France et politique française - Page 2684
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Le Front National au bord de la scission ? - Journal du mardi 19 septembre 2017
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Philippe Arondel au Cercle Aristote sur la crise du syndicalisme - partie 2
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Sans vergogne, sans style, sans culotte
Cette fin de semaine, la Fête de l’Humanité n’a pas surpris le chaland ou les observateurs par la qualité de ses prestigieux visiteurs: le psychanalyste mélenchoniste Gérard Miller (les plus anciens se souviennent de la fessée verbale que lui avait administré Jean-Marie Le Pen sur le plateau d’Antenne 2 en 1995), Audrey Pulvar et ses lunettes qui ont (même) fait jaser en son temps Bruno Roger-Petit , l’archéo socialiste Gérard Filoche, des insoumis médiatiques comme Clémentine Autain, François Ruffin (qui animait le débat au comique involontaire sur le thème Comment faire reculer le FN dans les quartiers populaires) le héros hébergeur de clandestins Cédric Herrou, Benoit Hamon, Anne Hidalgo… Les habituels représentants des officines antinationales, immigrationnistes financées également avec nos impôts avaient aussi pignon sur fête, notamment ceux qui dans l’entourage de la famille d’Adama Traore (paix à son âme) veulent acclimater sous nos latitudes des Black Lives Matter à la française, et autres collectifs en faveur de la régularisation des immigrés clandestins…
Certes, ceux qui se rendent à ce rendez-vous incontournable annoncé à grands renforts de pub privilégient les concerts plutôt que les récitals de pipeaux des ateliers politiques ou encore le discours final du secrétaire national du PC, Pierre Laurent. Un homme dont le regard triste traduit toute la difficulté de la tâche: éviter (ou accompagner?) la mort thérapeutique d’un parti vidé de sa substance par les vipères lubriques trotskystes de La France Insoumise (LFI)… terrible revanche de l’histoire…
Nos compatriotes, toutes catégories sociales confondues, veulent avant tout que leurs enfants puissent grandir demain dans une France libre, sûre, prospère, sans chômage de masse et ne partagent certainement pas les obsessions multiculturalistes d’une extrême gauche qui vit sur la détestation d’une France charnelle, enracinée… française tout simplement. Français qui s’inquiètent pareillement à juste titre d’une des conséquences de la babélisation des sociétés européennes, à savoir le terrorisme.
Bruno Gollnisch le rappelait, les extrémistes qui tuent au nom d’Allah ont beau faire sous nos latitudes infiniment moins de morts que les accidents de la route ou les infections nosocomiales, ces attentats-là frappent durablement les esprits et sonnent peut-être l’émergence d’une guerre civile, d’une balkanisation-libanisation définitive de notre territoire. François Hollande lui même avait confié ses inquiétudes aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme (propos retranscris dans leur livre Un président ça ne devrait pas dire ça). Il évoquait « l’accumulation de bombes potentielles liées à une immigration qui continue. Parce que ça continue ». « Comment peut-on éviter la partition? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire: la partition. »
Un terrorisme qui a encore frappé la ville de Londres vendredi avec une attaque dans le métro qui a fait une trentaine de blessés. Donald Trump a crée l’émoi des bien-pensants en estimant dans un tweetque face à cette situation, « le décret anti-immigration des Etats-Unis devrait être étendu, plus dur et plus spécifique. Mais stupidement, ce ne serait pas politiquement correct! »
Politiquement correct, le député mélenchoniste Alexis Corbière l’est lui jusqu’au bout de la barbe. Sur le plateau de l’émission de Laurent Ruquier samedi soir sur France 2, cet enseignant trotskyste sans-culotte n’a pas eu besoin de forcer son talent pour se coucher devant les assauts de la chroniqueuse Christine Angot. La fameuse Mme Angot, modèle de pertinence, d’élégance, de style, de finesse comme en témoignent son immense oeuvre littéraire que le monde entier nous envie et l’intelligence de ses admonestations. Le pauvre Corbière à dû se justifier de ce que la candidate de LFI face à Manuel Valls à Evry aux législatives, Farida Amrani (n’allait pas croire qu’elle ait été choisie pour bénéficier d’un vote communautaire), n’avait pas refusé officiellement au second tour les voix de l’humoriste Dieudonné (horresco referens), candidat dans cette même circonscription.
