si négociation il y a, et si elle n’est pas qu’un simulacre pour la galerie, un compromis avec les syndicats en sortira qui sera nécessairement en leur faveur et non pas à l’avantage du pouvoir qui devra « lâcher » quelque chose pour sauvegarder la « paix sociale. » Tous les autres présidents ont fini par reculer.

    Ne parlons pas de ceux qui n’ont jamais eu l’intention de changer quoi que ce soit, tels les Mitterrand et Hollande, mais des autres, c’est-à-dire Chirac et Sarkozy.

    Le premier, en 1995, Juppé étant son premier ministre, a dû abandonner la réforme des régimes spéciaux, dont celui des cheminots, devant la grève qui a immobilisé le pays pendant un mois ; le deuxième les a bien modifiés mais timidement. Il a préservé l’essentiel des avantages liés à ces régi-mes : calcul de la retraite sur les six derniers mois de salaire, système des bonifications ou « trimestres gratuits », octroi des pensions de réversion sans condition d’âge ni de ressources, etc. et cela pour faire passer l’allongement de la durée des cotisations progressivement de 37,5 à 41 ans.

    Et pour faire « bon poids » et désarmer la CGT, il a cru devoir ajouter d’autres « compensations » : échelons d’ancienneté supplémentaires, assiette du salaire liquidable élargie, prime de travail intégrée dans la prime de fin d’année, droit à retraite anticipée pour avoir élevé trois enfants étendu aux hommes. Si bien qu’à l’arrivée, la « réforme » Sarkozy coûte plus aux finances publiques qu’avant son adoption !

    Tout le monde est d’accord sur le diagnostic et sur le caractère intolérable de la situation, même si, à gauche, on ne le concède qu’en privé. Mais ce qui retient les uns et les autres de donner un coup de pied dans la fourmilière des privilèges injustifiés, c’est la grande crainte d’un nouveau « 1995 » qui se solda, un peu plus tard, par la défaite de la majorité RPR-UDF aux législatives de 1997 ; nous eûmes ainsi, sous Jospin, cinq ans d’un socialisme appliqué qui a accouché, en l’an 2000, de la calamiteuse réforme des 35 heures dont l’économie française pâtit encore 18 ans après son adoption.

    Macron n’est pas plus courageux que ses prédécesseurs. Il estime que le rapport de forces lui est favorable et que ce qu’il propose ne déclenchera pas une longue grève comme celle de 1995. Il n’a pas tort et ce pour plusieurs raisons.

    La principale est que le contexte politique a changé. Si nombre de Français se sont solidarisés avec les grévistes à l’époque – grévistes qui pourtant paralysaient leur liberté de circulation – c’est qu’ils étaient vent debout contre Chirac qui, non seulement, quatre mois après son élection, n’a pas tenu ses promesses de campagne mais aussi a fait exactement le contraire.

    Lors de sa campagne, pour se distinguer de son rival Balladur présenté comme le candidat des riches, il annonce qu’il va réduire la « fracture sociale » en faveur des plus démunis, en baissant l’impôt sur le revenu de 30% au cours de son septennat en commençant par une diminution de 5% dès son accession au pouvoir. Mais aussitôt, nommé premier ministre, Juppé fait voter par le Parlement un plan ayant pour objectif de réduire les déficits multiples.

    Le plan Juppé se traduit par une ponction massive sur les revenus des classes populaires. Les salariés, retraités, chômeurs et leurs familles étaient mis à contribution pour 82 milliards de francs de l’époque (12,6 milliards €) en prélèvements supplémentaires. Il faudra attendre Hollande en 2012 pour avoir un matraquage fiscal équivalent. Dans le plan Juppé il y avait donc la réforme des régimes spéciaux, dont celui de la SNCF, ce qui a mis le feu aux poudres. Sur le refus des cheminots est venu se greffer l’indignation des électeurs floués qui ont « fait grève par procuration. »

    Rien de tel aujourd’hui. La CGT est affaiblie, c’est la CFDT, aux élections professionnelles, qui est devenue le premier syndicat de France. Toutes les manifestations ont été des échecs et les militants sont échaudés ; ils n’ont pas réussi à faire reculer le pouvoir sur les lois El Khomri, sous Hollande, malgré de multiples démonstrations. Et les manifestations contre la réforme du Code du travail, il y a quelques semaines, n’ont mobilisé que des effectifs squelettiques. En plus, pour « riposter », les syndicats sont divisés sur la stratégie à suivre.

    La seule déconvenue engendrée par Macron qui arriverait peut-être à fédérer les mécontentements multiples ce serait la baisse du pouvoir d’achat. Mais la catégorie sociale la plus touchée susceptible d’entraîner les autres, c’est celle des retraités qui ne peuvent faire grève et descendent rarement dans la rue.