Le mélenchoniste qui a par ailleurs avoué qu’il lui était plus facile de se faire élire dans le 9-3 que dans son pays d’origine, Béziers, face à Emmanuelle Ménard ou Robert Ménard, en a fait des tonnes pour montrer patte blanche, quand bien même la charge de Mme Angot était particulièrement stupide: quel est le candidat qui fait un tri dans les voix qui se portent sur lui pour en refuser?! Il a donc rappelé que comme Manuel Valls, « (il a) été le premier a demander l’interdiction des spectacles de Dieudonné. » « J’ai rien à voir avec ce salopard antisémite, ni mes amis » a-t-il ajouté avant de rappeler son combat actif pour la poursuite de l’immigration et l’aide aux clandestins (sans -papiers). Il ne faudrait pas non plus désespérer Saint-Denis…
Désespérée ou à tout le moins passablement énervée, la grande majorité des 8000 étudiants du campus de l’université de Reims l’est aussi depuis l’annonce de la fermeture de celui-ci pour raison de sécurité. En l’espèce parce qu’une quarantaine d’immigrés clandestins et leurs enfants s’y sont installés pour réclamer sans tarder des papiers, la régularisation de leur situation et les avantages financiers afférents.
Même le président du conseil départemental de Charente-Maritime, président LR de l’Assemblée des départements de France (ADF) le très européiste Dominique Bussereau « tire la sonnette d’alarme » nous informe Le Figaro devant les conséquences de la poursuite de l’invasion migratoire. «Nous sommes confrontés, dit-il, à des difficultés croissantes dans la prise en charge des mineurs étrangers non accompagnés » – baptisés désormais dreamers (rêveurs) outre-Atlantique par les agences de com et les amis de M. Soros chargés d‘imposer une novlangue moins anxiogène aux populations rétives à l’immigration, NDLR . «C’est une situation d’urgence. Le chiffre de 13.000 mineurs en 2016 a presque doublé en un an. Au niveau national, cela représente une hausse de 30 % à 40 % (…). Les mineurs étrangers coûtent 1 milliard d’euros par an aux départements. »
Bien évidemment M. Bussereau ne fait pas amende honorable en confessant la responsabilité de ses amis politiques dans cette situation chaotique. Il ne s’est jamais dans le passé prononcé pour le retour des frontières, un arrêt de l’immigration et a toujours conspué le programme du FN dans ce domaine, appelant même à voter PS pour faire barrage aux candidats de l’opposition nationale. Les sans-culottes sont décidément partout!
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JEAN-MARIE LE PEN CE SOIR À 18 H 20 SUR RTL
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La SNCF en alerte : l’Etat islamique ordonne de faire dérailler des trains !
Face aux incitations récentes et précises de la propagande de Daesh, les autorités alertent sur les risques de nouveaux modes opératoires djihadistes en France comme le sabotage des voies ferrées, les incendies de forêt ou encore l’empoisonnement de la nourriture.
Une note confidentielle de sept pages de la Direction générale de la police nationale met en garde les services de police contre une mutation des actions terroristes et notamment l’« incitation récente » de la propagande islamiste à « planifier un déraillement de train ». La DGPN demande une vigilance particulière sur toutes les « remontées d’informations » qui concerneraient « une intrusion ou une tentative de sabotage dans les emprises dédiées à la circulation des trains ».
Les nouvelles consignes de l’Etat islamique, qui invite à « gagner la confiance des mécréants en dissimulant sa radicalisation », appellent également « les loups solitaires » à perpétrer en Europe des « incendies de forêt ou empoisonnement de nourriture ».
La note de police évoque l’incitation persistante durant les trois derniers mois, à la fabrication d’engins explosifs, avec la diffusion de « tutoriels » (modes de fabrication informatique). L’explosion d’une bombe artisanale dans le métro de Londres vendredi illustre exactement ce mot d’ordre. L’engin improvisé qui a explosé, a priori pas complètement, dans le métro à Parsons Green, a fait 29 blessés dont certains grièvement brûlés au visage. L’attaque a été revendiquée par l’Etat Islamique.
La DGPN évoque encore le risque de « vol de produits ou de matériaux sensibles notamment dans les universités » mais également les menaces d’attentats dans les établissements scolaires ou universitaires, sur les sites touristiques « symboles du mode de vie occidental » ou lors d’événements attirant de la foule. Elle recommande aux établissements recevant du public de développer « des procédures de confinement » en cas d’alerte. Un processus déjà activé lors des attaques du Louvre ou du parvis de Notre-Dame.
La Direction générale de la police nationale rappelle les attaques aux véhicules-béliers et voitures piégées et demande aux loueurs « d’assurer la traçabilité des personnes à qui sont remis des véhicules » et de « signaler sans délai tout comportement suspect » ou « tout vol de véhicules ».
Mardi dernier, le ministre de l’Intérieur a annoncé que douze attentats ont été déjoués depuis le début de l’année. Parmi les plus récents, le 22 août, un « projet contre les boîtes de nuit parisiennes visant en particulier des établissements gays », un projet d’attaque à la kalachnikov contre un fonctionnaire de police le 4 septembre à Saint-Ouen et la découverte d’un atelier clandestin d’explosifs le 6 septembre à Villejuif. La note de la DGPN vient confirmer que non seulement la menace islamiste reste au plus haut en France mais qu’elle évolue constamment.
Caroline Parmentier
Article et dessin de Chard parus dans Présent sous le titre « Attentats : le réseaux ferré visé ? »
https://fr.novopress.info/207290/sncf-alerte-etat-islamique-ordonne-faire-derailler-des-trains/
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Notre ennemi serait le terrorisme. Eh bien, non ! – par Xavier de Boissard
Le premier danger est s’abriter derrière des mots mal définis, rassurants, et de préférence en « isme ».
Après l’attentat dans le métro, vendredi dernier, M. Sadiq Khan, maire de Londres, a déclaré : « Nous ne nous laisserons jamais ni intimider ni battre par le terrorisme. »
Propos guerriers, et, certes, nous sommes en guerre, tout le monde s’accorde à le penser, même MM. Hollande et Valls l’ont proclamé. C’est dire qu’il y a là une évidence !
Mais M. de La Palice aurait pu le dire : si guerre il y a, il y a nécessairement un ennemi qui nous la fait, mais cet ennemi, est-ce le terrorisme ?
Le terrorisme n’est rien d’autre qu’un acte de guerre. Ce n’est pas l’ennemi mais seulement un de ses modes d’action. Imagine-t-on Churchill disant, en pleine bataille d’Angleterre, « Notre ennemi c’est le bombardement » ? Non, l’ennemi, c’était l’Allemagne. La Grande-Bretagne était en guerre contre l’Allemagne, rien de plus, rien de moins.
Il nous faut donc nous poser LA question : cette guerre actuelle, asymétrique, aux multiples modes et théâtres d’opérations (Europe, Amérique, Moyen-Orient, Afrique, Asie), qui donc nous la fait et à qui devons-nous donc la faire ?
Dans l’immense confusion des mots (terrorisme, islamisme, radicalisme, djihadisme…), plus personne ne s’y retrouve. Serait-ce un fait exprès ?
Nous le savons depuis Clauzewitz : « La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens. » Alors, ce terrorisme – qu’il soit qualifié d’islamiste, islamique, musulman, qu’importe -, au service de quelle politique est-il ?
À les entendre, nos terroristes et djihadistes de tout poil visent à l’instauration de la charia et du califat qui la fera respecter par l’exercice de son pouvoir politique. Sont-ils les seuls ? N’ont-ils donc pas d’alliés servant la même cause mais « par d’autres moyens » ?
Sans même avoir à chercher bien loin, restons-en aux proclamations des uns et des autres :
– Les Frères musulmans proclament « Le Coran est notre Constitution ».
– Certaines personnalités musulmanes ne cachent pas leurs intentions conquérantes en Europe, tel le cheikh Youssouf al Qaradawi, de l’UOIE (Union des organisations islamiques européennes, dont la branche française est l’UOIF), qui déclarait en 2002 : « Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons. »
– Tariq Ramadan : La France est une culture maintenant musulmane. La langue française est une langue de l’islam. »
– Et Tareq Oubrou, vous savez, cet imam modéré, décoré par Alain Juppé et œuvrant à Bordeaux, qui déclarait dans les années 90 – déjà ! – qu’« en l’absence du califat – aboli par Mustafa Kemal “d’origine juive déguisé en musulman” (sic) – qui est le symbole de la force et de la réunion des musulmans, la Oumma se trouve en situation de péché, car le califat est une obligation. Sans califat, les musulmans sont pécheurs, sauf ceux qui luttent pour l’instauration du califat. »
En clair dans cette guerre nous percevons bien qui est l’ennemi : ce n’est pas l’islam religion, celle-ci comme les autres a sa légitimité, ses grandeurs et ses beautés, mais bien, quel que soient ses modes d’action, l’islam politique qui prétend régenter notre société. Le premier danger est de refuser de le désigner comme tel et de s’abriter derrière des mots mal définis, rassurants, et de préférence en « isme ».
Xavier de Boissard
Texte repris du site Boulevard Voltaire
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Brachay : En avant pour un nouveau Front avec Marine !