    Des réformes a minima, comme celles de ses prédécesseurs

    Comme les gouvernements précédents n’ont pas fait grand-chose, ce que présente celui d’Edouard Philippe apparaît, par comparaison, si ce n’est gigantesque, du moins important. Or, comme la réforme annoncée de l’assurance-chômage, sur laquelle nous allons revenir, il s’agit de mesures a minima pour la SNCF.

    La principale et la plus emblématique porte sur le statut des cheminots : plus aucun salarié ne sera embauché sous ce juteux et coûteux statut. « Aux nouvelles générations, aux apprentis, à tous ceux qui veulent s’engager dans la SNCF, nous disons qu’ils bénéficieront des conditions de travail de tous les Français, celles du Code du travail », a déclaré Edouard Philippe. Mais cela ne sera effectif pour tous les salariés de la SNCF que, lorsque les derniers embauchés sous statut seront retraités, à savoir dans une trentaine d’années, le temps moyen d’une carrière dans l’entreprise.

    En outre, le projet de réforme ne traite pas des retraites à la SNCF, donc des régimes spéciaux, qui est pourtant la principale inégalité. Le premier ministre a renvoyé la question qui sera examinée lors de la réforme globale des retraites promise pour 2019 après l’avoir été pour 2018.

    Or, comme nous l’avons déjà révélé dans votre Bulletin, Jean-Paul Delevoye, auquel le gouvernement a commandé un rapport sur cette réforme, a déclaré à propos des régimes spéciaux : « Il ne s’agit pas de signer la fin de quelque chose, nous voulons respecter le caractère identitaire de certains régimes de retraite : un cheminot est un cheminot, un gazier est un gazier. » Il n’est donc pas sûr que la réforme Macron sonnera le glas du régime spécial de la SNCF qui peut subsister sous une autre appellation et d’autres modalités de calcul, toujours plus avantageuses que celles applicables aux autres salariés.

    Pour ce qui concerne ce boulet que traîne la SNCF, c’est-à-dire 45 milliards € de déficit, là aussi, le gouvernement renvoie son traitement à plus tard. Si l’on a bien compris, pour faire baisser sa dette, le premier ministre attend que la SNCF engrange des bénéfices sous le double aiguillon de la concurrence et de son changement de statut juridique, après quoi l’Etat mettra la main au porte-feuille (en l’occurrence celui des contribuables, donc le nôtre) pour solder le reste. Edouard Phillipe n’a pas parlé de délai pour cela.

    A partir de 2021, des opérateurs privés pourront exploiter leurs trains sur le réseau ferroviaire français, conformément au calendrier imposé par l’Union européenne à la France pour libéraliser le secteur. Cette ouverture à la concurrence a été bénéfique aux consommateurs comme à France Télécom qui, devenu Orange, gagne de l’argent malgré trois autres compétiteurs. Cela est un peu moins vrai pour EDF-GDF, mais son bilan comptable est meilleur que, lorsqu’elle vivait sous le monopole, ayant mis fin à la spirale d’un déficit permanent.

    Cette ouverture à la concurrence est passée par un préalable pour ces sociétés, à savoir l’abandon du statut d’Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (Epic) au profit de celui de sociétés anonymes à conseil d’administration. C’est ce qu’a annoncé Philippe pour la SNCF. La conséquence est importante. Une Epic est garantie par l’Etat qui, en dernière instance, est responsable de ses dettes. Devenue société anonyme, la SNCF ne pourra plus compter sur le filet de l’Etat.
    Cela devrait l’inciter, comme le fit France Télécom, à tout faire pour être rentable. On le voit, les sujets les plus cruciaux ne sont pas réglés par la réforme Philippe.

    André Noël 05/03/2018

    Source : Le Bulletin d’André Noël, Synthèse hebdomadaire du 5 au 11 mars 2018

    Crédit photo : Angélique Guerin [CC BY 2.0], via Flickr

    https://www.polemia.com/reforme-de-la-sncf-macron-ira-t-il-jusquau-bout/

  • JEAN-MARIE LE PEN : « ÊTRE PUPILLE DE LA NATION M’A PROFONDÉMENT MARQUÉ. IL ME SEMBLAIT QUE J’AVAIS PLUS DE DROITS ET PLUS DE DEVOIRS »

    Jean-Marie Le Pen vient de publier le premier tome de ses mémoires : « Fils de la nation ».

    Marin, président de la corpo, député poujadiste, officier de Légion, candidat à la présidentielle… Jean-Marie Le Pen dit, dans son livre, avoir eu « mille vies ». Bien des aspects en sont méconnus par le grand public qui ne connaît que l’homme politique « honni ». Jean-Marie Le Pen les évoque au micro de Boulevard Voltaire, multipliant les anecdotes et les rapprochant de l’actualité, avec cette verve et ce talent si particuliers que lui ont reconnus jusqu’à ses plus farouches adversaires. 

    http://www.bvoltaire.fr/etre-pupille-de-nation-profondement-marque-me-semblait-javais-plus-de-droits-plus-de-devoirs/