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Alban d'Arguin, auteur du livre choc "Eoliennes un scandale d'Etat", sera mercredi matin l'invité du Marquis sur Radio Courtoisie
Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici
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LES ANTIFAS INCENDIAIRES SONT EN FAIT LES VICTIMES. SÉRIEUX ?
Si les procès se transforment en tribune contre les victimes, ça ouvre de chouettes perspectives !
Le Monde est un journal sérieux, n’est-ce pas ? Un journal très sérieux. Peut-être même le plus sérieux d’entre tous, de l’avis général.
Ce journal sérieux, très sérieux, on ne peut plus sérieux, s’intéresse donc au procès – qui doit s’ouvrir mardi – des antifas à l’origine de l’incendie d’une voiture de police en mai 2016, en marge d’une manifestation interdite alors que la protestation contre la loi Travail battait son plein. Masqués, ils avaient harcelé des policiers dans leur véhicule jusqu’à y balancer un fumigène, mettant le feu à l’habitacle et blessant l’homme et la femme. La photo de la voiture carbonisée, hautement symbolique, avait fait le tour des réseaux sociaux, suscitant une vive émotion.
« Voiture de policiers incendiée : les antifas veulent faire de leur procès une tribune », titre Le Monde. « Le collectif Libérons-les et les antifas veulent se servir de leur procès pour sensibiliser aux luttes contre la répression policière », lit-on encore sous la plume d’Abel Mestre.
Sérieux ? C’est réellement ce qu’il voulait écrire ? Ce n’est pas une boulette, une coquille, un cafouillage, l’ajout traître et maladroit d’un Caïn chevelu, étudiant à Villetaneuse le jour et antifa la nuit, ou l’inverse, que Le Monde aurait pris en stage parce que son père est actionnaire du canard-le-plus-sérieux-de-France ?
Dites-moi, dites-moi… si les procès se transforment en tribune contre les victimes, ça ouvre de chouettes perspectives ! Les délinquants sexuels pourront enfin dénoncer ces pimbêches au cœur sec qui se refusent à eux, les cambrioleurs l’accueil peu amène que leur réservent la plupart des propriétaires quand ils débarquent dans leur salon, les assassins d’enfant l’agacement que suscite un gosse qui crie dans vos oreilles, les hommes qui battent leur femme la frustration engendrée par un dîner qui n’est pas prêt en temps et heure.
Les violences policières existent sans doute, mais l’usage est de les dénoncer… dans les procès dont elles sont l’objet, non ? Et disons-le, qui a côtoyé des antifas et tenté une fois dans sa vie, fût-ce le plus pacifiquement et légalement du monde, de s’opposer à la terreur idéologique que leurs bandes font régner sur certaines universités – cela fait partie des multiples dossiers qui seront un jour ouverts quand la droite sera au pouvoir et aura retrouvé une once du courage, c’est-à-dire peu ou prou quand les poules auront des dents, diront les pessimistes – peine à les imaginer recroquevillés, désemparés, désarmés, tout amour et paix devant de méchants policiers.
Un jeune « normal » arriverait au tribunal cou cravaté et mine contrite, battant sa coulpe et baissant les yeux : il n’imaginait pas les conséquences de son acte. Mais n’aurait pas l’outrecuidance de déclarer vouloir passer « de statut de poursuivi au statut de victime » au motif que leur manif était une « réponse légitime au rassemblement policier le même jour contre la haine anti-flics, où sont venues des personnalités de la droite extrême, chaleureusement accueillies, comme Gilbert Collard, Marion Maréchal ou Éric Ciotti ». Griller des poulets était donc justifié, doit-on sans doute comprendre. Avec une si limpide démonstration, qui pourrait le contester ?
Dans un esprit de « convergence des luttes », nos jeunes antifas de beaux quartiers, représentés par Antonin Bernanos, entendent développer des « actions communes » avec « les collectifs qui se multiplient dans les quartiers populaires », notamment autour de l’affaire Adama Traoré. Et plusieurs personnalités ont appelé à se rendre tous les jours au procès, comme Danièle Obono, Olivier Besancenot ou encore Houria Bouteldja.
Ce monde cul par-dessus tête – s’agit-il du nom propre ou du nom commun ? Les deux, peut-être ? Ils ne me l’ont pas précisé… – commence à SÉRIEUSEMENT insupporter les policiers.
Gabrielle Cluzel Ecrivain, journaliste Son bloghttp://www.bvoltaire.fr/antifas-incendiaires-victimes-serieux/
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Nicolas Dupont-Aignan réveille les droites - Journal du lundi 18 septembre 2017